1921 Plon-Nourrit et Cie 1921
Reference : 5295
Librairie Ancienne Denis
M. Pierre Duchemin
50 rue de la Scellerie
37000 Tours
France
02 47 64 12 77
Conditions de vente conformes aux usages du SLAM. Les prix indiqués sont nets. Les frais de port sont à la charge du client. En-dessous d'une valeur de 50 euros, les envois par lettre ou colis se font avec ou sans assurance (c'est-à-dire recommandés ou non recommandés), au choix du client. Si le client choisit un envoi non assuré (ou non recommandé), la Librairie Ancienne Denis ne rembourse pas les articles en cas de perte ou d'avarie. A partir de 50 euros, les envois sont assurés et les frais de port tiennent compte du niveau de recommandation. Si le client ne souhaite pas payer de frais d'assurance, la librairie décline toute responsabilité en cas de perte ou d'avarie. Paiements par chèque, virement interbancaire et paypal.
Maurice Barrès, né le 17 août 1862 à Charmes et mort le 4 décembre 1923 à Neuilly-sur-Seine, est un écrivain et homme politique français, figure de proue du nationalisme français. Le Jardin de Bérénice raconte l’histoire d’un jeune intellectuel, Philippe, qui vient d’adhérer au programme du général Boulanger – on est en 1889 – et qui part plein d’enthousiasme pour la Provence organiser une campagne électorale. C’est là qu’il retrouve Bérénice, une ancienne connaissance, qui vit maintenant seule dans une grande maison dans la ville d’Aigues-Mortes. À travers elle, qu’il ne cesse de contempler « si belle dans son jardin », il a le sentiment de découvrir pour la première fois l’harmonie de la vie et pense trouver, dans le cadre de ce jardin et grâce à l’amour de cette femme, la signification secrète de l’univers. Mais Bérénice épouse un autre homme, l’adversaire politique de Philippe, et meurt peu de temps après. Dès lors, son souvenir illumine la vie du jeune homme et le pousse à défendre son idéal : l’engagement politique. Vol relié demi toile, frottements, 19x13, très bel état intérieur, 296pp. Couvertures d'origines conservées Paris, Perrin, 1891 ref/276
Paris, pour les Cent Bibliophiles, (10 août) 1922. 1 vol. (200 x 265 mm) de 171 p., [1] et 2 f. Maroquin à mastic, dos lisse muet, large pièce mosaïqué en box crème, titre doré, souligné par un jeu de vagues du même box estampé à froid et rehaussé de filets de pointillés à la guache lila, contreplats et gardes de velours beige, couverture illustrée et dos conservés (reliure signée de N. Kiyomiya, 2004). Édition ornée de 42 pointes-sèches en couleurs tirées sur Rives, dont un frontispice et un hors-texte. Tirage à 130 exemplaires (n° 107). Les 13 pages de la préface sont également illustrées d'une ornementation végétale encadrant le texte, œuvre de Malo Renault. Délicate et fraîche reliure de Nobuko Kiyomiya.
Né à Saint-Malo le 5 octobre 1870, il se spécialise d'abord dans l'eau-forte, puis le vernis mou avant d'aborder à la pointe-sèche, à l'occasion de cette édition commandée par les Cent bibliophiles, pour lesquels il grave sur bois l'estampe du menu en utilisant quatre planches pour les quatre couleurs. Le Jardin de Bérénice, troisième volet de la trilogie romanesque que Barrès intitula Le Culte du moi, est publié en 1896. Cette fable allégorique magnifie la contemplation et l'imagination qui fait comprendre les choses du coeur : il raconte l'histoire d'un jeune intellectuel, Philippe, qui vient d'adhérer au programme du général Boulanger - on est en 1889 - et qui part plein d'enthousiasme pour la Provence organiser une campagne électorale - il brigue la députation à Arles. Mais c'est à Aigues-Mortes qu'il retrouve Bérénice, une ancienne connaissance, qu'il ne cesse de contempler « si belle dans son jardin » : il découvre pour la première fois l'harmonie de la vie et pense trouver, dans le cadre de ce jardin et grâce à l'amour de cette femme, la signification secrète de l'univers. Cette romance - qui prendra une tournure tragique - est particulièrement mise en valeur grâce aux pointes-sèches en couleur de Malo-Renault pseudonyme d'Émile Auguste Renault. 1922 marque un tournant dans son oeuvre, qui se tourne dès lors vers la représentation de la grâce féminine, la mutinerie et la naïveté des enfants. Influencé par l'oeuvre d'Henri de Toulouse-Lautrec et l'art japonais, la richesse de ses tons et ses compositions hautement décoratives sont celles d'un coloriste de premier ordre.
Paris Perrin 1891 Paris, Perrin, 1891. 296 pp. Reliure moderne, demi-chagrin vert à coins, dos à nerfs, titre doré, tête dorée, couverture et dos conservés. Dos passé. EDITION ORIGINALE. UN DES 25 EXEMPLAIRES NUMEROTES sur Hollande, seul tirage en grand papier. Le Jardin de Bérénice est le dernier volet de la trilogie romanesque Le culte du Moi, après Sous l'il des Barbares et Un Homme libre. Exemplaire d'une grande fraîcheur. Couverture rigide
Edition originale
ARTHEME FAYARD. non daté. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 123 pages + environ 120 pages illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc, hors et dans le texte. Frontispice en noir et lanc. Fronts de chapitres en noir et blanc. Cul-de lampe en noir et blanc. Relié dos toilé plat papier marbré pour bibliothèque du patronnage de nansouty.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
BARRES : Jardin de Bérénice : illustrations d'après les aquarelles de A. CALBET / DEROULEDE : Chants du soldat, Nouveaux chants du soldat, Marches et sonneries, Refrains militaires, Chants du paysan : illustrations d'après les aquarelles d'Eugène CHAPERON et Charles MOREL Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Paris Perrin et Cie 1891 1 vol. relié in-12, demi-maroquin brique à coins, dos à fins nerfs, tête dorée, non rogné, couvertures et dos conservés (Alix), 296 pp. Édition originale du troisième et dernier volet du cycle "Le culte du moi". Où l'on retrouve le héros sans nom de Sous l'œil des Barbares et L'Homme libre, jeune intellectuel désormais nommé Philippe, qui a adhéré au programme du général Boulanger et rejoint la Provence pour lancer une campagne électorale. Il y rencontre l'amour, en la figure de Bérénice... Bon envoi autographe signé de l'auteur (mais probablement remonté d'un autre exemplaire) au journaliste et écrivain Edmond Deschaumes (encre un peu passée). Parfaite reliure signée.