Deux coqs d'or, éditeur 1982, album cartonné, 22pp avec des illustrations de M.R. Batlle et de J.M. Potau; collection mimosa - très bon état
Reference : 79458
ISBN : 2719200891
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27 juillet 1861, 13,3x21cm, 4 pages sur un feuillet remplié.
Lettre autographe signée de George Sand à François Buloz, 83 lignes écrites à l'encre bleue, enveloppe jointe. Quelques ratures et soulignements de la main de George Sand. Paraphe autographe de François Buloz. Tampon des « Archives et collections de J. L. Debauve ». Bavures sans incidence sur la lettre. Longue lettre autographe signée de George Sand à François Buloz, l'un des fondateurs de la Revue des Deux Mondes et l'éditeur, en pré-originale, des Fleurs du Mal. La femme de lettres y évoque le théâtre de Nohant ainsi qu'Alexandre Dumas Fils, faisant montre de toute l'influence dont elle dispose dans le milieu littéraire du milieu du xixème siècle. En grande habituée de la presse - elle y a publié la quasi-totalité de ses romans en feuilletons et lui a donné un grand nombre d'articles - George Sand commente dans cette lettre les choix éditoriaux de son ami François Buloz : « Je me décide à vous envoyer une espèce de proverbe qu'on était en train de publier sur notre théâtre de Nohant [...] Ça vaudra toujours mieux que celui de votre dernier n[umér]o, qui, bien que d'un homme de mérite et de talent n'est pas du tout réussi. » L'« homme de mérite » dont il est ici question n'est autre que Tourgueniev. En véritable patronne du théâtre de Nohant, elle dirige l'écriture des scènes et leur éventuelle publication, allant jusqu'à faire la promotion des textes de ses protégés : « Alexandre Dumas fils qui est ici, nous a fait trois scènes charmantes qu'on répète en ce moment. Il vous serait peut-être agréable de les publier dans la revue et c'est un nom. » Elle ironise même « ce sont d'ailleurs des scènes naïves, toute de sentiment, et qui iraient fort bien à la revue ». Protectrice avec Dumas Fils, qui l'appelait d'ailleurs « maman » dans ses lettres, elle procède comme à son habitude et le recommande en secret : « Je n'ai pas voulu lui en parler avant de savoir si vous direz oui, car je crois qu'un refus lui serait désagréable. » Figure aguerrie de la littérature et consciente sans doute de la teneur de la « bluette » de son protégé, qui a pourtant publié sa célèbre Dame aux camélias il y a plusieurs années déjà, elle relativise : « Je ne lui [...] ai rien dit, ignorant s'il voudra débuter dans la revue par une bluette. Mais quelquefois les bluettes que l'on fait sans songer au public sont très heureuses, et la sienne [...] est dans ce cas. » Les demandes de George Sand montrent les rouages de l'industrie éditoriale du xixème siècle, époque à laquelle les recommandations entre écrivains prenaient toute leur importance : « Encore un mot sur Dumas. Il est occupé à faire un roman. Faut-il le pousser à vous l'offrir ou faut-il ne pas lui en parler ? [...] Il a énormément d'esprit et de talent. Ce serait une bonne acquisition pour la revue. Quel prix lui donneriez-vous ? » En dépit de cette recommandation de George Sand et de l'intérêt de Buloz pour ses publications, Dumas Fils ne donnera pas suite à ces ouvertures. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Grasset, Paris 1998, 14x22,5cm, broché.
Nouvelle édition, strictement hors commerce, pour laquelle il n'a pas été tiré de grands papiers. Dos et plats marginalement et légèrement insolés. Envoi autographe daté et signé de François Weyergans à son amie Ulrike Bergweiler, alors secrétaire d'Antoine Gallimard : "Exemplaire d'Ulrike B. offert par l'auteur.François. 27.2.98." - Photos sur www.Edition-originale.com -
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Fallois 2003 227 pages in8. 2003. Broché. 227 pages. Inconnu Claude François ? Sans aucun doute à en croire les éternels clichés auxquels on a coutume de le réduire. Oui c'était un grand professionnel. Oui il était volontiers tyrannique et capricieux. Mais ce n'est pas cela qui en a fait l'une des plus grandes stars de la chanson française. Comment est-il devenu une idole un sex-symbol et aujourd'hui une légende ? Comment expliquer son magnétisme sur les foules son incroyable succès auprès des femmes ? D'où lui venait sa rage de vaincre son inépuisable soif de revanche sur la vie ? C'est ce que révèle ce livre dans une suite de scènes qui présentent chacune une facette différente de sa personnalité. Une personnalité multiple et attachante à mille lieues des idées reçues. Un Claude François inconnu qui mérite d'être enfin connu
comme Neuf
Aux dépens de la Compagnie, Amsterdam 1734, in-12 (10,5x17cm), XVIII, 396 pp et 419p., deux tomes reliés en deux volumes.
Première édition illustrée d'un ouvrage qui fut initialement édité en 1542 à Wittemberg. 2 frontispices et 21 gravures de Bernard Picard représentant des épisodes hagiographiques de la vue de Saint François.. Cohen, 5. Pages de titres rouges et noires. Le faux titre dans un encadrement gravé de Picard porte la date de 1733. Reliures en plein maroquin marine d'époque. Dos lisse Janséniste. Série de hachures sur les coupes. Tranches dorées. Dos légèrement passés. Belle reliure, assez rare. Célèbre pamphlet, particulièrement violent, contre le livre de Barthelemi de Pise qui soulignait les similarités entre la vie de Jésus Christ et la vie de Saint François. Le livre débute par une préface de Conrad Badius et de Martin Luther, très insultant à l'égard des Papistes et des Cordeliers. L'ouvrage est en latin et en français, il reprend le récit hagiographique de Saint François en lui adjoignant des notes de bas de page, et des critiques extrêmement sévères et virulentes. Plus généralement, le livre est une attaque directe contre les Catholiques par les Protestants, les accusant d'hérésies, d'abominations, de satanisme... « Car il (ce livre) est tel, que quand hommes et diables dégorgeraient leurs poisons exécrables tous contre Dieu, ils n'en sauraient plus dire qu'un moine seul en a osé écrire » Conrad Badius. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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de l'imprimerie d'Antoine-Urbain Coustelier, Paris 1723, in-8 (10x16cm), (14) 112pp. ; 64pp. ; 56 pp., 3 parties reliées en un volume.
Nouvelle édition. Reliure de l'époque en plein veau blond. Dos à cinq nerfs orné de caissons et fleurons dorés ainsi que d'une pièce de titre de maroquin rouge. Toutes tranches mouchetées rouges. Feuillets de la première partie intégralement brunis, en raison d'un papier plus médiocre que le reste du volume. Fameuse édition de la collection des poètes français éditée par Coustelier. Les pièces se suivent dans cet ordre:Les Repues franches. Le Franc Archier de Baignollet. Le Dialogue de messieurs de Mallepaye, et de Baillevant, Lettre à Monsieur de ***, en lui envoyant la nouvelle édition des uvres de François Villon et Le Petit Testament de F. Villon, ainsi intitulé sans le consentement de l'auteur, comme il le dit au second livre. Selon l'«avis aux lecteurs» la première partie, (c'est-à-dire dans notre édition la deuxième et la troisième), a été éditée suivant l'édition de Clément Marot, avec cette différence que l'on a mis dans les marges les diverses leçons tirées des éditions antérieures à cette dernière. Les notes de bas de page marquées par des lettres sont de Clément Marot, celles marquées par des chiffres sont d'une autre main. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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