Gallimard, 2004 (Haute enfance) In-12 broché, couverture beige illustrée, 125 pages, bon état
Reference : 32087
Librairie Ex Nihilo
M. Alain Galatis
Av. William-Fraisse 6, Case postale 1016
1001 Lausanne
Switzerland
ex-nihilo.librairie@bluewin.ch
Conformes aux usages de la librairie. Paiement : Carte de crédit Visa, Mastercad, American Express, Paypal, Chèque en euros sur une banque française Virement bancaire Les livres sont envoyés à réception du paiement. Nous vous informons des frais de port avant le traitement de la commande.
Gallimard Album cartonné Deux volumes in-4 (23,7 x 32 cm), album cartonné, T1 : Le Roi n'embrasse pas (2009, 142 pp.) - T2 : Puisque tout le monde veut la guerre (2018, 103 pp.) ; chocs dont deux petites déchirures au quatrième plat du tome 1, par ailleurs tome 2 en très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Gravure 1850 "Gravure en noir (image env. 15 x 19,5 cm sur support 18 x 28,5 cm) reproduisant un dessin de J.-J. Grandville, tirée de ""Album grotesque et pittoresque : Recueil comique de belles caricatures sur Chine"", représentant des oiseaux, légendée ""Tout le monde se couchait, etc. etc."" ; deux rousseurs sur l'image et une sur le bord supérieur (hors marges), par ailleurs bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Crepin-Leblond. Octobre 1972. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 521 à 588. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 355.8-Armes
Sommaire : Les pistolets Schwarzlose par M.H. Josserand, Remise en état, réparation et reconstitution des diverses parties métalliques de l'arme par Jean René Clergeau, Assez de restrictions, tout le monde a tort, tout le monde a raison par Roger Burgalat, Le Strim F1, nouvelle arme collective antichar par Jean Gabriel Jeudy Classification Dewey : 355.8-Armes
Plon 2010 300 pages 14x22x3cm. 2010. Broché. 8 volume(s). 300 pages. 8 livres de Claude Allègre: L'imposture climatique + Un peu de science pour tout le monde + Dieu face à la science + Toute vérité est bonne à dire + Les audaces de la vérité + Vive l'école libre! + La défaite en chantant + Quand on sait tout on ne prévoit rien et quand on ne sait rien on prévoit tout
Très Bon Etat de conservation général