1864 Paris, Emile Dentu, Editeur, sans date, [1864], 1 Volume relié, 203 x 155 mm. 112 pp. Reliure demi cuir, pièce de titre, maroquin bleu, 70 Dessins, dans et hors texte par Edmond Morin,belle reliure, quelques rousseurs, infimes déchirures, en marge, modeste "restauration" de l'une d'entre elles.
Reference : 4457
"Il y avait à proximité la Maison d'Arrêt de la Garde Nationale, l'Hôtel des Haricots, qui était situé entre le quai d'Austerlitz et le Chemin de fer d'Orléans, au 92, rue de la Gare, actuellement le 55, quai dAusterlitz. Cette Prison servit également comme lieu de détention à Alfred de Musset, Théophile Gautier, Paul Gavarni, Auguste de Châtillon, Alcide-Joseph Lorentz, Bertall, Alexandre-Gabriel Decamps..."Les Dessins, Caricatures, Graffitis et Commentaires laissés par ces Occupants prestigieux font l'objet du présent livre.
Brision Denis - Livres Anciens
Denis Brision
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Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, demi-chagrin vert poli, dos à nerfs orné, tête dorée, couv. ill. cons. Rousseurs. Dos passé.
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, demi-percaline bleue (reliure de l'époque). Petites usures aux mors. Ex-libris G. Cottreau.
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, broché. Mouillure sur la première partie de l'ouvrage. Ex-libris Yves Louis Mongrolle.
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, E. Dentu, s.d. (1864) in-8, [4] ff. n. ch., 153 pp., avec 70 compositions dans le texte par Edmond Morin, musique notée, demi-percaline violine à la Bradel, couv. ill. cons. Rousseurs. Deux ex-libris .
Très intéressante monographie, sans doute d'ailleurs l'unique composée sur l'une des prisons parisiennes les moins documentées : l’Hôtel des Haricots, qui se situait au 92 rue de la Gare (actuellement le 55 quai d’Austerlitz), était l’héritier du collège de Montaigu. On y logeait alors des étudiants miséreux et, si on en croit son surnom, assez mal nourris. Après la suppression des collèges en 1791, il servit de prison militaire durant la Révolution. Transféré en 1800 rue des Fossés-Saint-Bernard, il connut une importante fréquentation littéraire et artistique, avec des hôtes aussi illustres qu’Alfred de Musset, Eugène Sue, Honoré de Balzac… tous en délicatesse avec l’institution militaire et le régime en place car il était devenu la prison de la Garde nationale. Albert de Lasalle ou de La Salle (1833-1886) a surtout écrit comme critique musical et historien de la musique. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
E. Dentu, sans date, 153 p., demi-chagrin, des épidermures sur le cuir, plats frottés, nombreuses rousseurs sur les pages, une mouillure sur les premières pages.
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