Librairie de Paris, Firmin-Didot, sd. Un volume broché de format in 8° de 112 pp., illustré de 52 reproductions photographiques hors texte.
Reference : 5542
Couverture légèrement plissé, dos creusé; quelques reproductions décollées, vérifié bien complet. En l'état.
Librairie Daniel Sciardet
M. Daniel Sciardet
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Librairie de Paris, Firmin-Didot et Cie 1919 In-8. Broché, couverture beige imprimée en lettres noires, 110 pp., 52 gravures. Couverture ternie.
Bon état d’occasion
"1919. Paris Librairie de Paris Firmin -Didot et Cie imprimeurs-éditeurs 1919 - Broché 15 5 cm x 24 5 cm 110 pages 53 photos noir souvenirs de Hervé Kériadec paysan breton"
Librairie de Paris, Firmin-Didot et Cie, imprimeurs-éditeurs, 56, rue Jacob Relié In-8 (15 x 23,5 cm), reliure pleine toile, sans date, 110 pages, 52 photographies en noir et blanc ; papier bruni, quelques traces et marques d'usage sur la toile, assez bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
N° 1285 - 10 javril 1916 - Paris. 31, rue Saint-Guillaume, VIIe - broché - 192 pages
bon état (dos plié et un peu déchiré avec petit manque)
Albin Michel, 1932, in-12, 320 pp, préface du colonel Raynal, broché, qqs rares rousseurs, bon état
Mémoires de guerre du 30e Régiment d'Infanterie. Lorsque la guerre éclate en 1914, Philibert est un jeune savoyard de 17 ans. Il doit attendre 1915 pour s’engager, avec la ferme intention de venger la France de l’affront de 1870 mais aussi de faire carrière dans les armes. Philibert est affecté en Champagne, il participe à Verdun, gagne peu à peu ses galons et devient même aspirant officier après quelques mois de formation à Saint-Cyr. Blessé en 1917 lors de l’attaque de la Malmaison, il remonte pourtant au front près de Reims avant de participer au défilé de la Victoire dans Metz libérée du joug allemand. Philibert explique lui-même les raisons qui l’ont poussé à écrire en 1931 : “Ce que j’ai fait, des milliers et des milliers de Français l’ont fait et souvent beaucoup mieux... Les Français partiraient-ils aujourd’hui avec le même enthousiasme qu’en août 1914 ? Nos régiments seraient-ils capables de tenir aujourd’hui avec autant d’héroïsme devant les fatigues, les privations et la mort ?” Philibert, en plus du récit, nous montre de façon très pertinente l’état d’esprit général du combattant de la Grande Guerre, d’abord épris de revanche puis écoeuré devant l’hécatombe mais toujours fidèle à son devoir.