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Celse
De re medica
1823
Reference : 185
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Librairie Ancienne Denis
M. Pierre Duchemin
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5 book(s) with the same title
De Re Medica, libri octo. Item, Q. Sereni liber de medicina. Q. Rhemmii Fannij Palæmonis de Ponderibus & Mensuris liber. Vindiciani carmen.
Genève, Jean de Tournes, 1625 ; in-32. 16ff. n. ch.-671pp. Vélin rigide de l'époque, pièce de titre postérieure, trace de liens. Ex-libris manuscrit ancien sur le titre. Marque de l'imprimeur gravée sur bois en dernière page.
Celce est un médecin romain du 1er siècle avant JC, son traité De arte Medica a été imprimé dés 1478 et connu de nombreuses rééditions. Il récapitule toutes les connaissances accumulées dans ce domaine depuis Hippocrate. Il traite de l'hygiène, du régime alimentaire, des remèdes, de la chirurgie, des plantes (Garisson et Morton, 20-1, pour l'édition de 1478). A la fin de l'ouvrage on trouve des extraites des "Préceptes de médecine" tirés de Quintus Serenus Samonicus avec une courte évocation de sa vie ; 3 pages tirées du "Livre des poids et mesures" du grammairien Quintus Remmius Fannius Palaemon ; et un poème de Vidicianus l'Africain.
Mercurialis Foroliviensis, Medici celeberrimi, et Praeter Caeteros sui temporis elegantissimi Tractatus Varii de re medica, à variis Medicis olim ex ipsius ore excepti, nunc verò, post eius obitum, in gratiam studiorum Medicinae evulgati
Antonii Pillehotte Lugduni, Antonii Pillehotte, 1618. In-4 relié plein vélin de l'époque. Titre en rouge et noir, 2ffnc, 173 (19) ; (4) 188 (12) 70 (6) ; (8) 62 (6) ; (8) 168 (12), 1 ff blanc. Horum: Primus, De morbis muliebribus in quatuor libros dispositus - Secundus, De puerorum morbis, cum Tralliani de lumbricis epistola ab eodem Auctore in Latinum versa, & de venenosis, ac venenis opuscolo - Tertius, De peste, praesertim de Veneta & Patavina - Quartus, demum, De morbis cutaneis, in tres libros digestus: Atque hi omnes hac novissima. Editione suis propriis vel peculiaribus Indicibus studiosissimè conlustrati. Le papier est un peu jauni, petite mouillure en marge inférieure de quelques feuillets,début de galerie de vers en marge supéreure de quelques feuilletssans atteinte de texte sinon bon exemplaire
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Nova constitutio artis revellendi per venarum Sectionem. - (Angebunden): Ders.: Epistolae medicinales locis multis auctae; in quibus de oxymelitis facultatibus, & curatione pleuritidis, morborumque articularium tractatur; eiusdem De hemitritaeo, sive de febre semitertiana libellus; item Miscellaneorum de re medica liber omnino utilis, alias non editus.
2 Titel in 1 Band. (Zürich, Christoph Froschauer, ca. 1575); und Zürich, Christoph Froschauer für Johannes Wolf. 1592. 16x9 cm. 12 n.n. Bl., 128 Bl.; 176 Bl. und 2 mehrfach gefaltete (1 Holzschnitt-) Tafeln. Flexibler Pergament-Band der Zeit, die ursprünglichen Schliessbänder ausgerissen.
VD 16 D 2980 und 2973. - Vischer C 1056 und N 9. - Durling 1322 und 1324. - Hirsch II, 238. - 1: Zweite Ausgabe nach 1557. - 2: Erste Ausgabe. - Taddeo Duno (1523 Locarno - 1613 Zürich) stammt aus einer alte Locarneser Adelsfamilie. In jungen Jahren wurde er vom Mailänder Theologen Giovanni Beccaria beeinflusst, der ab 1536 Lehrer an der Lateinschule in Locarno war und unter seinen Schülern und deren Familien die ersten reformatorischen Ideen verbreitete. Duno studierte danach Medizin und Freie Künste in Basel und in Pavia, wo er den Doktortitel erwarb. 1549 nahm er zusammen mit Beccaria an der Disputation von Locarno teil, worüber er in seinem "De persequutione adversus Locarnenses" (1602) einen Bericht verfasste. Seine religiösen Ansichten trugen ihm 1551 eine Anzeige bei der Inquisition ein, während er seinen Arztberuf in Asso (Como) ausübte.1553 kehrte er mit seiner Familie nach Locarno zurück. Kurz danach wurde der Fall der Reformierten von Locarno an zwei Tagsatzungen in Baden verhandelt. Der endgültige Schiedsspruch stellte die Reformierten vor die Alternative, abzuschwören oder zu emigrieren. 1555 verliessen er und etwa hundert andere Locarneser die Stadt und wandten sich durch das Misox und über den San Bernardino nach Zürich, wo er weiterhin den Arztberuf ausübte. Als Kenner der medizinischen Theorien von Hypokrates und Galen richtete er von jetzt an seine Aufmerksamkeit auf die Naturbeobachtung und Epidemiologie. Die Ergebnisse seiner Überlegungen wurden später in "De respiratione contra Galenum" (1588) gesammelt. Das Werk "Epistolae medicinales" (1592) stellt eine erste Untersuchung über den Zusammenhang zwischen dem Wetter und dem Auftreten von Krankheiten dar. Neben einer intensiven wissenschaftlichen Tätigkeit auf dem Gebiet der Medizin übersetzte er Werke der Geschichte, Theologie und Mathematik ins Lateinische. (HLS). - Behandelt verschiedene medizinische Themen. 1: Mit einer schönen Holzschnitt-Tafel zu den Venen, hier am Ende des 2. Bandes eingebunden. - 2: Wie häufig fehlt die gefaltete Tabelle. - Stellenweise stärker gebräunt. Blatt 80 des zweiten Titels mit kleinem Papierverlust im Bug (ca. 1 x 3 cm) mit wenig Textverlust. - Selten.
Succenturiatus anatomicus. Continens commentaria in Hippocratem, de capitis Vulneribus. Additae in aliquot Capita libri VIII.C.Celsi Explicationes. [Et :] A. Cornelii Celsi De re Medica liber octavus. Edition originale de ce traité d’anatomie consacré au crâne humain.
Très séduisant exemplaire de cette rare édition originale, pur et grand de marges, conservé dans son vélin souple de l’époque à recouvrement, bien complet du frontispice dépliant qui manque souvent. Lugduni Batavorum [Leyde], Iodocum a Colster, 1616. 2 parties reliées en 1 volume in-4 de: I/ (12) ff. y compris le titre imprimé en rouge et noir et le portrait de l’auteur au verso, 270 pp., 1 frontispice dépliant et 34 gravures dans le texte; II/ (1) f. de titre, 128 pp., 2 planches dépliantes et 25 gravures dans le texte. Petit trou de vers dans les pp. 9 à 55 du second texte, 2 ex libris manuscrits sur le titre, note manuscrite ancienne dans la marge de la p. 177. Relié en plein vélin souple à recouvrement de l’époque, restes de liens de cuir, dos lisse avec le titre manuscrit. Reliure de l’époque. 200 x 140 mm.
Rare édition originale des commentaires de paaw sur les travaux d’Hippocrate et de Celsus à propos des blessures à la tète. Graesse, Trésor de livres rares, V, p. 99 ; L’humanisme de la Renaissance est marqué par un soudain engouement pour l’anatomie. Les premiers anatomistes eurent à surmonter de grandes difficultés. Les amphithéâtres d’anatomie s’édifièrent lentement, à Padoue en 1490, à Bâle en 1588, à Paris en 1608. La dissection de cadavres humains exposait à de graves sanctions de la part des autorités civiles et religieuses. « Pierre Paaw, habile anatomiste, naquit à Amsterdam en 1564. En 1580, il alla étudier la médecine à Leyde. Au bout de quatre ans, il vint en France, où il demeura assez longtemps à Paris et à Orléans. Il passa ensuite en Danemarck. Il fut à Rostock en 1587, s’y fit recevoir docteur en médecine, et commença à enseigner l’anatomie. Peu après il fit un voyage en Italie pour aller entendre à Padoue les leçons de Fabrizio d’Aquapendente. La mort de son père l’obligea, au bout de trois mois, de rentrer dans sa patrie ; il revint à Leyde, où, pendant vingt-huit ans, il pratiqua l’art de guérir avec beaucoup de succès, et professa avec éclat l’anatomie et la botanique. C’est lui qui fit bâtir l’amphithéâtre public d’anatomie de Leyde. Paaw mourut en 1617. Ses ouvrages contiennent un assez grand nombre d’observations intéressantes. » (Dezeimeris, Dictionnaire historique de la médecine ancienne et moderne, III, p. 659). L’ouvrage contient les commentaires de l’auteur sur les travaux d’Hippocrate et sur ceux de Celsus. Le premier texte est rédigé en grec et en latin. Né en 460 avant Jésus Christ, Hippocrate, considéré comme le plus grand savant de son temps, fonda la médecine. Il reposait sa pratique médicale sur l’observation qu’il effectuait du corps humain. L'ouvrage est richement illustré de 59 gravures sur cuivre dans le texte très finement exécutées représentant l’anatomie du crâne (avec les dents), des trépanations et des instruments chirurgicaux. L’illustration comporte en outre un portait de l'auteur et 2 planches dépliantes qui montrent un squelette humain entier et un crâne. Mais le présent ouvrage est avant tout célèbre pour son frontispice dépliant gravé par Andries Jacobsz Stock d’après Jacob de Gheyn (1565-1629) et qui représente la fameuse scène de la leçon de dissection donnée par Paaw dans l'amphithéâtre de Leyde qu’il avait lui-même fait bâtir. Très séduisant exemplaire de cette rare édition originale, pur et grand de marges, conservé dans son vélin souple de l’époque à recouvrement, bien complet du frontispice dépliant qui manque souvent. Provenance : de la Bibliotheca Celeberrimae Cadomensis Academiae avec ex libris gravé au contreplat de la reliure ; exemplaire du célèbre helléniste Jean-François Boissonade de Fontarabie (1774-1857) avec ex libris manuscrit sur le titre. Seul 1 exemplaire est répertorié sur l’ensemble du marché des ventes françaises et internationales depuis 1975, l’exemplaire relié en vélin avec le dos refait (« rebacked ») vendu par Sotheby’s Londres le 2 avril 1985 pour 1150 £ (lot 396).
De curandis febribus continuis liber; in quator divisus sectiones. Edition nova emendatissima Amstelodami, Fratrum Detournes. M. DCC LXI. Rel. avec : Commen tarii de sanitate tuenda, in primum lib. de re medica Aurel Cornelii Celsi... editio nova. M. DCC. LXI. (au dos Lommii Opera 1) / Observationum medicinalium libri tres, quibus omnium morborum Signa, & quæ de his haberi possunt præsagia, ... pertractantur. Opusculum aureum (au dos Lomm Opera II). Ens. en 2 volumes.
Amsterdam, Detournes frères, M. DCC. LXI., 1761 - 61, kl. in-8°, XXVIII + 174 p. + 2 p. (Index) ; 16 ff. + 325 p. (+1) + 19 ff / 12 ff. + 328 p. + 4 ff. index, reliure en veau, pièce de titre au dos. Tranches rouges.
Interessantes, vielmals aufgelegtes Werk über Krankheiten, Diagnostik und Heilung. Die Erstausgabe erschien 1560 in Antwerpen. Joost van Lom, “ungefähr 1500 in Buren (Gelderland, NL.) geboren, studierte wahrscheinlich in Paris, da er mit Fernel sehr befreundet war. Er practicirte in Doornik, war da mindesten 1557 Stadtarzt und etablirte sich darnach in Brüssel, wo er Leibarzt Philipp's II. wurde. Van Lomm war ein sehr guter Stylist, schrieb sehr reines Latein und man behauptet von ihm, dass kein einziger Arzt seines Jahrhunderts die Kenntniss der Krankheiten so viel gefördert habe, wie er.” (Hirsch).“Sous le titre d'observations médicales, Lomm a donné en réalité un traité de sémiotique dans le goût d'Hippocrate, c'est-à-dire appliquée surtout au pronostic. Il n'est plus question là de l'influence des astres sur la marche des maladies, les symptômes bons ou mauvais sont considérés comme des phénomènes naturels; l'auteur ne fait de concessions qu'à la doctrine des nombres et des périodes septénaires.” (DESM). Hirsch III/830-831 (van Lom); Dictionnaire Encyclopédique des Sciences Médicales LV/103 (van Lomm) Image disp.
(SLACES, NVVA)
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