‎VERLAINE, Paul. - Albert DECARIS.‎
‎Poèmes Tendres.‎

‎Poèmes tendres.‎

‎Paris IMPRIMERIE NATIONALE L'Art Français du Livre 1957 un volume (290 x 225mm), non paginé. Reliure en demi-peau imitation vélin, dos lisse orné d'une étiquette de titre, dos et couverture conservés (reliure moderne). (étiquette frottée). Ouvrage illustré de 15 gravures hors-texte de Albert Decaris. Un des 275 exemplaires sur vélin pur chiffon de Rives à la forme numérotés (n° 367). intérieur frais.‎

‎MERCURE DE FRANCE N° 1051 - Rouault par Stanislas Fumet, Tendres grimaces par Hugues Fouras, A propos de boxe par George Borrow, L'ame religieuse de Romain Rolland par J.B. Barrère, Cinq poèmes par Bernard Courtin, En marge du Journal des Goncourt, 1857‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1er mars 1951. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 385 à 570.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

‎Sommaire : Rouault par Stanislas Fumet, Tendres grimaces par Hugues Fouras, A propos de boxe par George Borrow, L'ame religieuse de Romain Rolland par J.B. Barrère, Cinq poèmes par Bernard Courtin, En marge du Journal des Goncourt, 1857-1869 par Jean Bonnerot Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

‎ Tendres amers. Poèmes. ‎

‎ Sous chemise pleine toile marron de l'éditeur fermée par un lacet. Couverture rempliée. ‎

‎Paris Atelier de L?Olivette 1982 40 pp. In-8 à l'italienne. En feuilles. Parfait état. 1 volume. ÉDITION ORIGINALE LIMITÉE à 75 exemplaires numérotés signés par l'auteur et l'artiste, illustrée d'un portrait de l'auteur gravé à l'eau-forte et de 8 sérigraphies en couleurs de Gabriel PARIS (1924-2000). Celui-ci un des 5 exemplaires hors commerce signés et numérotés en chiffres romains. ‎

‎LOUYS (Pierre), établie par Jean-Paul GOUJON L ' OEUVRE EROTIQUE Paris, Editions SORTILEGES, 1994 . Edition établie et présentée par Jean-Paul GOUJON. Un fort volume in - 8 de XXXI 1083 pp. , portrait en frontispice, reliure toilée (quelque peu défraîchie, légère odeur d'humidité) Pierre Félix Louis dit Pierre Louÿs , né à Gand ( Belgique ) le 10 décembre 1870 et mort à Paris le 6 juin 1925 , est un poète et romancier français. Il est également connu sous les noms de plume de Pierre CHRYSIS , Peter Lewys et Chibrac Influences du Parnasse hellénisant et du symbolisme, avec un profond goût de la sensualité, du bucolique (dans sa première partie) et de l'érotisme élégant. Les évocations naturelles et précieuses y côtoient ainsi des scènes érotiques. Ses poèmes inspirèrent certains musiciens, dont Claude Debussy qui en tira trois compositions, avec la collaboration amicale de Louÿs. Tout au long de sa vie, Pierre Louÿs a écrit un très grand nombre de curiosa , doublant, notamment et systématiquement, ses ouvres publiées d'une version érotique. Ses textes, souvent ironiques, reprennent sous une forme coquine des ouvres sérieuses comme les quatrains de Pybrac ou le Manuel de civilité pour les petites filles à l'usage des maisons d'éducation . Il a également raconté ses difficiles relations avec les trois filles Heredia et leur mère dans Trois filles de leur mère , publié sous le manteau après son décès, puis officiellement dans le catalogue de Jean-Jacques Pauvert . Pierre Louÿs est aussi un bibliophile, qui possédait une bibliothèque de plus de 20 000 volumes (dont des unica ) et une connaissance très fine de la littérature ancienne. Extrait du Tombeau d'une jeune courtisane ( Les Chansons de Bilitis ) « Ici gît le corps délicat de Lydé, petite colombe, la plus joyeuse de toutes les courtisanes, qui plus que toute autre aima les orgies, les cheveux flottants, les danses molles et les tuniques d'hyacinthe. Plus que toute autre, elle aima les glottismes savoureux, les caresses sur la joue, les jeux que la lampe voit seule et l'amour qui brise les membres. Et maintenant, elle est une petite ombre. Mais avant de la mettre au tombeau, on l'a merveilleusement coiffée et on l'a couchée dans les roses ; la pierre même qui la recouvre est tout imprégnée d'essences et de parfums. Terre sacrée, nourrice de tout, accueille doucement la pauvre morte, endors-la dans tes bras, ô Mère ! et fais pousser autour de la stèle, non les orties et les ronces, mais les tendres violettes blanches. »‎