paris julliard 1962 1 Un volume broché de format petit in 8° carré de 214 pp.; nombreuses illustrations dans le texte par Moisan. jaquette illustré.
Reference : 11502
Quelques rares rousseurs. Bon état.
Librairie Daniel Sciardet
M. Daniel Sciardet
06 87 58 08 12
par chèque bancaire à l'ordre de Daniel Sciardet, ou virement bancaire ou paypal. Attention; pour les ouvrages de prix modeste, le montant du port peut être supérieur à ce prix. Pour les commandes en France supérieures à 80€ le port est pris en charge par la Librairie (sauf livre exceptionnel...!).
État : Très bon état - Année : 1961 - Format : in 8° - Pages : 212pp - Editeur : Julliard - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché avec jaquette illustrée - Divers : Pages un peu jaunies. 16ème mille - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/andre-ribaud/9835-la-cour-chronique-du-royaume?lrb
Dessins de Moisan. Recueil des chroniques parues entre 1958 (le retour du général De gaulle au affaires) et 1961 dans le Canard Enchainé qui, sous forme de pastiche à la manière de Saint Simon ou des Chroniques de l'Oeil de Beauf de Touchard-Lafosse, nous retracent les premières années du ˮsecond règneˮ du général De Gaulle. Elles ont beaucoup irrité le Pouvoir car bien informées.
Phone number : 09 63 58 85 14
LA COUR , chronique du Royaume André Ribaud Dessins de Moissan vol relié demi cuir, frottements et décolorations, 210x150, très bel état int. 211pp, couvertures conservés Julliard 1962 ref/c73
Julliard, 1962-1963, 2 vol. in-8°, 212 et 223 pp, texte d'André Ribaud, nombreux dessins de Moisan, brochés, jaquettes illustrées, bon état
Par Roger Fressoz, alias André Ribaud (1921-1999), ces célèbres chroniques imitées de Saint-Simon, moquant les premières années de la présidence du général de Gaulle, parues de 1958 à 1962 dans le “Canard enchaîné”. – « La France n'a plus de Parlement. La France n'a plus de Gouvernement. Seuls comptent le roi et sa cour. » – Les dessinateurs, Roland Moisan (1907-1987) en tête, ont amplement contribué à populariser la formule imaginée par André Ribaud pour flétrir les moeurs de la Ve République. Voir par exemple son portrait de Michel Debré, alors Premier Ministre : « M. de Bré, qu'on appelait ordinairement M. le-Prince-qui-nous-gouverne, était un homme d'une taille médiocre, assez boudin de figure, l'œil enfoncé, la mine basse, le cheveu noir, fort garçon d'ordre, avec une sorte de raideur, pour qui des riens continuellement étaient des hydres, le propos moral et sentencieux, l'air plein de sévérité et à se faire craindre des plus humbles à proportion qu'il était lui-même plus bas devant le Roi (...) Il n'était au vrai qu'un cheval d'aucune race, prompt à tous les attelages, à être bâté de toute charge, à hâler n'importe quoi jusqu'à bout d'échine pourvu que le Roi, mais le Roi seul, lui fit sentir rudement le bridon et le fouet. M. le Prince était né sujet. » (“La Cour”). – Les auteurs ont publié un 3e volume (“Le Règne”) en 1967.
Julliard, 1962, 2 vol. in-8°, 212 et 223 pp, texte d'André Ribaud, nombreux dessins de Moisan, reliures pleine toile bleue de l’éditeur, dessins de Moisan en médaillon au 1er plat, rhodoïds (petites fentes), bon état
Par Roger Fressoz, alias André Ribaud (1921-1999), ces célèbres chroniques imitées de Saint-Simon, moquant les premières années de la présidence du général de Gaulle, parues de 1958 à 1962 dans le “Canard enchaîné”. – « La France n'a plus de Parlement. La France n 'a plus de Gouvernement. Seuls comptent le roi et sa cour. » – Les dessinateurs, Roland Moisan (1907-1987) en tête, ont amplement contribué à populariser la formule imaginée par André Ribaud pour flétrir les moeurs de la Ve République. Voir par exemple son portrait de Michel Debré, alors Premier Ministre : « M. de Bré, qu'on appelait ordinairement M. le-Prince-qui-nous-gouverne, était un homme d'une taille médiocre, assez boudin de figure, l'œil enfoncé, la mine basse, le cheveu noir, fort garçon d'ordre, avec une sorte de raideur, pour qui des riens continuellement étaient des hydres, le propos moral et sentencieux, l'air plein de sévérité et à se faire craindre des plus humbles à proportion qu'il était lui-même plus bas devant le Roi (...) Il n'était au vrai qu'un cheval d'aucune race, prompt à tous les attelages, à être bâté de toute charge, à hâler n'importe quoi jusqu'à bout d'échine pourvu que le Roi, mais le Roi seul, lui fit sentir rudement le bridon et le fouet. M. le Prince était né sujet. » (“La Cour”). – Les auteurs ont publié un 3e volume (“Le Règne”) en 1967.
Paris, René Julliard, 20 octobre 1961/ 23 novembre 1962, 14,5x20cm, broché, 211, 220p. Edition originale. Non coupé. Très bon état.