Grasset 1993, broché avec son bandeau, 250pp; très bon état
Reference : 11790
ISBN : 9782246482413
Librairie Alpha
Anne et Yvan Abbal-Touzart
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Paris Albin Michel 1990 In8 - cartonnage éditeur avec sa jaquette - 189 pages - nombreuses illustrations et photographies - Envois autographes signés de Alphonse Boudard et de Romi ( Robert Miquel ) en page de faux titre .
Très bon Bon Signé par L'auteur et L'illustrateur
PAris Delacommune frères 1914 Le Bain Douche pour : Municipalités, casernes, prisons, maisons ouvrières, usines, écoles. Maison DELAROCHE - Paris, Delacommune Frères, n°89, 1914 - in8 br. 77pp. Catalogue très détaillé et illustré qui présente les plans d'installation possible en fonction du type d'établissement et avec des exemples : Caserne de Senones (Vosges) école des Roches (Verneuil) Bains Douche publics à Rouen ... s'ensuivent les éléments nécessaires photographiés, décrits, expliqués et leurs tarifs, de la chaudière-bouilleur à l'urinoir modèle riche en grès émaillé. La Maison Delaroche a été une des premières à promouvoir l'utilité de l'hygiène quotidienne et à proposer des solutions pour toutes les tranches de population.
Bon
Paris: Librairie Hachette, 1923-1929 8 numéros in-4, demi reliure toile à coins, dos muet, plats lég. défr., très bon état intérieur.
[revue] Vie à la campagne. Réunion de 8 numéros extraordinaires: Maisons et meubles dauphinois, lyonnais, savoyards (15 décembre 1923) - Maisons et meubles poitevins, vendéens, saintongeais (15 décembre 1924) - Maisons et meubles artésiens et picards (25 décembre 1926) - Maisons et meubles basques et béarnais (15 décembre 1927) - Logis d'artiste au pays bigouden (numéro 302 du 1er août 1928) - Maisons et meubles du massif Central (15 décembre 1928) - Maisons et meubles flamands (15 décembre 1929) - Maisons et meubles ardennais et wallons (15 décembre 1929). (Paris: Librairie Hachette, 1923-1929). [M.C.: revue, arts décoratifs, mobilier, architecture régionale]
PARIS, Revue Histoire & Généalogie / Ed. Christian - Tête de Collection N° 1, 1 trimestre 1985 au N° 12, Juillet/Août 1987 - In-8 - Broché - Tableaux Généalogiques - quelques illustrations - 85 à 96 pages par numéro - Bel ensemble
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P., APPIF (Association pour le patrimoine de l'Ile-de-France), 1999, pt in-4°, 238 pp, photographies de Jean-Bernard Vialles, cartographie Pascal Pissot, nombreuses gravures, photos et plans en noir et en couleurs, sources, biblio, index, reliure toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Cahiers du patrimoine, 53)
Maisons-Laffitte, ville en bordure de Seine où il fait bon vivre ? Maisons-Laffitte, un des grands champs de courses de l'Île-de-France ? Maisons-Laffitte pour le parisien de cette fin du XXe siècle, c'est à la fois cela et aussi un grand parc où se dresse le château de René de Longueil construit au XVIIe siècle par François Mansart. Ce volume publié dans le cadre du quatrième centenaire de la naissance du grand architecte propose une relecture originale de cet ensemble urbain unique en Île-de-France. À travers les mutations de son parc et les créations architecturales des premiers colons on va pouvoir découvrir l'étonnante fortune d'un des sites les plus pittoresques des environs de Paris. Au fil des pages brillamment illustrées, Sophie Cueille, historienne de l'art, éclaire les rapports tissés au cours des siècles entre la ville et le château, l'alliance toujours renouvelée entre nature et architecture.Un ouvrage précieux pour la compréhension de l'architecture française du début du XIXe siècle. — "Analyser la continuité et les ruptures dans l'urbanisation de Maisons, et plus particulièrement le lotissement lancé en 1833 par le banquier Jacques Laffitte, est une affaire plus délicate qu'il n'y paraît. L'on se souvient qu'en 1989, Sophie Cueille avait consacré au lotissement du Vésinet un très beau Cahier de l'Inventaire. L'exercice prend ici une dimension supplémentaire, celle qui consiste à montrer comment le château et le parc, dessinés par François Mansart dans les années 1640, ont orienté l'urbanisation du XIXe siècle. Sur le château lui-même, la rétrospective Mansart de 1998 – en particulier les contributions de Claude Mignot – a suffisamment enrichi nos connaissances pour que S. Cueille n'ait à y revenir. Sur les heurts et malheurs de son parc, beaucoup restait à dire et l'auteur puise pour ce faire à une source insuffisamment exploitée jusque-là : le poème d'Abraham Davaud (1643) qui en détaille l'ordonnance. Sur la « colonie Laftitte », S. Cueille remonte à une source essentielle : L'Edile de Paris, journal publicitaire animé par Jacques Laffïtte et le célèbre architecte-lotisseur Auguste Constantin, qui détaille les plus fins mécanismes de l'entreprise. Le banquier avait lancé son « Arcadie des bords de Seine » aussitôt après l'épidémie de choléra qui ravagea la capitale. Maisons, site hygiénique et pittoresque de villégiature, se voulait être une anti-métropole. D'inspiration saint-simonienne dans ses principes, comme en témoigne la clientèle plutôt modeste à laquelle elle était destinée initialement, la colonie bénéficia, dans sa forme, de l'intervention du paysagiste J. Lalos. La présence réaffirmée de la nature est confortée par un cahier des charges qui soumettait les acquéreurs de terrains à des contraintes d'alignement, fixait les dimensions des clôtures et imposait le choix des arbres. Malgré la mort de Lafïitte en 1844 et le lotissement de la cour d'honneur du château en 1877, puis, en 1905, du parc « à l'anglaise » que le banquier avait fait aménager à proximité, la nouvelle agglomération perpétue ses principes fondateurs parce qu'elle respecte son cahier des charges. Il est vrai aussi que Laffitte encourageait fortement les acquéreurs à recourir à des architectes agréés par lui. Le plus représentatif de ces architectes de la première époque du lotissement est sans doute Charles Duval. Durant les années 1830 et 1840, celui-ci conçut des demeures dont l'ampleur était proportionnelle aux moyens de la clientèle. S 'appuyant sur la méthode typologique de Jean-Nicolas-Louis Durand, C. Duval composa pour ce faire plusieurs types de maisons sur plan carré. S. Cueille analyse finement l'habileté de C. Duval à accorder l'économique symétrie des volumes bâtis à la souple asymétrie des plans, au moyen de fausses baies fermées par des persiennes et de vrais œils-de-bœufs dissimulés au fond de niches abritant des sculptures. Bientôt le néo-classicisme normatif inspiré de J. Durand fait place à des références plus libres aux pittoresques anglais, suisse, italien ou américain, qui font ainsi de l'œuvre de C. Duval à Maisons-Lafîitte l'un des premiers moments de l'éclectisme. Au tournant du XIXe siècle, notamment sous le crayon de l'architecte Louis Granet, la typologie des villas de Maisons-Laffitte rejoint celle des sites balnéaires. Paradoxalement, la ville perd son caractère de villégiature estivale pour celui d'une banlieue chic où l'on réside toute l'année, mais perpétue sa vocation paysagère grâce à la forte présence d'équipements hippiques. Grâce à la qualité de la maquette, des illustrations et des cartes, ce livre est d'une grande beauté, la richesse thématique de la démonstration, si elle ne peut épuiser, même en plus de deux cents pages, un si vaste sujet, mérite assurément d'être saluée." (Jean-Baptiste Minnaert, Bulletin Monumental, 2001)