Paris Editions des Cahiers Libres 1927 1 in-12 Eau-forte d'Alexeieff. Précédé d'une opinion sur les Français par C. Washburn, Traduite par André Maurois. Paris, Éditions des Cahiers Libres, 1927, in-12, broché, couverture rose rempliée, titre violine sur le premier plat, titre en long sur le dos, 70 pages.
Reference : 23274
Le texte de MAUROIS sur les Anglais est précédé d'une préface fort savoureuse de Claude C. WASHBURN sur les Français, pointant avec un brio synthétique nos travers et nos qualités. Infimes usures et très légères pâlissures. Tirage limité à 875 exemplaires, un des 825 sur papier Lafuma. Petites usures à la couverture et coiffes cassées, infimes taches.
Librairie Chrétien
M. Jean Izarn
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La première critique gastronomique adressée aux anglais par un français. « Des plaisirs de la table chez les anglais… ». L’exemplaire finement relié pour Madame de Pompadour, la protectrice de l’auteur. Amsterdam (Paris) 1751. 3 tomes en 3 volumes in-12 de : I/ (1) f.bl., (2) ff., lvi pp. de préface, 346 pp., (1) f. de fautes à corriger, (1) f.bl. ; II/ (1) f.bl., (2) ff., 380 pp. (1) f.bl. ; III/ (1) f.bl., (2) ff., 412 pp. (1) f.bl. Reliés en plein maroquin rouge de l’époque, large roulette richement dorée encadrant les plats, armes frappées or au centre, dos lisses ornés de fleurons dorés, pièces de titre et de tomaison de maroquin havane, filet doré sur les coupes, roulettes intérieures dorées, tranches dorées. Reliures de l’époque. 165 x 96 mm.
Troisième édition française, augmentée d’une longue préface de l’auteur, de l’un des principaux traites compares de politique économique entre la France et l’Angleterre au milieu du XVIIIe siècle et du premier essai de gastronomie comparée. Cioranescu, II, 37992 ; Quérard, La France littéraire, V, 15. Les Lettres de Le Blanc écrites d’Angleterre à Helvetius, Buffon, Crébillon, Montesquieu, maupertuis … sont une très intéressante peinture des mœurs anglaises du XVIIIe siècle. Cet « ouvrage fort estime parmi les gens de lettres » qui avait été publié pour la première fois à Paris en 1745 fut rapidement traduit puis critiqué par les anglais (édition de Londres, 1747). La présente édition est recherchée en raison de la longue préface de 56 pages ajoutée par l’auteur au début du volume dans laquelle il analyse les diverses critiques de son livre données par les anglais. Ces lettres adressées aux grands esprits français de l’époque offrent une intéressante comparaison des gouvernements, des politiques et des mœurs anglais et français. L’auteur y aborde des thèmes aussi divers que la littérature, le théâtre, les jardins, la gastronomie ou encore les goûts des deux peuples décrits. L’une des lettres les plus célèbres est la Lettre XLII « A Monsieur le Marquis du Tenail » intitulée « Des plaisirs de la Table chez les Anglais, de leurs Tostes »… Cette lettre est en effet la première critique gastronomique adressée par un auteur français aux coutumes culinaires anglaises. Dans le tome 2, Le Blanc édite une partie de la traduction de la tragédie d’Oroonoko qui met en scène les rapports entre les colons anglais et les noirs esclaves de la Guyane anglaise. « Jean-Bernard Le blanc (1707-1781) embrassa l’état ecclésiastique et débuta dans la carrière des lettres par un ‘Poème sur les gens de lettres de Bourgogne’. Il vint ensuite à Paris, s’y fit des protecteurs, et publia des ‘Elégies, avec un discours sur ce genre de poésie’ (Paris, 1751). L’abbé Le blanc voyagea en Angleterre et publia à son retour : ‘Lettres d’un Français sur les Anglais’ (Paris, 1745, 3 vol. in-12). Cet ouvrage, réimprimé en 1749, 1751 et 1758 contribua principalement à la réputation de l’auteur […]. Quoiqu’il fût membre des académies della Crusca et des Arcades de Rome, de l’institut de Bologne et honoraire de la Société des sciences et des arts de Dijon, l’abbé Le blanc sollicita trente ans, sans pouvoir l’obtenir et sans se rebuter, une place à l’académie française. Pour l’en dédommager, Mme de Pompadour fit rétablir en sa faveur la place d’historiographe des bâtiments du Roi, supprimée par le contrôleur-général Orry. Il en jouit jusqu’a sa mort, en 1781. » (Biographie Universelle, pp. 483-484). « L’ouvrage qui a le plus contribué à sa réputation, est celui de ses ‘Lettres sur les anglais’, 1758, 3 vol. in-12. On y trouve des choses bien vues, des jugemens sains, des pensées judicieuses » (Les siècles littéraires de la France, p. 265). Précieux exemplaire finement relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Madame de Pompadour (1721-1764). Cette provenance confère un intérêt particulier à cet exemplaire puisque l’on sait que Madame de Pompadour était la protectrice de l’Abbé Le Blanc et que c’est elle qui fit rétablir en sa faveur la place d’historiographe des bâtiments du Roi qu’il occupa jusqu’à sa mort. Provenance : la Marquise de Pompadour (relié à ses armes) et Institutionis DD. Bernard et Auger avec ex libris.
NOUVELLE METHODE POUR APPRENDRE L'ANGLAIS - NEW METHOD FOR STUDYING THE FRENCH LANGUAGE.
Reference : c3685
Paris, Librairie Etrangère et Orientale de GIrard Frères, 1840 ; 2 tomes reliés en 1 volume in-12°, demi-chagrin violine de l' époque, dos à nerfs, filet maigre doré sur les nerfs, compartiments de double filet doré ornés de petits fers dorés, titre doré; VIIpp., 341pp.; 373pp. 4 feuillets brunis en début du 1er tome, jaunissures et traces de mouillures dans la 2ème partie du 2ème tome.
La première partie est consacrée à l'apprentissage de l'anglais à partir du texte de Bernardin de Saint-Pierre en français traduit ligne à ligne en anglais et plus étonnamment la seconde partie est consacrée à l'apprentissage du français à partir du texte en anglais de "Paul et Virginie".Il manque au 2ème Tome le titre et les pages 5 à 8 soit 3 feuillets.(GrMG)
1824 Paris, Barrois et Jombert, 1824; in-12°, demi basane beige de l'époque, roulette à froid souligant les mors, dos lisse orné de palettes, fleurons et filets dorés, titre doré; (iv), 239pp. Abécédaire illustré et 18 vignettes dans le texte. Ex-libris cachet au titre; petit manque à la coiffe supérieure et aux charnières en tête et pied (sur 1cm), rares rousseurs.
Bon exemplairede la première édition. Ce rare ouvrage éducatif, d'aprentissage de l'anglais, commence par un joli abécédaire illustré en anglais. Ouvrage en français et en anglais.(CO2)
Première description du Brésil par un Anglais au XIXe siècle. Très séduisant exemplaire offert par l’auteur à Cambacérès. Paris, Léopold, Collin, 1806. In-8 de xiv pp., 215 pp., (1) p. Cartonnage rouge maroquiné, large jeu de roulettes dorées encadrant les plats, inscription en lettres d’or: A S.A.S Monseigneur le Prince Cambacéres Archichancelier de l’Empire, dos lisse orné de filets dorés formant faux-nerfs et de fleurs aux étoiles et pointillés dorés, roulette dorée sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées. Reliure de l’époque. 198 x 122 mm.
Première édition française de ce voyage au Brésil offert par l’auteur à Cambacérès. Borba de Moraes, I, 485; Garraux 170; Leclerc 1609; Rodrigues 1416, Sabin 41296. Cette traduction est l’œuvre de François Soulès. Cette première édition française est plus rare que la première anglaise selon Borba de Moraes. En 1801, Lindley, un marchand anglais, se trouvait en Afrique du Sud avec des marchandises dont le cour avait brusquement chuté après la signature de la paix de Lunéville. Il décida donc de tenter de les vendre au Brésil. Mais il y fut arrêté pour contrebande et emprisonné un an à Sao Salvador de Bahia malgré toutes ses protestations. Les conditions d’incarcération s’étant progressivement assouplies, il fut autorisé à sortir durant la journée. Il en profita pour visiter la ville et son récit fourmille de détails sur celle-ci, et sur ses habitants. Il s’agit de la première description du Brésil par un Anglais au XIXe siècle. Après 11 mois de prison, il réussit à s'échapper via le Portugal pour rejoindre l'Angleterre. Très séduisant exemplaire offert par l’auteur à Cambacérès et portant cette dédicace frappée en lettres dorées sur le plat supérieur : « A.S.A.S. Monseigneur le Prince Cambacérès Archichancelier de l’Empire ». Jean-Jacques-Régis de Cambacérès est un jurisconsulte et homme d'État français, né le 18 octobre 1753 à Montpellier et mort le 8 mars 1824 à Paris. Issu d'une famille de magistrats appartenant à la vieille noblesse de robe montpelliéraine, il connaît une enfance relativement pauvre. Diplômé en droit, il commence une carrière d'avocat et de conseiller à la Cour des comptes du Languedoc et fait son entrée en politique dès les premiers jours de la Révolution française. Président du tribunal criminel de l'Hérault en 1791, il est élu député à la Convention nationale l'année suivante. Dès lors, Cambacérès occupe des postes de pouvoir pendant la majeure partie de sa vie. Membre du Comité de salut public entre 1794 et 1795, président du Conseil des Cinq-Cents en 1796 puis ministre de la Justice en 1799, il est Deuxième consul après le coup d'État du 18 Brumaire de Napoléon Bonaparte et assiste au sacre de celui-ci en 1804. Nommé archichancelier de l'Empire, il est pendant près de dix ans le deuxième personnage de l'État: l'Empereur lui délègue la présidence des conseils et des séances du Sénat pendant son absence. Élu à l'Académie française et membre de l'Institut, il est également un personnage éminent de la franc-maçonnerie française et participe à son renouveau après la proclamation de l'Empire. Chef suprême du rite français, il est grand maître adjoint du Grand Orient de France après le retrait du prince Louis Bonaparte en 1805 et le reste jusqu'à la fin de l'Empire. Il est aussi grand commandeur du Suprême Conseil du rite écossais et cumule plusieurs autres fonctions maçonniques. Avide d'argent et de pouvoir, il se constitue une immense fortune grâce à son esprit d'entreprise et aux faveurs de l'Empereur. L'hôtel Molé, qu'il acquiert en 1808, devient l'un des plus beaux palais de Paris et les réceptions qu'il organise sont reconnues pour leur faste et la qualité des mets qui y sont servis. Gastronome averti, amoureux du luxe et de la décoration, il se voit confier un rôle de représentation de la part de Napoléon Ier dans le but d'affirmer la puissance de l'Empire et de l'ancrer dans les traditions séculaires de la France. Il quitte le pouvoir en 1815 après la chute de l'Empereur et s'exile un temps à Bruxelles. De retour à Paris à la fin de l'année 1818, il y passe les dernières années de sa vie, à l'écart du pouvoir.
P., Challamel, 1883, grand et fort in 8° broché, couverture muette, 687pp. ; non coupé.
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