Balland In-8°, broché, elégante couverture à l'encadrement bleu composée à la manière d'une maison d'édition consoeur et célèbre, 136 pages, bel exemplaire un peu fané et en belle condition.
Reference : 11082
ISBN : 2715806965
Patrick Rambaud, sous le pseudonyme de Marguerite Duraille se livre ici à une savoureuse parodie dans la veine de Marguerite Duras ( Voir également du même fauteur Mururoa mon amour ) Bon Etat Franco de port pour la France par MONDIAL RELAY dés 20 euros pour les ouvrages modernes . Paiement immédiat par Paypal . Chèques et virement acceptés. Votre Libraire vous accompagne dans toutes les étapes de vos achats. Achat et déplacement France Suisse.
Artlink
M. Moïse Lecomte
+33 47 78 70 476
Règlement immédiat par PAYPAL, virements acceptés. FRANCO DE PORT à partir de 30 euros d'achats en France. Nous privilégions la fiabilité de MONDIAL RELAY (Indiquer votre point retrait habituel). Une participation peut être demandée ponctuellement pour un envoi en Colissimo, ou trop pondéreux pour que nous puissions en supporter la charge. Votre versement est bloqué jusqu'à confirmation de bonne réception et conformité. CONTACT 7j/7 - librairie@gmail.com 0685628422.
Amsterdam, Th. Lombrail 1707, in-12, (4 ff.), 432 pp. (8 ff.), illustré de 12 planches (sur 14), relié plein cuir époque , dos à nerfs avec pièce de titre , charnières fendues , manque au dos , coiffes et coins usés , bord du papier faible .
Seconde édition de la traduction française de cette étude parue d'abord à Londres en 1705. La première édition française, imprimée à Orléans, parut la même année à Paris. La Virginie avait été, à la fin du XVIe siècle, la première colonie anglaise du Nouveau Monde. peuplée alors et entre autres par les Powhatans , le peuple de Pocahontas . À la fin du volume, un tableau dépliant fournit un dénombrement de la population dans les divers comtés de Virginie pour l'année 1703. L'ouvrage donne une relation très exacte de cette colonie au début du XVIIIe siècle et se divise en quatre parties : histoire chronologique de la Virginie depuis 1585 à 1700, les productions naturelles du pays, la religion, mœurs et coutumes des Indiens, et le gouvernement et la police établis par les Anglais. Robert Beverley Jr. (c.1667-1722) était un historien de la Virginie coloniale, ainsi qu'un planteur et une personnalité politique, il nous livre une vision de l'implantation des premiers colons.
Superbe exemplaire conservé dans une magnifique reliure en maroquin rouge à grande plaque dorée dite «à l’indienne» attribuable à Simier. Paris, L. Curmer, 49 rue Richelieu, 1838. Grand in-8 de lvi pp., 315 pp., 1 frontispice, 1 portrait, 1 carte et 30 planches pour Paul et Virginie; La Chaumière indienne occupe les pp. 317 à 418avec 4 planches ; la Flore de Paul etVirginie occupe les pp. 419 à 458; (14) pp. Les 37 gravures sont protégées par des serpentes. Relié en plein maroquin rouge, dos lisse et plats très richement ornés de grandes plaques dorées orientalisantes dites «à l’indienne», roulette dorée sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées, gardes de papier blanc moiré. Reliure de l’époque attribuée à Simier. 254 x 161 mm.
Edition célèbre de Paul et Virginie, considérée comme l’une des plus belles productions de la période romantique. Carteret, III, 532; Vicaire, VII, 42-48. On trouve à la suite de Paul et Virginie: La Chaumière indienne et la Flore de Paul et Virginie. L’abondante illustration se compose d’environ 450 vignettes dans le texte, dessinées par Meissonier, Français, Tony Johannot, Isabey, Paul Huet, Marville, Steinheil, … gravées sur bois par Lavoignat, Brévière, Porret, … de 29 planches hors texte dessinées et gravées sur bois par les mêmes artistes, de 7 portraits gravés sur acier par Cousin, Pelée, Pigeot et Revel et d’une carte coloriée de l’Ile de France. «L’éditeur avait le désir que ‘Paul et Virginie’ fût relié convenablement par des relieurs de son choix, ‘reliures très soignées, analogues à l’ouvrage, d’un prix modéré, reliures en basane, mouton, veau, maroquin, chagrin, cuir de Russie, vélin, soie, moire, velours, etc.; des demi-reliures et cartonnages, par conséquent, des reliures à tous prix, mais nous avons fait disposer une reliure magnifique et toute spéciale. M. Simier, relieur du roi, est chargé de ce travail. Hélas! presque tous ces exemplaires reliés de leur temps sont très piqués, surtout les gravures hors texte, et ces taches d’humidité sont la cause que les amateurs, avec raison d’ailleurs, préfèrent constituer un bel exemplaire en reliure moderne». (Carteret). Très bel exemplaire d’une grande fraicheur, dans une magnifique reliure en maroquin rouge à grande plaque dorée dite «à l’indienne» attribuable à Simier.
Illustré d'un titre-frontispice, d'un tableau dépliant et de 14 planches représentant notamment des Amérindiens. A Orléans & se vend à Paris, chez Pierre Ribou, 1707. In-12 de 1 frontispice, (4) ff., 416 pp., (9) ff., 14 planches à pleine page, 1 table dépliante. Plein veau blond, triple filet doré encadrant les plats, armoiries aux centres, dos lisse cloisonné, fleuronné doré, tranches rouges. Reliure de l'époque. 155 x 88 mm.
Première édition française de ce rare ouvrage, une des meilleures relations sur la Virginie. Illustré d'un titre-frontispice, d'un tableau dépliant et de 14 planches représentant notamment des Amérindiens. Le volume conte l’Histoire de la colonie et du commerce, l’étude des indiens, leurs mœurs et coutumes. On considère qu'il s'agit de la meilleure relation contemporaine sur les indiens, elle se caractérise par son ton libre et original, et ses commentaires humoristiques, notamment sur les planteurs de la Virginie du sud. « Ouvrage curieux pour les renseignements qu’il donne sur les Indiens de la Virginie. Il est orné d’un frontispice, de 14 planches gravées d’après De Bry et d’un tableau ». Chadenat 1248. Robert Beverley Jr. (c. 1667-21 avril 1722) était un historien de la Virginie coloniale primitive, ainsi qu'un planteur et une personnalité politique. Il est né à Jamestown et est décédé dans le comté de King and Queen, en Virginie. Beverley a participé à l’expédition des chevaliers du Golden Horseshoe du lieutenant-gouverneur Alexander Spotswood en 1716 dans la vallée de Shenandoah. Le journaliste John Fontaine rapporte que lors du voyage de retour, Beverley et son cheval sont tombés et ont roulé au bas d'une colline, mais sans se blesser gravement Cependant, lorsque Beverley publia une édition révisée de son Histoire en 1722, il ne la poursuivit que jusqu'en 1710, de sorte qu'il n'y a aucun récit connu par Beverley de cet événement. Concernant l'esclavage, dans la réédition de 1722, Beverley dit que si les hommes et les femmes noirs étaient susceptibles de travailler dans les champs, les femmes blanches ne l'étaient pas. Précieux exemplaire relié aux armes de Madame de Pompadour. Jeanne-Antoinette Poisson, duchesse-marquise de Pompadour et de Ménars près de Blois, dame de Saint-Ouen, fille d'Antoine, premier commis dans les bureaux des frères Paris, et d’une mère libertine, née à Paris le 29 décembre 1721, avec toutes les qualités séduisantes de l'esprit et du corps, reçut une éducation soignée grâce à la protection de l’ami de sa mère, le financier Le Normand de Tournehem, qui lui fit épouser le 9 mars 1741 son neveu, Charles-Guillaume le Normand d'Etioles, chevalier d'honneur au présidial de Blois, puis fermier général, dont elle fut la première femme et à qui elle donna une fille ; froide et calculatrice, elle mit son ambition à devenir la maîtresse de Louis XV; elle eut d'abord un salon des plus brillants fréquenté par ses adorateurs, par les artistes et par les écrivains, puis elle réussit à attirer sur elle l'attention du roi et le 23 avril 1745, elle fut installée à la cour dans l'ancien appartement de Madame de Mailly ; créée aussitôt marquise de Pompadour, puis nommée dame du palais de la reine le 8 février 1756, elle régna sans partage sur le roi et gouverna la France sous son nom, pendant dix-neuf ans, jusqu'à sa mort, malgré les intrigues sans cesse renouvelées et les libelles de toute sorte qui pleuvaient sur elle ; si l'on doit convenir qu'elle protégea les arts et les lettres et qu'elle fonda la manufacture de Sèvres, il faut reconnaître que sa politique et sa prodigalité furent néfastes pour la France. Madame de Pompadour, épuisée par la vie de plaisirs qu'elle avait menée, mourut à Versailles le 15 avril 1764, âgée seulement de 42 ans, laissant tous ses biens à son frère le marquis de Marigny.
Paris, Calmann-Lévy, 1880. 480 g In-8, demi maroquin bleue nuit à coins, tête dorée, [2] ff., 256 pp., [1] ff.. Illustré de 12 vignettes de Henry Maigrot. Mention de onzième édition. Petits frottements, dos légèrement passé. . (Catégories : Littérature, )
La plus luxueuse édition illustrée de Paul et Virgnie. Reliure de Simier. Paris, De l'Imprimerie P. Didot l'aîné, 1806. 1 vol. (235 x 320 mm) de faux-titre, front., titre, xcii, 194 p. et [3] f. Maroquin bleu à long grain, plats à encadrements ornés de larges roulettes et filets à froid et dorés, dos richement orné, roulette intérieure, tranches dorées (reliure signée de Simier R. du Roi). La plus luxueuse édition illustrée de Paul et Virgnie, en partie originale et qui fixe le texte définitif. Elle est illustrée d'un portrait de l'auteur et de 6 planches hors texte, gravées sur cuivre par Bourgeois de la Richardière, Bovinet, Mecou, Prot, Ribault, Roger et Tillement.
Les éditions de Paul et Virginie sont nombreuses : c'est le best-seller de l'époque, dès le XVIIIe siècle. Si l'édition la plus célèbre est évidemment la fameuse édition Curmer de 1838, richement illustrée et destinée à un large public, la plus luxueuse et la plus belle des éditions est éditée trente ans auparavant, par l'imprimerie de Firmin Didot, en 1806, sur un beau papier d'Essone. Une édition à l'opposé de la Curmer : peu d'illustrations, un tirage très limité, un grand format et un prix élevé. Les exemplaires en sont le plus souvent luxueusement reliés, par les meilleurs ateliers de l'époque. Cette édition est supervisés par l'auteur, y adjoignant un préambule inédit où il revient sur la création des gravures, oeuvre de Lafitte (« Enfance de Paul et Virginie »), Girodet (« Le Passage du torrent »), Baron Gérard (« Arrivée de M. de la Bourdonnais »), Moreau le jeune (« Les Adieux de Paul et Virginie »), Isabey (« Les tombeaux ») et Prudhon, pour la plus célèbre d'entre elles : « Le Naufrage de Virginie ». « Comment M. Prud'hon a-t-il pu renfermer de si grands objets dans un si petit espace ? où a-t-il trouvé les modèles de ces mobiles et fugitifs effets que l'art ne peut poser, et dont la nature seule ne nous présente que de rapides images ? [...] Si M. Prud'hon réussit par la pureté de ses crayons et l'élégance de ses formes à rendre des divinités, il intéresse encore davantage, selon moi, en représentant des mortelles [...]. Il est selon moi le La Fontaine des dessinateurs. » C'est la dernière édition parue du vivant de l'auteur, et revue par ses soins. Cachet armorié au faux-titre non identifié ; ex-libris Joël Dupont, ancien conservateur du Musée Barbey d'Aurevilly. Bel exemplaire, très frais. Cohen, 993 ; P. Thoinet, « Répertoire bibliographique et iconographique de Paul et Virginie », Bulletin du bibliophile, n° 41, 1961, p. 167 (« rien n'égale la noblesse de cette composition in-4. [...] C'est à mon avis une très belle réussite de l'art du livre »).