Bonne Presse, Paris 30 décembre 1939, relié plein cuir, dos à 5 nerfs, tranches dorées, couverture et dos conservés ( très belle reliure signée Devauchelle ) sous emboîtage, 244pp; exemplaire signé par Georges Grente évêque du Mans à Monsieur le général Weygand - très bel exemplaire
Reference : 58775
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P., Paris Musées, Commission des travaux historiques, 2000, fort in-4, br., couv. ill. à rabats, 578 pp., frontispice en couleurs, illustrations en noir à pleine page, fac-similés, index, bibliographie. Texte sur deux colonnes. (M.37)
Les Mays sont de grands tableaux d'autel commandés chaque année entre 1630 et 1707, en accord avec les chanoines, par la corporation des orfèvres en hommage à la Vierge Marie. Leur remise solennelle à la cathédrale en Mai justifie leur nom de May Notre-Dame. Ex-dono manuscrit.
P., Henri Laurens, 1933, pet. in-8, br., photo de couv., 94 pp., plan de Notre-Dame de l'Épine, 38 gravures et photos en noir in-texte, bibliographie. (S6B27)
Collection Petites monographies des grands édifices de la France.
Nantes, , 1696. Grand in-folio manuscrit (56 x 37 cm) de (2)-220-(6) pp. sur parchemin, index, 8 portées par page à l’encre rouge soulignées par le texte latin à l’encre brune, nombreuses initiales peintes à l’encre rouge, bleue ou dorée, 5 lettrines enluminées, veau brun sur ais de bois, dos à sept nerfs, deux cabochons au centre et quatre pièces d’angle de cuivre, ornés, ciselés et cloués sur chaque plat, traces de fermoirs (reliure de l’époque).
Ce graduel sur parchemin, réalisé à la fin du XVIIe siècle pour la chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours de Nantes, est un manuscrit liturgique d'une grande valeur historique. Sa confection est documentée par une inscription mentionnant les prévôts de la Vénérable Confrérie de Notre-Dame-de-Bon-Secours, Michel Thevenin et Julien Renard, sous la supervision desquels le manuscrit fut exécuté :« À Nantes ce présent livre dit Graduel a été fait par les soins de Messieurs Michel Thevenin et Julien Renard, étant alors Prévosts de la Vénérable Confrérie de Notre Dame de Bon Secours sur les Ponts. Escrit et notté par Estienne Sallé voiturier par eau d’Orléans 1696. »Description et contexte.Ce livre de chœur, destiné aux offices de la messe, rend hommage à Notre-Dame-de-Bon-Secours, une figure de dévotion importante à Nantes depuis le XVe siècle. Il contient, outre les graduels, des chants liturgiques comme les introïts et les communions. Les lettrines peintes marquent le début des textes des principales fêtes liturgiques, notamment celles dédiées au Christ, à la Vierge et aux Apôtres. La neuvaine en l’honneur de Notre-Dame-de-Bon-Secours, qui culminait le 21 novembre, constituait le point d’orgue de ce calendrier.Le manuscrit se distingue par ses ornements : deux titres richement encadrés à l’encre bleue, rouge et dorée, dont l’un, en latin, précise sa fonction :« Graduale Pro Omnibus Festivitatibus Beatae Mariae Virginis ad usum Sacelli Beatae Mariae Auxiliatricis. A Nantes, Ce présent livre a été donné par les Sieurs Prevosts de la Vénérable Confrérie de Nostre Dame de Bon Secours en l’an de grâce 1696. Ex scripturaire Stephani Sallé Nature Aurelianensis. »Le scribe Étienne Sallé.L’auteur de ce manuscrit, Étienne Sallé, était un voiturier par eau d’Orléans et un scribe professionnel. Une dédicace en vers, placée en fin d’ouvrage, souligne son rôle :« Ce livre fait par les soins de Messieurs les Prévôts / De cette Confrérie de Bon Secours la Dame / Vous la prierez pour eux par un zèle de flamme (…) POUR ÉTIENNE SALLÉ QUI A ÉCRIT CE LIVRE (…) 1696. »Outre ce graduel, Étienne Sallé est connu pour un journal manuscrit enluminé où il consigna, en 1710, des prières et hymnes religieux. Ce témoignage, publié en 1898 sous le titre Livre de Sallé, charpentier en bateaux et voiturier par eau, éclaire la vie d’un homme pieux marqué par des épreuves personnelles qu’il qualifia de « disgrâces ».La Confrérie et la chapelle/La Vénérable Confrérie de Notre-Dame-de-Bon-Secours, fondée au XIVe siècle par Charles de Blois, avait pour mission de soigner les malades et d’héberger les voyageurs pauvres dans son aumônerie située sur un bras de la Loire, près de Nantes. Elle disparut en 1768, et ses bâtiments furent vendus en 1790 avant leur démolition en 1846.La chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, construite en 1443-1444 par les pêcheurs de l’île de la Saulzaie, fut intégralement reconstruite entre 1776 et 1780 dans un style classique. Bien que confisquée comme bien national en 1796, elle conserva jusqu’alors une activité religieuse, notamment grâce à des prêtres irlandais en exil. Malgré sa désaffectation, l’édifice garde des traces de son architecture originelle.Sous l’Ancien Régime, le sanctuaire jouissait d’un soutien royal : Louis XIII à Louis XVI favorisèrent son entretien, notamment par la restauration de la statue de Notre-Dame-de-Bon-Secours. Ce dynamisme cultuel est attesté par des indulgences plénières (1664) et des rapports mentionnant une « foule extraordinaire » lors des pèlerinages, comme en 1721.Conclusion.Le graduel de 1696 témoigne de l’importance du culte marial à Nantes et de la vitalité de la Confrérie de Notre-Dame-de-Bon-Secours à la fin du XVIIe siècle. Cet ouvrage illustre également l’artisanat liturgique et la piété qui animaient des figures comme Étienne Sallé, dont l’héritage religieux et culturel demeure un précieux témoin de son époque.Ex-libris manuscrits anciens « R.J. Uriner chapelain de Notre Dame, de Bon Secours de la Ville de Nantes et Ch[anoi]ne de l’église Royale et Collégiale de Notre Dame de Nantes, 1788 » (premier contreplat) ; « Guillaume Boleyn » (?) en regard du titre ; « François Pépin » et « Mathurin de la Valade » (colophon). Mors fendus, coiffes manquantes, quelques pâles mouillures et salissures marginales.Exceptionnel graduel manuscrit XVIIe conservé dans sa première reliure ornée, archive rare et précieuse pour l’histoire de Nantes.
1862 1862 Paris, Librairie de L.Hachette & Cie 1862 2 in 12 Reliure demi basane dos à nerfs 280-319 [pp] (Notre-Dame de Paris - 1482,paru chez Gosselin, 1831).Incipit "L'homme qui a écrit ce mot sur le mur s'est effacé, il y a plusieurs siècles au milieu des générations, le mot s'est à son tour effacédu mur de l'église, l'église elle-même s'effacera bientôt peut-être de la terrec'estsur ce mot qu'on a fait le livre" Victor Hugo Mars 1832.
"Même s'il l'écrit en six mois, il passe trois ans à étudier et à rassembler tous les documents dont il avait besoin pour son roman. C'est dire le soin historique qu'il y met. Le roman fait revivre le Paris de Louis XI (ce Paris dont il nous retrace les grandes lignes du haut des tours de Notre-Dame, dans un long chapitre intitulé Paris à vol d'oiseau qui se termine par l'évocation d'un gigantesque opéra orchestré par le carillonnement des cloches de toutes les églises de Paris), dans un décor où l'imaginaire et le fantastique occupent une place centrale. L'archidiacre Claude Frollo est féru d'alchimie, et il tombe amoureux de la belle bohémienne Esméralda, et dont Quasimodo, le carillonneur de Notre-Dame - un nain difforme -, est aussi amoureux. Quant à Esméralda, elle rêve d'épouser Phoebus, le beau capitaine des archers de l'ordonnance du roi. Le livre eut un grand succès à son époque, même si l'on critiqua son aspect peu catholique. Cette histoire d'un prêtre féru d'alchimie et dévoré de désir pour une bohémienne ne pouvait pas être du goût de l'Église romaine qui mit le livre à l'Index, en juillet 1834. Comment en pouvait-il être autrement, puisque son auteur était pour une religion sans prêtres Notre-Dame de Paris raconte la lutte contre la fatalité (qu'il traduit par le mot grec Ananké dans le roman). Fatalité et non Providence, comme lui reprocheront de nombreux catholiques. Victor Hugo en expliquera le sens en mars 1866, dans la préface des Travailleurs de la mer : Une triple ananké pèse sur nous, l'ananké des dogmes, l'ananké des lois, l'ananké des choses. Dans Notre-Dame de Paris, l'auteur a dénoncé la première; dans Les Misérables, il a signalé la deuxième; dans ce livre, il indique la troisième. A ces trois fatalités qui enveloppent l'homme se mêle la fatalité intérieure, l'ananké suprême, le cur humain. On voit ici, le lien qui unit les trois grands romans de Victor Hugo. Celui-ci reviendra dessus dans une correspondance au journaliste Durandeau : Toutes les fois que la nécessité empiète sur la liberté et l'opprime, elle s'appelle fatalité. Le poète dénonce cet abus de l'inconnu. C'est ce que je fais dans Notre-Dame de Paris, dans Les Misérables, dans Les Travailleurs de la mer. (11 juillet 1867). D'ailleurs dans la préface de Notre-Dame de Paris, Hugo signale que c'est sur ce mot d'Ananké qui se trouvait gravé sur le mur d'une des tours de la cathédrale et qui aurait disparue (mais a-t-elle vraiment existé ?), qu'il a écrit le livre." Patrick Maunand Bon, pages avec rousseurs et taches mais exemplaire agréable, reliure en bon état pour son âge malgré un dos insolé. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg
Histoire et tradition. 1965. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Agrafes rouillées, Intérieur acceptable. 76 pages agrafées - quelques illustrations et lettrines en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : Chartres - Tryptique pour Notre-Dame de Chartres : remarques sur Chartres ; des vitraux de Notre-Dame des Carnutes ; à l'ombre de notre cathédrale : l'école de Chartres - Symboles solaires : à propos de Notre-Dame-sous-Terre, la vierge noire - Le labyrinthe - L'arbre sacré du pays chartrain : le chêne - La légende de la forêt beauceronne : ses origines - Pour saluer Notre-Dame : à travers l'espace.. à travers les temps ; une mère nommée Marie ; la mère de Compagnons - Imploration à Notre-dame d'Ici-Bas - ""La veuve et l'orphelin"" - Un ouvrier de l'oecuménisme.. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"