1934 Paris, L'Illustration, 1934. N° 660 de "La Petite Illustration"; Théâtre, N° 340. Une revue de format in 4° de42 pp., photographies tirées de représentation.
Reference : 6242
Bon état.
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1979 ALBIN MICHEL Soft cover
Lettres a Fanny, 1808-1815 couverture broché, 500 pp, 225 x 145 mm, en bon état
Paris 1930 Richard Half-Leather
Fanny Ou L'Esprit Du Large illustré de trente hors-texte en couleurs de Jean Maxence preface de A. de Chateaubriant, demi cuit, numeroté, 300 exemplaire sur velin d'arches 122/300, bon état
[Gaston Barré] - MAC ORLAN, Pierre [Pierre DUMARCHEY, pseudonyme]
Reference : AMO-584
(1951)
par Pierre Mac Orlan de l'Académie Goncourt. Pointes-sèches de Gaston Barret. Editions Vialetay, 1951 1 volume in-4 (28,5 x 19,5 cm), en feuilles, sous couverture imprimée et emboîtage de l'éditeur. Excellent état. Emboîtage légèrement passé. TIRAGE A 306 EXEMPLAIRES. 20 POINTES SÈCHES MISES EN COULEURS AU POCHOIR (dont 10 hors-texte). CELUI-CI, 1 DES 50 EXEMPLAIRES SUR PAPIER DE RIVES AVEC SUITE DES 20 POINTES SÈCHES EN SÉPIA AVEC REMARQUES. EXEMPLAIRE SIGNÉ PAR PIERRE MAC ORLAN ET GASTON BARRET A LA JUSTIFICATION DU TIRAGE.
Fanny Hill est une coquine. Elle naquit en 1790 dans un petit village de la Somme. À dix ans, ses parents étant morts de la petite vérole, elle rencontre un vagabond qui l'initie à des procédés qui ne sont pas de son âge. Bientôt, nous la retrouvons à Boulogne. Elle est la maîtresse du matelot La Carline, un joyeux drôle qui lui fait connaître Mylord Coloquinte. C'est ainsi que la fillette passe en Angleterre. Trois ans de concubinage avec Mylord Coloquinte, espion britannique, c'est beaucoup. Fanny l'empoisonne. La voilà lâchée dans Londres. Après quelques années de misère dans le sordide quartier de Whapping, elle a l'idée d'aller à King's Place, centre luxueux de la vie galante londonienne. À King's Place, les «maisons» sont accueillantes. Fanny Hill fait fortune. Elle parvient même à avoir une de ces maisons à elle. Mais ses aventures pour autant ne sont pas finies." (Quatrième de couverture, Coll. Folio Gallimard, 1986). "Si j'ai emprunté pour écrire ce récit le nom de l'héroïne d'un obscur ouvrage de John Cleland, ce n'est pas pour rendre hommage à ce livre médiocre. Fanny Hill est un joli nom pour une fille perdue, dans le genre de ces coquines qui fréquentaient chez les « abbesses » de King's Place. Moll Flanders est aussi un très joli nom pour un personnage de cette catégorie mais la jeune et la vieille Moll Flanders vivent toujours sous la protection de Marcel Schwob. Elles ne sont pas encore tombées dans le domaine public, ce domaine public dont la jeune Molly fut la servante jusqu'à un âge avancé. J'ai donc adopté Fanny et je ne dois rien à son auteur. Miss Fanny Hill n'est pas une héroïne, purement littéraire. Elle dut fréquenter Malborough Street en compagnie des Nelly Elliot, de Kitty Fredrick, de Clara Hayward. Une liste complète de ces dames serait trop longue à établir. La certitude que Miss Hill n'est pas un simple produit de la plume et de l'encrier de Cleland me permet de la faire revivre selon les lois de la vie." (extrait de la préface de Mac Orlan). L'illustration de Gaston Barret est très vivante et très sensuelle. Elle évoque parfaitement le milieu dans lequel évolue l'héroïne de ce roman. BEL EXEMPLAIRE DE CE JOLI LIVRE ILLUSTRÉ.
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cartonné, 22 x 33,5 cm, 200 pages
Catalogue de l'exposition Fanny Viollet ou les métamorphoses du fil, du 4 octobre au 5 novembre 2022 à la Librairie Métamorphoses. Un livre consacré au travail inventif, insolent, bigarré, original, candide, arachnéen, malicieux et subversif de Fanny Viollet. Du fil multicolore, des ciseaux et une machine à coudre, libérée de ses carcans et comme désinhibée par l’audace de l’artiste : cela suffit à Fanny Viollet pour élaborer des compositions où textes et images, souvent mêlés ou heureusement hybridés, forment une sorte d’éloge de la créativité au quotidien ; une célébration de la noblesse de l’artisanat, des travaux de couture enfin libérés du joug patriarcal, de la poésie « involontaire » ou « intentionnelle », de la présence du temps...
23/07/1968 Répondant à la lettre de son correspondant, Fanny Robiane sexclame …Vous mécrivez « appréciant tout particulièrement votre ?uvre »… comme cest vilain de mentir !... Elle précise …Artiste dramatique je me contente dinterpréter les ?uvres des autres… Enfin …voilà tout de même un autographe…Dotée dune belle voix et dune forte présence scénique, Fanny Robiane fut tragédienne à lOdéon depuis la fin des années 1920 jusque dans les années 1970.