1964 Paris, PUF, 1964. Collection "Que-sais-je ?". N°1141. Un volume broché de format petit in 8° de 128 pp.
Reference : 4404
Bel état. Peu commun.
Librairie Daniel Sciardet
M. Daniel Sciardet
06 87 58 08 12
par chèque bancaire à l'ordre de Daniel Sciardet, ou virement bancaire ou paypal. Attention; pour les ouvrages de prix modeste, le montant du port peut être supérieur à ce prix. Pour les commandes en France supérieures à 80€ le port est pris en charge par la Librairie (sauf livre exceptionnel...!).
Flammarion, 2008 gr. in-8°, 410 pp, 16 pl. de gravures en noir et en couleurs, notes, index, broché, couv. illustrée à rabats, bon état (Coll. Au fil de l'histoire)
Février 1914 : une grande enquête est lancée pour déterminer le sujet le plus "parisien" du moment. Alsace-Lorraine, tensions avec l'Allemagne, poudrière des Balkans ? Erreur. La réponse est : Bergson. Les élégantes qui se pressent aux cours du philosophe s'arrachent d'ailleurs la dernière robe du grand couturier Worth, joliment appelée "M. Bergson a promis de venir..." Chers snobs, que le Collège de France préoccupe davantage que la guerre qui menace. Bergsoniens à la Belle Epoque, ils ont été amateurs de loirs au miel dans l'Antiquité, bourgeois gentilhommes ou précieuses ridicules au Grand Siècle, Incroyables ou Merveilleuses sous le Directoire, fashionables sous la Restauration... mais il leur a fallu attendre le milieu du XIXe siècle pour connaître la consécration, grâce au livre du romancier anglais Thackeray, “Le Livre des snobs”, acte de baptême du snobisme. Dûment nommés, nos snobs s'habillent à l'anglaise et courtisent les clubs chic, convoitent l'onction du titre de noblesse ou de la particule, s'émerveillent de la mise du comte d'Orsay, de Boni de Castellane, d'Oscar Wilde ou du prince de Galles. Après la Grande Guerre, la séduction du grand monde finit par se tarir. Fleurit alors un snobisme nouveau, aujourd'hui plus vivace que jamais : il faut être dans le vent, ou mourir ! Goûter l'art cubiste puis abstrait, quand la foule en est aux impressionnistes ; s'affoler de la cuisine dite nouvelle pour, quand elle vieillit, célébrer les élucubrations chimiques de chefs inspirés... Ridicules, les snobs ? Avant de leur jeter la pierre, faites votre examen de conscience, en méditant le propos du maître en snobisme que fut Robert de Montesquiou : "il faudrait manquer d'esprit pour ne pas être snob"...
Édition Flammarion, 2008. In/8 (24 x 15 cm) broché, 408 pages, couverture illustrée, planches d'illustrations couleurs, quelques illustrations en noir in-texte.
"Février 1914 : une grande enquête est lancée pour déterminer le sujet le plus " parisien " du moment. Alsace-Lorraine, tensions avec l'Allemagne, poudrière des Balkans ? Erreur. La réponse est : Bergson. Les élégantes qui se pressent aux cours du philosophe s'arrachent d'ailleurs la dernière robe du grand couturier Worth, joliment appelée " M. Bergson a promis de venir... " Chers snobs, que le Collège de France préoccupe davantage que la guerre qui menace. Bergsoniens à la Belle Époque, ils ont été amateurs de loirs au miel dans l'Antiquité, bourgeois gentilshommes ou précieuses ridicules au Grand Siècle, Incroyables ou Merveilleuses sous le Directoire, fashionables sous la Restauration... mais il leur a fallu attendre le milieu du XIXe siècle pour connaître la consécration, grâce au livre du romancier anglais Thackeray, Le Livre des snobs, acte de baptême du snobisme. Dûment nommés, nos snobs s'habillent à l'anglaise et courtisent les clubs chic, convoitent l'onction du titre de noblesse ou de la particule, s'émerveillent de la mise du comte d'Orsay, de Boni de Castellane, d'Oscar Wilde ou du prince de Galles. Après la Grande Guerre, la séduction du grand monde finit par se tarir. Fleurit alors un snobisme nouveau, aujourd'hui plus vivace que jamais : il faut être dans le vent, ou mourir ! Goûter l'art cubiste puis abstrait, quand la foule en est aux impressionnistes ; s'affoler de la cuisine dite nouvelle pour, quand elle vieillit, célébrer les élucubrations chimiques de chefs inspirés... Ridicules, les snobs ? Avant de leur jeter la pierre, faites votre examen de conscience, en méditant le propos du maître en snobisme que fut Robert de Montesquiou : " il faudrait manquer d'esprit pour ne pas être snob "..."
Bartillat 2006, in-8 broché, 354 p. (bel état) Réédition bienvenue de ce réjouissant catalogue des postures du snobisme dans tous ses états, des dîners mondains aux automobiles, en passant par les sports et les pedigrees des chiens…
Un ouvrage de 136 pages, format 115 x 175 mm, broché, publié en 1964, P.U.F., collection "Que Sais-je ?"
Phone number : 04 74 33 45 19
Editions du Cerf, Paris, 1952. In-4, agrafé sous couverture illustrée, 31 pp. Ni snobisme, ni démagogie, P.-R. Régamey - Pères St J. Piat, Lucien-Marie de Joseph et Albert du Sacré-Cœur. Témoignages sur le Miserere - . Le drame de l'"art engagé", Pierre Divonne - M. Seldmayer et la réaction actuelle contre l'art ...
Illustrations et planches en noir et blanc. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41