Verdier 1998, in-8 broché, 92pp; traduction de Rudy Chaulet - très bon état
Reference : 12316
ISBN : 9782864322863
Librairie Alpha
Anne et Yvan Abbal-Touzart
1 rue Gérard Philipe
26100 Romans sur Isère
France
06 25 54 12 31
Au prix des livres s'ajoutent les frais de port : tarif de la Poste en lettre, lettre suivie ou en colissimo pour la France et au tarif livres et brochures pour l'étranger si le poids total est inférieur à 2 kg. Envoi des livres dès réception du règlement ( chèque d'une banque française uniquement, à l'ordre de Librairie Alpha ou par virement bancaire via IBAN/BIC ) paiement possible par PayPal sur adresse mail
Jubilé 1998 256 pages 1998. 256 pages. Quoi de plus insignifiant qu'une pièce de sergé en lin qui a enveloppé un cadavre ? Rien. A moins que ce linge - le Linceul de Turin - ne constitue la pièce à conviction décisive dans l'affaire la plus explosive de la fin du siècle. Celle-ci a éclaté le 13 octobre 1988 lorsque les hommes des cinq continents virent apparaître pour la première fois sur leur écran le visage saisissant de l'homme supplicié porté par ce linceul. Les médias l'ont présenté comme une simple contrefaçon moyenâgeuse du Christ certains ont cru à une macabre mise en scène d'un tueur en série. Vrai ou faux ? Arnaud-Aaron Upinsky relate l'aventure scientifico-policière la plus exaltante qu'il a dû mener pendant huit ans pour venir à bout de l'énigme. Il découvrira au fil de son enquête que si nul ne possède l'enregistrement du big-bang en revanche nous détenons grâce à ce linge celui de l'origine de notre ère. Cet objet le plus chargé de science de tous les temps constitue en effet le film infalsifiable du fait fondateur de notre civilisation : la disparition inexpliquée d'un cadavre. Ce qui lui permet de mettre littéralement le Dieu de chrétiens au bout du microscope des savants pour confronter la science de l'an 2000 et la religion de l'an I. Quelle gageur ! Pour expliquer le rejet viscéral du Linceul par des religieux l'auteur sera amené à découvrir que l'objet le mieux gardé au monde possède un terrible secret : il est porteur d'un message unique scellé pendant vingt siècles dans les fibres de lin dont la révélation était réservée pour l'avenir. La résolution de la plus grande énigme scientifique fait apparaître dans un éblouissement le message éclatant de l'homme du Linceul aux hommes de l'an 2000
au bureau du journal. Janvier 2022. In-12. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 127 pages augmentées de quelques photos en couleurs dans texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Analyse médicale de l'image; Y-a t-il d'autres moyens de dater le Linceul; Histoire ancienne du Linceul; La souffrance et la gloire du crucifié... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Découvert à Quft en 1904, le monument en granit rose connu sous la désignation de cuve de Coptos, et conservé au musée du Caire (JE 37516), ne suscita au début que de brèves observations, plus pour sa fonction présumée de sarcophage du pharaon Harsiesis (XXIIe dynastie) que pour les inscriptions couvrant l’ensemble de ses parois.<br data-mce-fragment="1">Les problèmes liés à l’état médiocre du monument et aux multiples difficultés de lecture et d’interprétation de son texte expliquent qu’il soit demeuré longtemps inédit. <br data-mce-fragment="1">En 1986, la découverte d’un parallèle partiel, rédigé en hiératique sur un linceul de lin conservé au Metropolitan Museum of Arts (31.9.8), datable de l’époque ptolémaïque, permit de repenser une bonne partie des problèmes que, pour diverses raisons, les inscriptions de la cuve ne permettaient pas de résoudre.<br data-mce-fragment="1">Le titre même de l’ouvrage, présent dans le seul linceul : Rituel de la Maison de Chentayt, montre le rôle central joué par cette déesse dans l’organisation des rites osiriens du mois de Khoiak, et qu’attestent aussi de nombreux autres documents funéraires ou rituels. Curieusement ignoré de la grande inscription tentyrite consacrée aux cérémonies osiriennes de ce mois, le Rituel de la Maison de Chentayt livre une foule d’informations nouvelles sur la participation de collectivités divines et humaines à ce qui est probablement la plus importante manifestation religieuse de l’ancienne Égypte. <br data-mce-fragment="1">La première partie, par François René Herbin (en français), propose une première édition du linceul avec transcription, traduction et commentaire ; la seconde partie, par Christian Leitz (en allemand) contient les mêmes éléments pour la cuve osirienne. Le volume II expose une documentation photographique et graphique détaillée. Wiesbaden, 2022 Harrassowitz Verlag 612 p., 7 ill., 56 planches, 15 tableaux, cartonnage éditeur. 21 x 29,7
Neuf
Éditions de Lutèce Dos carré collé 1960 In-12 (11 x 17,4 cm), dos carré collé, 127 pages ; frottements aux mors, charnières et bords des plats, traces et froissements au quatrième plat, par ailleurs assez bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
P., Masson et Cie, 1902, in-4°, vi-207 pp, 38 figures dans le texte et 9 planches hors texte, reliure cartonnée demi-toile à coins de l'éditeur, plats un peu salis, bon état
En 1898, une exposition sur l'art sacré s'ouvrait à Turin. Pour la première fois depuis 30 ans, et alors que la permission de déployer l'étoffe n'avait été donnée que six fois au cours du XIXe siècle par la Maison de Savoie, on put non seulement voir le Linceul mais aussi le photographier et l'étudier. Les premières photographies du Saint-Suaire ont alors été réalisées par Secondo Pia. C'est au moment du développement de ces clichés que ce dernier s'est rendu compte que des empreintes laissées sur le tissu du linceul, et jusqu'alors invisibles à l'œil nu, étaient devenues observables. Paul Vignon est l'un des premiers savants à s'être emparé du sujet. Persuadé du caractère authentique de l'objet, il considérait que les photographies qui en avaient été tirées ne pouvaient être ni des peintures ni une copie faite de main d'homme, mais bien plutôt la trace laissée par les "effluves" du corps du Christ, sorte de rayonnements qui distingueraient, selon Vignon, ces images par une nature singulière, d'ordre "vaporographique", comme il le précisait alors dans son étude. — "Le livre de M. Vignon est l'instrument le plus complet et indispensable pour aborder le Suaire. La documentation est souvent excellente, l'illustration incomparable." (Revue des études byzantines)