La renaissance du Livre 2004, album cartonné, non paginé avec des illustrations de Marie de Salle - très bon état
Reference : 80976
ISBN : 9782804609191
Librairie Alpha
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Revue d'Histoire des Sciences - Danielle Fauque sur Alexie-Marie Rochon - Michel Blay - Jean Jacques sur G.-F. Rouelle - Claude Viel sur Duhamel du Monceau - Nadia Bayle et Claudine Billoux
Reference : 100307
(1985)
Presses Universitaires de France - P.U.F. , Centre International de Synthèse - Revue d'Histoire des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1985 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bleu ciel grand In-8 1 vol. - 96 pages
quelques figures dans le texte en noir et blanc 1ere édition, 1985 "Contents, Chapitres : Danielle Fauque : Alexie-Marie Rochon, 1741-1817, savant astronome et opticien - Michel Blay : Note sur l'Essai sur les degrés de chaleur des rayons colorés de l'abbé Rochon - Jean Jacques : Les Cours de chimie de G.-F. Rouelle recueilli par Diderot - Claude Viel : Duhamel du Monceau, naturaliste, physicien et chimiste - Nadia Bayle et Claudine Billoux : Le nouveau classement thématique des archives de l'Ecole Polytechnique - Comptes rendus - Alexis-Marie de Rochon, dit l'abbé Rochon, né au château de Brest le 21 février 1741 et mort le 5 avril 1817, est un astronome et voyageur français, inventeur d'un instrument d'optique. - Il est nommé astronome de la Marine en 1766 et part en voyage en Afrique pour déterminer différents points de longitude. Il découvre à Madagascar des cristaux de roche biréfringents (ayant la propriété de double réfraction). Il emploie ces cristaux dans des instruments d'optique. Devenu adjoint mécanicien à l'Académie des sciences en 1771, il part pour les Terres australes avec le capitaine de Kerguelen. Il rapportera de ce voyage les premiers échantillons d'un minéral nouveau, décrit plus tard par Werner ; mais ce dernier attribuera par erreur cette découverte à un Hollandais du nom de von Prehn (le minéral porte le nom de prehnite). À son retour en 1774, il est nommé conservateur du Cabinet d'astronomie du roi, puis du Cabinet de physique et d'optique avec Jean-Baptiste Le Roy. Il est membre de l'Académie de Saint-Pétersbourg, astronome-opticien de la marine, directeur d'optique de la marine (il y succède à Roger Joseph Boscovich), inspecteur des machines des monnaies, commissaire général des monnaies. Il fonde le premier Institut d'optique, consacré au perfectionnement technique de l'optique. Il perd ces emplois à la Révolution et se retire à Brest. Il est envoyé à Londres au sujet de la réforme des poids et mesures en 1790. Il est ensuite nommé directeur de l'observatoire de Brest et membre de la Légion d'honneur. Il est élu membre de la section de physique expérimentale de l'Académie des sciences en 1795. Il a fait construire en 1796 un phare au port de Brest, perfectionné les lunettes nécessaires à la marine et inventé le micromètre à double image inventé indépendamment par Boscovich avec du verre ordinaire connu sous le nom de « lunette de Rochon ». (source : Wikipedia)" infimes traces de pliures aux coins des plats de la couverture, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre, papier à peine jauni - paginé 1 à 96 - NB : 42 pages au total sur l'abbé Alexis-Marie Rochon, 1741-1817
État : Très bon état - Année : 1971 - Format : in 8° - Pages : 413pp - Editeur : Doin - Lieu d'édition : Paris - Type : Cartonnage éditeur illustré - Divers : Coiffes et coins très légèrement émoussés. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/didier-godillon/2359-atlas-du-ciel-de-l-astronome-amateur?lrb
Toutes les cartes du ciel accessibles à l'amateur pour lui permettre de ˮtravaillerˮ utilement auprès de leur instrument d'observation. L'ensemble des cartes est précédé de quelques notions élémentaires sur les coordonnées célestes et les astres. Cet ouvrage donne ainsi, à l'astronome-amateur, toutes les données essentielles pour valoriser ses observations. Ouvrage indispensable pour ceux qui pratiquent ce loisir quelque soit le niveau.
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Collège de 'Pataphysique 1967. In-8 broché, à l'italienne, de 64 pages, au format 27,5 x 21 cm. Couverture grise avec titre imprimé en noir. Dos carré muet. Plats et intérieur frais. Réimpression d'un almanach napolitain du XVIIIe dû à un grand astronome et philosophe, originellement destiné aux travailleurs de la terre, précédé ici, de deux savantes exégèses par le régent Paul Gayot. Un des 3Un des 465 exemplaires numérotés, sur papier Catastrophique ordinaire ( n° 251 ). Edition originale en bel état de fraicheur.
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GUERRE DE SUCCESSION A LACADEMIE DES SCIENCES DE PARIS.IMPORTANTE LETTRE CONCERNANT LELECTION DE SON « ILLUSTRE AMI » POALO FRISI, un éminent professeur de mathématiques qui enseigna à Londres, Berlin et Milan. Bailly qui soutient sa candidature à lAcadémie des sciences, tout comme La Rochefoucauld-Liancourt, émet un certain nombre de conjectures quant à ses chances de lemporter.Bailly lui envoie le discours quil a prononcé à lAcadémie française lors de sa réception en février ...Je puis vous dire quil a assez bien réussi à la lecture publique et particuliere. On a été assez content de la simplicité du stile, et je serai très heureux sil ne perd rien de ce faible mérite dans le païs étranger. Jai reçu les 3 volumes de M. le Comte Carli que je dois à votre bonté (...). Je vais en faire traduire quelque chose et peut-être le tout si on le juge assez intéressant. Alors je pourrois y joindre quelques notes en réponse aux objections. Je vous dirai quon a fait la nommination aux deux places vacantes à lAcadémie. Lune a été donnée à M. Priestlis [le chimiste anglais JOSEPH PRIESTLEY] qui, comme vous le savez, le mérite par la révolution quil a faite dans la chimie ; lautre à M. Albert Euler [le mathématicien, JOHANN ALBERT EULER, fils de LEONHARD EULER]. Vous avez eu des voix et vous avez été nommé en second dans la présentation au Roi. Je ne puis approuver ce choix, le titre le plus réel dAlbert est dêtre le fils de Léonard, mais ceci nest point une affaire dhérédité. On sait à nen pas douter que les meilleurs ouvrages ont été faits par son père et en conséquence on ne devait point le nommer à une des premières places de lEurope ; mais cela est fait, il faut en prendre notre parti. Etant nommé en second, il y a lieu de croire que vous serez nommé en premier lorsque loccasion sen présentera. Jai parlé hier à M. de la Rochefoucault qui ma assuré quil vous appuieroit de tout son crédit. (...) comme il ny a point dAnatomiste on pourroit bien leur donner leur tour. Cest particulierement dans le cas de la mort de Jean Bernoulli [1710-1790, mathématicien] que nous serions en droit et en forces pour vous y faire succéder. En attendant nous ferons toujours tout ce que nous pourrons à chaque occasion (…), soïez tranquille, reposez vous sur nous et sur notre amitié ; surtout ne vous fachez pas. On a toujours tort de se facher contre les Corps ; ils peuvent retarder la justice, mais ils finissent toujours par la rendre. Mandez moi que vous vous en remettez à nos soins (...), mandez moi (...), que vous maimez toujours, car je vous suis et vous serai toute ma vie fidellement et tendrement attaché…Éminent astronome des Lumières, le découvreur des satellites de Jupiter, JEAN SYLVAIN BAILLY, se classe incontestablement parmi les plus grands scientifiques du XVIIIe siècle. Sa monumentale Histoire de l'astronomie lui ouvrit les portes de lAcadémie française en novembre 1783. Membre de l'Académie Royale des Sciences depuis 1763, nommé par le Roi, choyé dans les salons de l'aristocratie et à la Cour, il fut autorisé à sinstaller au Palais du Louvre, siège de lAcadémie depuis sa création en 1666. À la Révolution, il choisit cependant dêtre élu député du Tiers-État, puis accède à la mairie de Paris en remplacement de Jacques de Flesselle qui venait dêtre assassiné ; il fut lun des premiers présidents de lAssemblée constituante (du 17 juin au 3 juillet 1789), avant de céder sa place au duc de La Rochefoucauld-Liancourt.La brillante carrière politique et intellectuelle de Bailly sacheva tragiquement sur léchafaud : il fut guillotiné en 1793 pour avoir pris la défense de la Reine Marie-Antoinette lors de son procès.
27/11/1784 SUPERBE LETTRE À LÉMINENT SAVANT ITALIEN PAOLO FRISIAprès avoir soutenu ardemment lélection de Paolo Frisi à lAcadémie royale des Sciences de Paris, Bailly apprend la maladie de son confrère et ami. En réalité, Paoli Frisi est déjà mort [le 22 novembre] lorsque Bailly lui écrit cette lettre : …Jai été affligé, en recevant votre lettre, dapprendre que vous avez été si longtems malade. Une vie comme la vôtre consacrée au travail devroit bien être exemte de ces souffrances ; mais la célébrité qui nous éleve, qui souvent nous expose à des maux nouveaux ne nous sauve point de ceux qui affligent lespece humaine. Les bonnes nouvelles que vous me donnez me donnent cependant lesperance que ma lettre vous trouvera rétabli... Il souhaiterait recevoir les rapports que Frisi a fait traduire en italien lui soieint envoyés par le comte de Vergenne. ...Je presenterai avec grand plaisir votre éloge de M. dAlembert à lAcadémie française... Il prévient quétant surnuméraire à lAcadémie il ne disposera que dune voix en faveur de son ami, ...cest le plus digne usage que jen puisse faire. Je me concerterai avec M. le Duc de la Rochefoucault [La Rochefoucauld duc dEnville, président de lAcadémie des Sciences] et jespère que, soit cette fois-ci, soit une autre, nous réussirons. Un de mes amis traduit les Lettres Américaines ; si nous croyons que cela puisse réussir à Paris nous pourrons les faire imprimer. Je nai point compris ce que vous dites que vous avez reduit à la solution dun triangle sphérique tout ce que M. de la Grange [le mathématicien Joseph Louis Lagrange] a dit dans les mémoires de lAcadémie. Vous ne vous êtes pas assez expliqué à cet égard…Éminent astronome des Lumières, le découvreur des satellites de Jupiter Jean Sylvain Bailly se classe incontestablement parmi les plus grands scientifiques du XVIIIe siècle. Sa monumentale Histoire de l'astronomie lui ouvrit les portes de lAcadémie française en novembre 1783. Membre de l'Académie Royale des Sciences depuis 1763, nommé par le Roi, choyé dans les salons de l'aristocratie et à la Cour, il fut autorisé à sinstaller au Palais du Louvre, siège de lAcadémie depuis sa création en 1666. À la Révolution, il choisit cependant dêtre élu député du Tiers-État, puis accède à la mairie de Paris en remplacement de Jacques de Flesselle qui venait dêtre assassiné ; il fut lun des premiers présidents de lAssemblée constituante (du 17 juin au 3 juillet 1789), avant de céder sa place au duc de La Rochefoucauld-Liancourt.