Le Cherche Midi, éditeur 2017, broché, 140pp - très bon état
Reference : 80297
ISBN : 9782749158198
Librairie Alpha
Anne et Yvan Abbal-Touzart
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1884 Paul Ollendorff Editeur, 1884, 310 p., demi-basane, des frottements sur le dos, bon état pour le reste, intérieur bien propre.
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[HUILLET Danièle & STRAUB Jean-Marie] LAFOSSE Philippe
Reference : CINEMA46460824
(2007)
ISBN : 9782841421688
Toulouse, Editions Ombres / Ivry-sur-Seine, Editions A Propos 2007, 15 x 25, 320 pages cousues sous couverture souple illustrée.
Défraîchi.
Ernest Flammarion. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Agrafes rouillées, Mouillures. 64 pages agrafées - mouillures sur les plats et à l'intérieur de l'ouvrage sans réelle conséquence sur la lecture - papier jauni.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Collection une heure d'oubli n°115. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
Revue d'Histoire des Sciences - Rhoda Rappaport sur Fontenelle - Marie-Françoise Mortureux - Alain Niderst sur Voltaire - Claudine Cohen sur Benoit de Maillet alias Telliamed - Geneviève Artigas-Menant sur Madame Leprince de Beaumont - Henri Duranton - Jean Mayer sur Diderot - Claudine Pouloin - Roselyne Ray - Armelle Debru sur Hiérophile - N. Piepenbrock, M. Dun, V. Malquarti et R. Toellner - Jean-Louis Gardies sur Euclide - Roselyne Rey et Jean-Louis Fischer sur Jacques Roger
Reference : 100317
(1991)
Presses Universitaires de France - P.U.F. , Centre International de Synthèse - Revue d'Histoire des Sciences Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1991 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en bleu et noir grand In-8 1 vol. - 231 pages
1ere édition, 1991 Contents, Chapitres : 1. Articles : Rhoda Rappaport : Fontenelle Interprets the Earth's Theory - Marie-Françoise Mortureux : De la ressemblance entre les mathématiques et l'amour dans les Entretiens de Fontenelle - Alain Niderst : Les Lettres anglaises de Voltaire, une vulgarisation méthodique et imprudente - Claudine Cohen : Benoit de Maillet et la diffusion de l'histoire naturelle à l'aube des Lumières (Telliamed) - Geneviève Artigas-Menant : La vulgarisation scientifique dans le Nouveau Magasin français de Madame Leprince de Beaumont - Henri Duranton : La diffusion d'une nouvelle histoire : Les avatars de Clio au XVIIIe siècle - Jean Mayer : Diderot et le calcul des probabilités dans l'Encyclopédie - Claudine Pouloin : La connaissance et la vulgarisation du débat sur les chronologies dans l'Encyclopédie - Roselyne Ray : La vulgarisation médicale au XVIIIe siècle : Le cas des dictionnaires portatifs de santé - 2. Documentation : Armelle Debru : Hiérophile ou l'art de la médecine dans l'Alexandrie antique - N. Piepenbrock, M. Dun, V. Malquarti et R. Toellner : L'enseignement médical dans les manuels scolaires en France aux XVIIe et XVIIIe siècles - Jean-Louis Gardies : La proposition 14 du Livre V ans l'économie des Eléments d'Euclide - Roselyne Rey et Jean-Louis Fischer : Nécrologie de Jacques Roger, 1920-1990 - Comptes rendus infimes traces de pliures aux bords des plats de la couverture, sinon bel exemplaire, intérieur frais et propre, papier à peine jauni - paginé 279 à 510