Éditions Sortie du Zine, 10 rue des Gardes , Paris. Collection Papier de Soi. 1992. Couverture sérigraphiée en blanc sur papier de couleur, cousu. Impression en photocopie sur papier crème. 32 pages. Tiré à 50 exemplaires.
Reference : 1711
Librairie Michaël Seksik
M. Michaël Seksik
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1888 CRAFTY. LA CHASSE À COURRE. Notes et croquis, 1888, in-4 oblong. 48 pages illustrées de 48 aquarelles reproduites . Toile verte personnalisée de l’éditeur reliure de Lenègre et decor de Souze , motifs en noir et en couleurs. Bon état.
Un seul volume : mais possibilité de grouper avec le deuxieme titre de la meme collection "la chasse à tir" au prix de 450 euros les deux , au lieu de 530eRay C6*
Gilbert Salachas Editeur, 1983., non paginé , chaque pages avec un texte d'un coté et un croquis de l'autre Parfait etat photos sur demande
Ray P7
POIRET Paul & WORTH Charles Frederick & BEER & DOEUILLET Georges & LANVIN Jeanne SIMON Mario & WOODRUFF André-Edouard
Reference : 55409
(1920)
Lucien Vogel éditeur, Paris 1920-1922, 18x24cm, relié.
Réunion de carnets extraits de la Gazette du Bon Ton ainsi constituée : - Croquis de mode d'été par Mario Simon (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1920 n°3) pour Beer, Worth, Lanvin, Paul Poiret et Doeullet. Ensemble de quatre lithographies originales en couleur, tirées sur papier vergé. - Les modes en l'an de grâce Mil neuf cent vingt un (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1921 n°3).Les modes en l'an de grâce Mil neuf cent vingt un (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1921 n°3). - Pour la Riviera. Robes garnies de fleurs naturelles, dans la mesure où l'on en a et où l'on ne préfère pas d'employer, moins coûteuses, les fleurs artificielles (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1921 n°10).Ensemble de huit estampes originales en couleur, tirées sur papier vergé. Le croquis XIX est signé en bas à droite de la planche. - Costumes tailleur de fantaisie ornés de colifichets (Croquis, La Gazette du Bon ton, 1922 n°4).Ensemble de huit estampes originales en couleur, tirées sur papier vergé. Le croquis XXXI est signé en bas à droite de la planche. Gravures originalesréalisées pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photos sur www.Edition-originale.com -
[STREATFIELD FAMILY.- Streatfeild (Rev. Thomas, antiquarian and churchman, 1777-1778) & Captain Robert Streatfeild (1786-1852) and others [?]].
Reference : 4669
(1810)
s.L , s.d. [c.1810-1815]. 1810 2 carnets in-12° oblong (121 x 190 mm et 119 x 165 mm) et 1 carnet in-8° (180 x 115 mm) de : I. 49 dessins à laquarelle et croquis au crayon gris ; 1 note manuscrite détachée décrivant les conditions météorologiques sur une semaine ; filigranes J. Whatman 1810 ; II. 32 dessins et croquis au crayon gris ; inscriptions et calculs au début et à la fin du carnet au crayon gris ; III. 16 dessins et croquis au crayon gris ; 4 photos en couleur ; notes et calculs au début et à la fin du carnet ; étiquette de libraire: Made & Sold by E. William, Stationer to the Duke & Duchess of York N°11 Strand ; filigranes: W. Turner & Son, Budgen & (...) 18(..) et J. Green 1813. Soit un total de 97 dessins et croquis et 4 photos. (Quelques feuillets détachés et tarces d'arrachement, salissures et défauts d'usage). I. Demi-maroquin rouge à grain long à coins et porte-crayon dépoque, dos lisse orné de filets dorés, plats recouverts de papier vert, vestiges dun fermoir ; II. Plein maroquin rouge à grain long avec porte-crayon, dos lisse muet ; III. Demi-chagrin noir dépoque, dos muet, plats recouverts de papier marbré, dos lisse muet. (Frottements et défauts dusage).
Trois carnets de dessins et croquis provenant de la famille historique anglaise Streatfeild originaire de Chiddingstone (Kent). Les membres de la famille Streatfeild étaient d'importants propriétaires dans le Sussex, le Surrey et le Kent, et ont contribué à façonner ces comtés au cours des 17e et 18e siècles. Le siège de la famille était le château de Chiddingstone (à l'origine High Street House) et leur histoire remonte au XVIème siècle avec son plus ancien descendant connu: Robert Streatfeild de Chiddingstone (1514 - 1599). De part la ressemblance frappante entre leurs armoiries, la famille Streatfeild est très probablement une branche cadette de la noble maison de Stratford. Le premier carnet contient 49 dessins à laquarelle et croquis au crayon gris représentant des études de paysages, de bâtiments et de navires et de moulins à vent. Les dessins à laquarelle sont particulièrement bien exécutés tandis que les dessins au crayon gris se distinguent par leur finesse. Le carnet est agrémenté dune note manuscrite détachée avec 8 lignes de dates et de coordonnées géographiques avec les conditions météorologiques décrites pour chaque jour. Le second album comporte 32 dessins et croquis variés au crayon gris de paysages, maisons de campagne, ruines et détails architecturaux d'églises. Le dernier carnet débute avec 4 photos en couleur de dessins très probablement exécutés par un membre de la famille Streatfeild. En outre, il comporte 16 dessins et croquis et dessins au crayon gris ou à lencre représentant majoritairement des plans de maisons sous différents angles. Un certain nombre de dessins du capitaine Robert Streatfeild (1786-1852) ont été proposés chez Christie's en 2016 dans la vente Old Master Drawings and British Drawings and Watercolours (lots 144-150), et si ces dessins étaient à plus grande échelle, on note des similitudes d'exécution notables avec certaines aquarelles et croquis des présents albums. Le British Museum détient également un carnet de croquis du révérend Thomas Streatfeild (1777-1848 ; antiquaire et homme d'église renommé) présentant dimportantes ressemblances à nos carnets de dessins (voir BM n° 1969,0208.4-10). 2 oblong 12mo notebooks (121 x 190 mm and 119 x 165 mm) and 1 8vo notebook (180 x 115 mm) of: I. 49 watercolor drawings and gray pencil sketches; 1 detached handwritten note describing weather conditions over a week; watermarks "J. Whatman 1810"; II. 32 gray pencil drawings and sketches; inscriptions and calculations at the beginning and end of the notebook in gray pencil; III. 16 drawings and sketches in gray pencil; 4 color photographs; notes and calculations at beginning and end of notebook; bookseller's label: "Made & Sold by E. William, Stationer to the Duke & Duchess of York N°11 Strand"; watermarks: "W. Turner & Son", "Budgen & (...) 18(..)" and "J. Green 1813". A total of 97 drawings and sketches and 4 photographs. (Some detached leaves and tears, soiling and defects of use). I. Half red long-grained morocco with corners and pencil holder, smooth spine decorated with gilt fillets, boards covered with green paper, remains of a clasp; II. Full red long-grained morocco with pencil holder, smooth mute spine; III. Vintage black half-chagrin, muted spine, marbled paper covered boards, muted smooth spine. (Rubbing and defects of use). Three sketchbooks from the historic English Streatfeild family of Chiddingstone, Kent. Members of the Streatfeild family were prominent landowners in Sussex, Surrey and Kent, and helped shape these counties during the 17th and 18th centuries. The family seat was Chiddingstone Castle (originally High Street House) and their history dates back to the 16th century with its earliest known descendant Robert Streatfeild of Chiddingstone (1514 - 1599). Because of the striking resemblance between their coats of arms, the Streatfeild family is most likely a younger branch of the noble house of Stratford. The first notebook contains 49 watercolor and gray pencil sketches depicting studies of landscapes, buildings, ships and windmills. The watercolor drawings are particularly well executed while the gray pencil drawings are distinguished by their finesse. The notebook is embellished with a detached handwritten note with 8 lines of dates and geographical coordinates with weather conditions described for each day. The second album contains 32 various drawings and sketches in grey pencil of landscapes, country houses, ruins and architectural details of churches. The final booklet begins with 4 color photographs of drawings most likely executed by a member of the Streatfeild family. In addition, there are 16 sketches and drawings in gray pencil or ink, mostly of house plans from various angles. A number of drawings by Captain Robert Streatfeild (1786-1852) were offered at Christie's in 2016 in the sale "Old Master Drawings and British Drawings and Watercolours" (lots 144-150), and while these drawings were on a larger scale, there are notable similarities in execution with some of the watercolors and sketches in the present albums. The British Museum also holds a sketchbook of the Reverend Thomas Streatfeild (1777-1848; noted antiquarian and churchman) with significant similarities to our drawing books (see BM No. 1969,0208.4-10).
Phone number : 06 81 35 73 35
1848 Réunion de croquis à la mine de plomb et à l'encre se composant de : 10 portraits -pour la plupart recto-verso- à la mine de plomb 10.5 x 6.7 cm., 2 croquis à la mine de plomb 9 x 15 cm., 18 dessins à l'encre signées de l'initiale B. 15.9 x 12 cm., 1 mine de plomb représentant Adolphe Thiers 9.4 x 6.5 cm., 1 cul-de-lampe pour le génie de La Malice des choses suivi d'1 croquis, 36 dessins à l'encre et à la mine de plomb sur papier très fin 21.5 x 13 cm., 1848-1876, certains sont signés de son monogramme.
BERTALL ,(Paris 1820 -1882 Soyons), est un caricaturiste, illustrateur, collaborateur de nombreux journaux, écrivain, graveur prolifique et pionnier de la photographie. Bertall est l'anagramme de son prénom "Albert". Il doit l'ajout du second "L" à Balzac dont il illustra quelques ouvrages : Les Petites misères de la vie conjugale, Les Types de la comédie humaine... "Il est vrai que Bertall incarne le modèle de l'illustrateur selon Balzac, qui apprécie avant tout son esthétique neutre, objective, apte à s'effacer devant l'oeuvre littéraire qu'il "traduit" en images avec une grande fidélité tout en restituant l'esprit comique du texte." in maisondebalzac/éditions-de-Balzac/Petites misères-de-la-vie-conjugale. Belle réunion de croquis réalisés par cet illustrateur prolixe qui croqua si bien ses contemporains, leur physiologie et su accorder la même importance à ses dessins qu'à ses textes. 10 portraits à la mine de plomb (10.30x6.7 cm.), 1 croquis représentant Adolphe Thiers, 2 croquis à la mine de plomb représentant un cheval et une galerie de portraits d'écrivains, 18 croquis à l'encre légendés à la mine de plomb sous le dessin, 1 dessin à la mine de plomb pour la Malice des choses représentant "le génie" qui figura en cul-de-lampe de l'ouvrage accompagné d'1 croquis à la mine de plomb, 36 croquis à l'encre et à la mine de plomb pour "De la Malice des choses." Nous joignons 5 tirés à part gravés. Quelques trous d'épingles, plis et salissures sur certains dessins. Bel et rare ensemble.