LEMERRE 1890 1 Paris, Lemerre, 1890. In-12 broché, couverture jaune imprimée, papier non rogné et non coupé, faux-titre, titre, vii pp., préface, 74 pp., 1 f. achevé d'imp.
Reference : 8938
Eition originale. Au dos de la couverture, catalogue des oeuvres de Jules Barbey d'Aurevilly chez Lemerre. Oeuvre de jeunesse (avant 1840) publiée postérieurement. Introduction de Paul Bourget. Pli à la couverture et brunissures internes. (Carteret I 115).
Librairie Chrétien
M. Jean Izarn
178 Rue du Faubourg Saint Honoré
75008 Paris
France
33 01 45 63 52 66
Passez votre commande sans intermédiaire à la librairie ! Contactez nous par téléphone, e-mail ou mieux : Venez nous voir ! Prix nets en euros. Nous acceptons la Visa, chèques français et paiement espèces. Envoi du livre après encaissement du règlement, frais de ports à la charge du client, envoi en recommandé. La librairie est fermée du 1er au 31 Août ...
P., Alphonse Lemerre, 1890, in-12, vii-74 pp, préface de Paul Bourget, broché, couverture jaune imprimée, avec au dos le catalogue des oeuvres de Jules Barbey d'Aurevilly chez Lemerre, bon état. Edition originale (Vicaire I, 308)
L'auteur se reconnaît dans le personnage d'Altaï, Maurice de Guérin dans celui de Somegod, et Amaïdée, « fille de race déchue », est inspirée d'une aventure réelle de l'auteur, selon ses propres dires. Intéressante oeuvre de jeunesse écrite avant 1840, dont le manuscrit figura à la dispersion de la bibliothèque de Sainte-Beuve où il passa dans les mains d'un certain M. Paradis, puis disparut pour de nombreuses années. — Dans cette intéressante oeuvre de jeunesse écrite avant 1840, l’auteur se reconnait dans le personnage d’Altaï, Maurice de Guérin dans celui de Somegod, et Amaïdée est inspirée d’une aventure réelle de l’auteur. — Jules-Amédée Barbey d’Aurevilly est né en 1808 et mort en 1889. « Ses origines et son enfance mettent d’abord en relief les deux traits essentiels de cet écrivain solitaire et original : il est Normand et il est noble. Au sortir du collège (1824), le jeune garçon vint à Valognes où il vécut pendant plusieurs années. C’est là qu’il connut les derniers survivants de la chouannerie qu’il s’efforcera plus tard de réhabiliter. Dès l’adolescence Barbey commence à composer des vers. A dix-neuf ans, il va faire ses humanités à Paris, au collège Stanislas, où il devient l’ami de Maurice de Guérin. Une fois bachelier, en 1829, il s’installe à Caen comme étudiant en droit et rencontre le libraire Trébutien qui lui voue un attachement passionné et qu’il chargera plus tard de mille besognes d’édition, de corrections d’épreuves, etc. (...). » (Dictionnaire des auteurs, I, 214). Paul Bourget explique l’histoire de la publication d’Amaïdée dans la préface : « Ce poème en prose d’Amaïdée se rattache à la première jeunesse du maitre écrivain qui devait nous donner un jour la Vieille Maitresse et le Chevalier Des Touches. C’est un fragment et de brève dimension, mais qui a déjà son histoire. L’unique copie dont les amis de M. Barbey d’Aurevilly eussent connaissance provenait du fidèle Trebutien (qui se fit, comme on sait, par enthousiasme d’affection, l’éditeur de la Bague d’Annibal, du Dandysme, des Poésies, des Prophètes du Passé, ...). Ce dévot d’amitié l’avait communiquée à Sainte-Beuve, lors de la publication des lettres de Maurice et d’Eugénie de Guérin. A la vente du célèbre critique, un M. Paradis acheta le manuscrit. Ce collectionneur mourut lui-même et Amaïdée passa dans les mains d’un inconnu. Comme, d’autre part, les papiers de Trebutien ne portaient pas trace de l’original, on croyait ce fragment perdu sans retour. Un appel fait dans le Figaro au possesseur actuel était resté infructueux, lorsque la nièce du premier dépositaire découvrit, dans un des cartons pieusement conservés depuis la mort de son oncle, un cahier sans signature, étiqueté de ce nom romantique. Elle se souvint d’avoir lu dans un journal que M. d’Aurevilly recherchait cette oeuvre d’adolescence et lui envoya le mystérieux cahier. Et voilà comment ces pages, écrites avant 1840, paraissent aujourd’hui seulement que leur auteur est devenu célèbre et pour des travaux bien différents de ce premier essai ».
Paris, Alphonse Lemerre, 1890. In-12 de VII et 74 pages. Broché non coupé avec les couvertures jaunes imprimées. Bon état.
Edition originale. Préface de Paul Bourget, l'auteur se reconnaît dans le personnage d'Altaï, Maurice de Guérin dans celui de Somegod, et Amaïdée, "fille de race déchue", est inspirée d'une aventure réelle de l'auteur, selon ses propres dires. Intéressante oeuvre de jeunesse écrite avant 1840, dont le manuscrit figura à la dispersion de la bibliothèque de Sainte-Beuve où il passa dans les mains d'un certain M. Paradis, puis disparut pour de nombreuses années. Vicaire, Seguin: Etudes de bibliographie critique.
Paris, Alphonse Lemerre, 1890. In-12 de VII et 74 pages. Broché non coupé avec les couvertures jaunes imprimées. Bon état.
Edition originale. Préface de Paul Bourget, l'auteur se reconnait dans le personnage d'Altaï, Maurice de Guérin dans celui de Somegod, et Amaïdée, "fille de race déchue", est inspirée d'une aventure réelle de l'auteur, selon ses propres dires. Intéressante oeuvre de jeunesse écrite avant 1840, dont le manuscrit figura à la dispersion de la bibliothèque de Sainte-Beuve où il passa dans les mains d'un certain M. Paradis, puis disparut pour de nombreuses années. Vicaire, Seguin: Etudes de bibliographie critique.
Paris : Alphonse Lemerre, 1890 Petit in-8, (4)-vii-74 pages. Broché, couverture imprimée.
Edition originale, posthume. Oeuvre de jeunesse écrite avant 1840, dont le manuscrit figura à la dispersion de la bibliothèque de Sainte-Beuve, où il passa dans les mains d'un certain M. Paradis, puis disparut pour de nombreuses années.L'auteur se reconnait dans le personnage d'Altaï, Maurice de Guérin dans celui de Somegod, et Amaïdée, "fille de race déchue", est inspirée d'une aventure réelle de l'auteur, selon ses propres dires. Vicaire I, 308.
Paris, Lemerre, 1890. VII. 74 pages. (12x19cm). Demi-basane à coins. Dos et coins détériorés. Non rogné. Papier bruni.