1936 Paris, Grasset, 1936. Collection "Les Ecrits". Un volume broché de format in 8° de 208 pp.
Reference : 3791
Quelques rares piqures sur la couverture. Bon état. Peu courant.
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L'Harmattan, 2009, in-8 br., 265 p., publié avec le soutien de la Fondation Gabriel-Péri, préface de Michel Dreyfus, état de neuf.
Le Mouvement communiste français a été étudié sous bien des angles de sorte qu'on en croit parfois tout connaître. Pourtant, ses organisations de jeunesse sont aujourd'hui grandement méconnues voire inconnues. De la Jeunesse communiste, on sait encore trop peu ; de l'Union de la jeunesse républicaine de France (U.J.R.F.), on ne savait presque rien. Ce livre, première étude consacrée en propre à l'U.J.R.F., présente une organisation de jeunesse au visage oublié et singulièrement massif : avec ses 250 000 adhérents en 1945, elle est sans doute le plus grand groupe politique de jeunesse de l'Histoire de France. Visage massif, visage contrasté également. Si l'U.J.R.F., avec ses centaines de bals, fait danser toute la France juvénile au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, deux ans plus tard, elle est en première ligne des combats les plus durs du Mouvement communiste. C'est que l'U.J.R.F., par de brusques oscillations imposées de l'extérieur, ne cesse de changer de nature : tantôt large organisation de masse peu politisée ; tantôt avant-garde militante resserrée. Lourd contexte historique et désaccords de conception des acteurs - par quoi l'affaire Marty se trouve originalement éclairée - viennent ainsi former et déformer l'U.J.R.F. de son surgissement à son enfouissement en 1956. Voir le sommaire sur photos jointes.
LES EDITIONS RIEDER. 15 NOVEMBRE 1935. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 305 à 456.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : PANAIT ISTRATI : Post-scriptum à « Une nuitdans les marais »..JEAN GUÉHENNO : Jeunesse de la France (I).ANDRÉ CHAMSON : La bête blanche.LAFORÊT : Charretier (fragments)..RAJA RAO : Narsiga.LÉON PIERRE-QUINT : Une nouvelle lecture dix ans plus tard. Marcel Proust et la jeunesse d’aujourd’hui (fin)..COMMENTAIRES :jean-richard bloch : Anniversaire d’« Octobre »..NOTES DE LECTURES :JEAN GUÉHENNO : 27 septembre 1935. CHRONIQUES DU TEMPS :N. R. MASANI : L’Inde et l’Abyssinie..Gabriel audisio : Humanisme et latinité.PIERRE GÉROME : La guerre n’est pas fatale. FRANÇOIS CRUCY : Genèse d’un conflit.LÉON LIMON : Autour de la Méditerranée. LÉON WERTH ; Le Cinéma.COMPTES RENDUS :Jean Blanzat : A. de Chateaubriant. — Georges Dupeyron î Jean Cocteau. — Armand Colin : Maurice Rué. — Georges Dupeyron : Joseph Jolinon. — Jean Blanzat : D. H. Lawrence. — Armand Robin : Karen Bramson. — E. E. Noth : Wolfgang Langhoff. — Philippe Soupault : Andrée Viollis. — Raoul Celly : Gabriel Audisio. — Raja Rao : Edmond Privai. — Trois manifestes Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, R. Laffont, 1989. In-8, 350 pages, illustr. h.t., notes, broche, couverture illustree plast.
Bel exemplaire. [CA-6]
1935 Numéro 155 - 15 novembre 1935 - in-8 broché - Ed. Les Editions Rieder, Paris
bon état
Laffont, 1989, gr. in-8°, 350 pp, 8 pl. de gravures hors texte, importante biblio (11 pp), broché, couv. illustrée, bon état, prière d'insérer, envoi a.s.
"On ne peut manquer d'être sensible au choix et à l'exceptionnelle qualité des documents qui nous sont ici présentés. Ce sont certaines étapes, souvent les plus mal connues, toujours les plus significatives de cette cruelle histoire de la délinquance juvénile qui sont retracées avec une impitoyable lucidité. Et l'incomparable culture historique de l'auteur, les exigences de son information nous font découvrir des aventures ignorées comme celles de la jeunesse tumultueuse d'un révolutionnaire au cœur pur : Saint- Just. La longue expérience professionnelle de Y. R., ses efforts inlassables pour venir en aide à ces « enfants perdus », au-delà des exigences administratives et des obstacles, donnent à ses critiques de certaines réalisations et à la dénonciation de certains échecs un ton parfois amer mais jamais découragé. Et pourtant la répression paraît encore trop souvent le seul remède à ces situations de déviance où l' « histoire de notre temps » témoigne de la peur d'une société qui ne se défend que par la prison. Comment après cette succession d'échecs de la justice et de l'éducation ne pas souhaiter avec Y. R. « l'indispensable remise en cause de tout un appareil social, éducatif et médical qui, bien trop souvent, de rejet en rejet, ne connaît plus d'autre aboutissement que la néfaste et inutile incarcération »." (Hélène Gratiot-Alphandéry, Enfance, 1991)