Hatier 1929
Reference : 2180
Librairie Ancienne Denis
M. Pierre Duchemin
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Que sais-je / PUF in12. Sans date. Cartonné. 14 volume(s). 14 livres autour de la littérature : Sociologie de la littérature; la littérature comparée; la littérature française du siècle philosophique; la littérature symboliste; la littérature française sous le consulat et l'empire; le mélodrame; la littérature française du siècle romantique; la littérature français du siècle classique; les grandes dates des littératures étrangères; les locutions françaises; la stylistique; explication de textes et dissertation; historie de la poésie française
couvertures défraîchies ternies certaines tachées présence d'annotations sur 5 volumes: "Sociologie de la littérature; la littérature comparée; la littérature française du siècle philosophique; la littérature symboliste" intérieurs propres par ailleurs
DE CIRCOURT, Comte Adolphe ; VALAORITIS, Aristote ; [ VALAORITY, Aristote ]
Reference : 44697
(1836)
1 vol. in-8 reliure de l'époque demi-basane verte, tomaison marquée : "7 - Critique, Littérature" : Recension de : Noticia Intorno, etc. Notice sur les travaux historiques d'Ibnu-Khaldin, par le Chev. Graberg de Hemso, Florence, Tiré de la Bibliothèque Universelle, 1834, 6 pp. et 1 f. [ Suivi de : ] Recension de :Chronique d'Abou-Djafar-Mohammed Tabari par Louis Dubeur, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Novembre 1836, 12 pp. [ Suivi de : ] Recension de : Les Psaumes d'après l'Hébreu par F. de La Jugie, Revue Critique, pp . 242-426 [ Suivi de : ] Recension de : Island, Hvitramannaland, Groenland, und Vinland, von Karl Wilhelmi, Heidelberg, 1842. Chroniques Scandinaves, Episode de Björn et Thurid, s.n., pp. 469-479 [ Suivi de : ] La Saga de Viga Glum, par Adolphe de Circourt, Aux Bureaux de la Revue Britannique, 1867, 15 pp. [ Suivi de : ] Recension de : Poèmes Populaires des Persans, des Tourkmans, des Tatares d'Astrakhan et des Kalmouks par Alexandre Chodzko, Tiré de la Bibliothèque de Genève, Juin 1844, 18 pp. [ Suivi de : ] Recension de : Poésies populaires de l'Italie. Agrumi. Egeria. Saggio di Canti Populari, Etudes Provinciales, pp. 57-75 [ Suivi de : ] Chronique : Littérature Populaire de l'Espagne, Novembre 1860, pp. 534-554 [ Suivi de : ] Recension de : Le Comte Lucanor. Apologues et fabliaux du Quatorzième siècle, traduits pour la première fois de l'Espagnol par M. Adolphe de Puibusque, Tiré de la Bibliothèque de Genève, Juin 1854, 12 pp. [ Suivi de : ] Chronique : Le Brésil Littéraire. Recension de Histoire de la Littérature brésilienne par Ferdinand Wolf, pp.91-115 [ Suivi de : ] De Braziliaansche letterkunde door A. de Circourt, De Globe, 1866, pp. 40-61 [ Suivi de : ] Appréciations des Poëmes d'Aristote Valaoritis par M. le Comte A. de Circourt, Imprimerie Wiesener, Lutier et Compagnie, Paris, 1869, Extrait de ka Revue Moderne, Livraison du 25 Septembre 1869, 15 pp. [ Avec une L.A.S. d'Aristote Valaoritis ] [ Suivi de : ] Recension : Literarische Bilder aus Russland. Tableaux de la Littérature Russe, par M. Koenig, Extrait de la Revue Française et Etrangère, 36 pp. [ Suivi de : ] Compte-Rendu de : Boris Godounoff, Drame historique par Alexandre Pouchkine, pp. 352-393 [ Suivi de : ] Recension : Rimes inédites ou dispersés de Torquato Tasso, par le Professeur Rosini, Tiré de la Bibliothèque, Août 1832, 39 pp. [ Suivi de : ] Recension : Torquato Tasso, par le Professeur Rosini, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Octobre 1832, 27 pp. [ Suivi de : ] Recension : Luisa Strozzi, histoire du seizième siècle, par Giovanni Rosini, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Avril 1834, 25 pp. [ Suivi de : ] Recension : Poètes allemands contemporains. Poésies par Ernest baron de Feuchtersleben, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Janvier 1841, 20 pp. [ Suivi de : ] Recension : Poésies de Ferdinand Freiligrath, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Août 1842, 27 pp. [ Suivi de : ] Recension : Poésies Allemanniques de Hebel, Tiré de la Bibliothèque Universelle, Juin 1844, 21 pp. [ Suivi de : ] Recension de : Poèmes Populaires des Persans, des Tourkmans, des Tatares d'Astrakhan et des Kalmouks par Alexandre Chodzko, Tiré de la Bibliothèque Universelle de Genève, Juin 1844, 17 pp. [ Suivi de : ] Recension de : Poésies lyrique d'Auguste, Comte de Platen, Tiré de la Bibliothèque Universelle de Genève, Mars et Avril 1843, 52 pp. [ Suivi de : ] Recension de : Yarrow revisited and other poems, by William Wordsworth. Nouveaux Poëmes de Wordworth, pp. 427-443 [ Suivi de : ] Recension de : Athéanis ou la Première Croisade par William Stigand, pp. 259-312 [ Suivi de : ] Recension de : Poems etc. Poésies de William Cullen Bryant, Philadelphie 1847, Tiré de la Bibliothèque Universelle de Genève, 12 pp. [ Suivi de : ] Recension de : La Littérature Française à l'Etranger pendant le dix-huitième siècle, 32 pp. [ Suivi de : ] Recension de : Histoire de la Littérature française sous la Restauration et Histoire de la Littérature française sous le Gouvernement de Juillet, Tiré de la Bibliothèque Universelle de Genève, 1856, 38 et 35 pp. [ Suivi de : ] Recension de : Historic Devices, Badges and War Cries by Mrs Bury Palliser, pp. 373-378 [ Suivi de : ] Recension de : Origine et Histoire de la Langue Anglaise. The origin and history of the English language and of the early literature it embodies, pp. 461-483
Recueil original d'articles (le plus souvent en tirés-à-part originaux) du Comte Adolphe de Circourt, dont plusieurs avec sa signature autographe et ses annotations. Une lettre autographe signée du poète grecque Aristote Valaoritis a été insérée en tête de l'article qui lui a été consacré par le Comte de Circourt : "Sainte Maure, 25 Juin 1870. Monsieur le Comte. J'ai lu dans l'Annuaire de l'Association pour l'Enseignement des Etudes Grecques le charmant article sur mes deux derniers poèmes Athanase Diakos et Astropagiannos. Ce n'est pas la première fois, Monsieur le Comte, que vous m'honorez de votre précieuse sympathie. Mais dans un temps où la pauvre Grèce est devenu le but de tant d'injures et de calomnies, permettez-moi de vous dire que votre bonté pour moi a été ma seule consolationet que c'est à elle que je dois l'adoucissement de toutes les douleurs morales que nous avons endurées après le massacre d'Oropès". Le salon d'Anastasie de Circourt et de son mari le Comte Adolphe de Circourt fut l'un des plus célèbres du XIXe siècle. Comme l'écrit Sainte-Beuve, "aucune prévention, aucun préjugé n’arrêtait cette personne, si pieuse d’ailleurs et si ferme dans ses croyances, dès qu’elle sentait qu’elle avait affaire à un esprit de valeur et à un homme de talent". Correspondant de Tocqueville, le Comte collabora à de nombreuses revues (Revue Britannique, Revue Contemporaine, Revue Britannique, etc...). . Etat très satisfaisant (mq. de papier au second plat, ex-libris Bibliothèque des Bruyères, très bon état par ailleurs) pour cet recueil établi par l'auteur, le Comte de Circourt et provenant de sa bibliothèque des Bruyères, à La Celle-Saint-Cloud.
Edition en partie originale des «Trois siècles de la littérature française» de l’Abbé Sabatier de Castres. La Haye et Paris, chez Moutard, 1779. 4 volumes au format in-12 de: I/ cvii pp. (pt. trou p. xxi), 387 pp.; II/ (1) f., 488 pp.; III/ (1) f., 454 pp.; IV/ (1) f., 443 pp., pte. déchirure ds. la marge blanche de la dernière p. Reliures en plein veau moucheté frappées sur les plats des armes de la reine Marie-Antoinette sous couronne royale dans un triple encadrement au petit fer or, dos lisse ornés de rinceaux et de glands, pièces de titre en maroquin vert, titres en lettres d’or, portent le cachet or «C.T.» (Château de Trianon) sous couronne royale pour le Petit Trianon, toutes tranches mouchetées. Reliures royales de l’époque. 167 x 99 mm.
Edition en partie originale des «Trois siècles de la littérature française» de l’Abbé Sabatier de Castres. Sabatier a souvent attaqué durement Voltaire dans Les Trois siècles. Voltaire, bien entendu, a vivement réagi. Il l'appelait l'abbé Sabotier (M, t. X, p. 197 ; t. XXIX, p. 39). Dans sa correspondance, il n'a pas de mots assez durs contre « le plus vil des scélérats » (D19090). Dans l’Épître dédicatoire aux Lois de Minos, Sabatier est considéré comme « l'écrivain le plus misérable et le plus bas » qu'on puisse imaginer (M, t. VII, p. 172). Sabatier n'était pas seulement opposé à Voltaire, mais à tout le mouvement des Lumières. Il s'agit d'une « Philosophie tyrannique et inconséquente [...] [qui] suffoque ou corrompt le germe du talent » (T.S., t. I, p. 1-2). Bref, la littérature nouvelle se caractérise par « un ton imposant, un style dogmatique, un jargon maniéré, des phrases sentencieuses, des sentiments enthousiastes, la répétition de ces mots parasites humanité, vertu, raison, tolérance, bonheur, esprit philosophique, amour du genre humain et mille autres termes qui sont devenus la sauvegarde des inepties » (Corr. litt., p. 241). Dans Les Trois siècles, Condorcet, Diderot, Duclos, Marmontel sont traités sans ménagement ; seuls Condillac et Rousseau trouvent grâce aux yeux de Sabatier, Rousseau surtout : « on ne peut lui disputer la gloire de l'éloquence et du génie et d'être l'écrivain le plus mâle, le plus profond, le plus sublime de ce siècle » (t. IV, p. 139). Les Trois siècles de la littérature française le rendirent célèbre, mais lui firent beaucoup d'ennemis. On contesta à Sabatier la paternité des Trois siècles. L'abbé Martin, vicaire de la paroisse Saint-André-des-Arts, chez qui Sabatier « allait tous les matins se styler et s'instruire » (M.S., 7 août 1774, t. VII, p. 225), était présenté par J. Lenoir-Duparc dans ses Observations sur les Trois siècles de la littérature française (1774) comme le véritable auteur. L'abbé Beaudoin, grand maître du collège du cardinal Lemoine, soutenait cette interprétation. L'affaire traîna en longueur et commença à se plaider au Châtelet en mai 1780, alors même que l'abbé Martin était mort entre temps. Finalement, une sentence du 4 juillet 1780 trancha l'affaire : Sabatier devra reconnaître par écrit que l'abbé Beaudoin est « un homme de probité et d'honneur » ; chaque partie devra renoncer à ses prétentions quant aux dommages et intérêts ; enfin, les frais de la sentence incomberont à Sabatier. Palissot se plaint, dans les Mémoires sur la littérature, d'avoir été plagié par Sabatier. Les Mémoires, dit-il, ont été « presque toujours pillés et déshonorés dans ce qu'il [Sabatier] a dit d'un peu raisonnable » (Palissot, t. V, p. 309). Sabatier s'en défend dans ses Articles inédits de la 7ème édition des Trois siècles, (p. 14-16). D'après les M.S., c'est grâce à la « réputation » que lui ont faite ses Trois siècles dans « le parti adverse » que Sabatier dut en janvier 1776 sa nomination de précepteur des enfants de Vergennes, ministre des Affaires étrangères. Précieux et fort bel exemplaire relié spécialement pour la bibliothèque personnelle de la Reine Marie-Antoinette au Château de Trianon. Marie-Antoinette encouragea les arts, en soutenant Gluck contre la cabale et la routine, les lettres, en protégeant Chamfort et Delille, et elle se montra, dans la longue agonie des mauvais jours, la digne fille de la grande Marie-Thérèse. Sa bibliothèque était une des plus considérables du temps, et si les pièces de théâtre, les romans, et parmi ceux-là, les petits livres à la mode, dont l’esprit de parti a cherché, de nos jours, à faire une sorte de scandale, bien qu’ils fussent alors entre les mains des femmes les plus honnêtes et les plus vertueuses, y figurent en grand nombre, il serait injuste d'oublier que les chefs-d’œuvre de l'esprit humain y tiennent la première place avec Pascal, Bossuet, Fénelon, Bourdaloue, Massillon, Boileau, Jean-Baptiste Rousseau, Corneille, Molière, Racine, Regnard, Voltaire, et tant d'autres, dont on retrouvera les noms en parcourant le catalogue. Les volumes qui garnissaient les armoires du petit Trianon sont restés, en grande partie, à Versailles ; quelques-uns sont venus grossir le riche contingent de la Bibliothèque Nationale, d'autres ont été transportés, lors de la création des écoles centrales de département, c'est-à-dire en 1795, à Périgueux et à Bourges, et versés plus tard dans les bibliothèques publiques. Ils sont modestement reliés en veau porphyre, granité de points noirs sur un fond rouge sombre qui passe, quelquefois, au violet foncé. Les plats, entourés d'un triple filet, portent au centre les armes de la reine ; sur le dos, se trouvent quelques fleurons, et, au bas, les initiales couronnées C.T. (Château de Trianon) sont poussées en or. Les tranches, de couleur blonde ou fauve pâle, sont pointillées de rouge. On rencontre également un grand nombre de volumes en demi- reliure, avec le dos et les coins en veau, fauve et les armes sur le papier. M. le baron Pichon nous a révélé les noms des ouvriers qui furent chargés de ce travail. Les reliures en veau sortaient des ateliers du marchand-papetier relieur, Fournier. Cet exemplaire figure sous le n° 554 du catalogue de la bibliothèque de la Reine Marie-Antoinette au Petit Trianon (P. Lacroix, 1863).
Leuven, Universitaire Pers, 2001 Paperback, Francais, sous jacquette originale d'editeur, 16x24 cm., 650 pp. ISBN 9789058671646.
Symbolae Facultatis Litterarum Lovaniensis - Series D : Litteraria 14. Les quelque soixante contributions de ce livre traitent toutes d'un aspect de la litterature francaise de Belgique, domaine dont Roland Beyen est un des plus eminents specialistes. L'oeuvre theatrale et la reconnaissance nationale et internationale de ? son ? auteur, Michel de Ghelderode, sont evidemment largement commentees. En outre, certains dossiers nouveaux, relevant de periodes importantes du point de vue de l'histoire litteraire, sont ici mis au jour : a propos de la generation de 1880 (Verhaeren, Maeterlinck, Eekhoud, Elskamp, des Ombiaux), ou du surrealisme belge (Norge, Nouge). Enfin, ce livre se distingue par le grand nombre d'etudes consacrees a des sujets fascinants mais mal connus de la litterature francaise de Belgique : du monde des revues litteraires, de la prose paralitteraire (Steeman, Simenon, le phenomene litteraire de Pitje Schramouille), a la litterature fantastique (de Ghelderode a Ray), en passant par le theatre et la poesie du XXe siecle (de Soumagne a Bauchau) et la prose contemporaine (Adamek, Geramys). Tant par la variete des auteurs traites que par la diversite des approches (historiques, analytiques, synthetiques), ce livre constitue une contribution importante a l'etude approfondie de l'expression litteraire de notre pays.
"La Renaissance du Livre "" Tous les Chefs-D'oeuvre de la Littérature Française "". Non daté. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Rousseurs. 254 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"
"Collection "" Tous les Chefs-D'oeuvre de la Littérature Française "" Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"