1930 1 Avec une eau-forte de DUNOYER DE SEGONZAC. 1930, in-8, broché, couverture rempliée, papier non coupé, 80 pp.
Reference : 7527
Exemplaire numéroté sur papier Vélin des Papeteries d'Arches de l'édition limitée à 195 exemplaires, constituant l'édition originale. Inf. tâches int.
Librairie Chrétien
M. Jean Izarn
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Paris, Calmann-Lévy, s.d. [circa 1920]. Un vol. au format in-12 (188 x 123 mm) de 471 pp. Reliure de l'époque de demi-chagrin maroquiné aubergine, dos à nerfs orné de filets gras en noir, larges fleurons dorés, titre doré, tête mouchetée, premier plat de couverture conservé.
Exemplaire revêtu d'une agréable reliure du temps. “Petits Poèmes en prose” (ou encore Le Spleen de Paris, ou Poèmes nocturnes, ou Poèmes en Prose) est un recueil posthume établi par Charles Asselineau et Théodore de Banville. Les cinquante pièces qui le composent ont été rédigées entre 1855 («Le crépuscule du matin») et 1864. Une quarantaine d’entre elles ont paru dans divers journaux de l’époque; les dix suivantes furent posthumes entre 1867 et 1869. Selon une lettre de 1862, Baudelaire a été inspiré en les écrivant par l’exemple d’Aloysius Bertrand. Le titre Petits Poèmes en prose est souvent suivi d’une forme de sous-titre Le Spleen de Paris (qui se rapproche des titres de deux parties des Fleurs du Mal: «Spleen et Idéal» et «Tableaux parisiens»). En effet, de son vivant, Baudelaire évoqua cette expression pour désigner son recueil qu’il complétait à mesure de son inspiration et de ses publications. D’ailleurs, le 7 février 1864, le journal Le Figaro publia quatre pièces appartenant aux Petits Poèmes en prose sous le titre «Le Spleen de Paris». Ceci explique l’association étroite des deux titres. Depuis lors, le recueil porte ces deux noms. Le Figaro a choisi d’arrêter son choix sur un des titres proposés par Baudelaire, mais c’est bien au terme de «Spleen» qu’il faut surtout prêter attention plus qu’au lieu dit de Paris. Comme on le voit à la lecture du recueil, Paris n’est pas le décor principal de l’experience poétique. Cependant le Spleen de Paris ne se trompe pas de lieu, le Spleen de Baudelaire est bel et bien un mal de «vauriens» de Paris, Baudelaire nous présente le diagnostic d’un malaise social lié à une ville plus qu’une simple indication de carte pour situer son épanchement poétique. Seule la dernière pièce du recueil («Épilogue») est en vers. Il est aujourd’hui établi que Baudelaire n’avait pas prévu de l’y inclure. Si l’auteur est libéré de la contrainte de la rime, il se doit tout de même de donner un rythme, une structure proche de la poésie à son écriture, de crainte de tomber dans le récit classique. Dos légèrement passé présentant en outre de légers frottements. Quelques rousseurs concentrées aux feuillets liminaires. Nonobstant, belle condition.
Paris, Alphonse Lemerre, (1949). Un vol. au format gd in-16 (163 x 96 mm) de 442 pp., broché.
“Petits Poèmes en prose” (ou encore Le Spleen de Paris, ou Poèmes nocturnes, ou Poèmes en Prose) est un recueil posthume établi par Charles Asselineau et Théodore de Banville. Les cinquante pièces qui le composent ont été rédigées entre 1855 («Le crépuscule du matin») et 1864. Une quarantaine d’entre elles ont paru dans divers journaux de l’époque; les dix suivantes furent posthumes entre 1867 et 1869. Selon une lettre de 1862, Baudelaire a été inspiré en les écrivant par l’exemple d’Aloysius Bertrand. Le titre Petits Poèmes en prose est souvent suivi d’une forme de sous-titre Le Spleen de Paris (qui se rapproche des titres de deux parties des Fleurs du Mal: «Spleen et Idéal» et «Tableaux parisiens»). En effet, de son vivant, Baudelaire évoqua cette expression pour désigner son recueil qu’il complétait à mesure de son inspiration et de ses publications. D’ailleurs, le 7 février 1864, le journal Le Figaro publia quatre pièces appartenant aux Petits Poèmes en prose sous le titre «Le Spleen de Paris». Ceci explique l’association étroite des deux titres. Depuis lors, le recueil porte ces deux noms. Le Figaro a choisi d’arrêter son choix sur un des titres proposés par Baudelaire, mais c’est bien au terme de «Spleen» qu’il faut surtout prêter attention plus qu’au lieu dit de Paris. Comme on le voit à la lecture du recueil, Paris n’est pas le décor principal de l’experience poétique. Cependant le Spleen de Paris ne se trompe pas de lieu, le Spleen de Baudelaire est bel et bien un mal de «vauriens» de Paris, Baudelaire nous présente le diagnostic d’un malaise social lié à une ville plus qu’une simple indication de carte pour situer son épanchement poétique. Seule la dernière pièce du recueil («Épilogue») est en vers. Il est aujourd’hui établi que Baudelaire n’avait pas prévu de l’y inclure. Si l’auteur est libéré de la contrainte de la rime, il se doit tout de même de donner un rythme, une structure proche de la poésie à son écriture, de crainte de tomber dans le récit classique. Petits défauts affectant les coiffes. Dos légèrement ridé. Nonobstant, très belle condition.
GALLIMARD. 1945. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. XXV+ 1653 pages - Signet conservé. Tranches de tête bleutées.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
"65e volume de la collection BIBLIOTHEQUE LA PLEIADE. / TEXTE ETABLI ET ANNOTE PAR HENRI MONDOR ET G. JEAN-AUBRY. // SOMMAIRE : Poëmes d'enfance et de jeunesse. - Poésies. - Vers de circonstance. - Les poëmes d'Edgar Poe. - Prose de jeunesse. - Poëmes en prose. - Crayonné au théâtre. - Variations sur un sujet. - Igitur. - Un coup de dé. - Quelques médaillons et portraits en pied. - Richard Wagner. - Préface à ""Wathek"". - Le ""Ten o'clock"" de M. Whistler. - Contes indiens. - La musique et les lettres. - Proses diverses. - Les mots anglais. - Thèmes anglais. - Les dieux antiques. - L'étoile des fées. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle"
Paris Éditions des quatre chemins 1926 1 in-4 Avec dix eaux-fortes gravées par Marcel GROMAIRE. Paris, Éditions des Quatre Chemins, 1926, in-4, broché, couverture imprimée et rempliée, 144 pages.
Seul recueil en prose de Charles Baudelaire (Paris 1821-1867), il est aussi intitulé "Le Spleen de Paris". Les cinquante pièces qui le composent font état d'un malaise social que les dix eaux-fortes de Marcel GROMAIRE (Noyelles-sur-Sambre 1892-1971) traduisent à travers un univers taciturne, des masses anguleuses et des volumes robustes. Ce recueil, bien qu'il soit en prose, reste proche du poème tant par le rythme que par l'unité et la structure du texte. Fente au mors, quelques rares piqures. Tirage limité à 360 exemplaires numérotés. Un des 300 exemplaires sur Vélin d'Arches numérotés.
Paris, Michel Lévy, 1869 In-12 de (2) ff., 471 pp. (verso bl.), demi-chagrin lie-de-vin à coins, dos à nerfs, tête dorée, non rogné, couvertures et dos conservés (reliure moderne).
"Edition originale pour les Petits Poèmes en prose. Destiné à former le quatrième tome des Œuvres complètes, ce volume se vendait aussi seul. Baudelaire songeait à intituler son recueil Le Spleen de Paris mais les éditeurs optèrent pour celui de Petits Poèmes en prose. Le titre sera rétabli par la suite. Dans la belle préface dédiée à Arsène Houssaye, Baudelaire s'explique sur le genre nouveau que sont les poèmes en prose : ""C'est en feuilletant pour la vingtième fois au moins, le fameux Gaspard de la Nuit, d'Aloysius Bertrand […] que l'idée m'est venue de tenter quelque chose d'analogue, et d'appliquer à la description de la vie moderne, ou plutôt d'une vie moderne et plus abstraite, le procédé qu'il avait appliqué à la peinture de la vie ancienne, si étrangement pittoresque."" Bel exemplaire. Dos très légèrement éclairci."
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