1940 Mine de plomb sur papier signée du monogramme, cachet d'atelier en bas à droite, (1940), 29.5 x 43.5, encadrée.
Reference : 21383
Bernard Boutet de Monvel (Paris 1881-1949), qui fut l'un des premiers collaborateurs de la célèbre Gazette du Bon Ton, travailla dans chacun de ses dessins une ligne épurée dépourvue de tout détail superflu. Sur l'importance que l'artiste accordait au trait, son commentaire, sur un bon à tirer qu'il retournait à son éditeur, vaut toutes les démonstrations : "Mon coloris ne vous ruinera pas ! mais pour l'amour du ciel, faites moi un trait plus noir". Esquisse préparatoire pour un tableau, montrant la façon dont Bernard Boutet de Monvel travaillait avec la mise au carreau, le choix de la pose du modèle. En effet, avec un travail d'étude au crayon sur papier, Bernard Boutet de Monvel, s'attachait à épurer toujours davantage son dessin, jusqu'à ne conserver que cette ligne toute empreinte de géométrie que nous pouvons retrouver dans ce dessin.
Librairie Chrétien
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P., Gallimard, 2004, br. (S3B22-28)
Édition originale.Envoi de l'auteur : "Pour Bernard Delvaille, ces Nudités qui, après les précédents élans symphoniques s'essaient à déchiffrer le monde à travers la musique de chambre - Avec l'amitié de..."
A Paris (Lyon), , 1792. In-8 de (2)-362 pp., demi-maroquin rouge à coins, dos à nerfs, tranches dorées (reliure du XIXe siècle).
Édition originale, très rare, publiée sous le voile de l'anonyme. Littérateur français, Chassaignon se fit remarquer par des ouvrages bizarres, produits d'un cerveau en délire. Son principal ouvrage, Cataractes de l'imagination, déluge de la scribomanie, vomissement littéraire, hémorragie encyclopédique, monstre des monstres, fut publié en 1779. Dans les Nudités, « Livre plein d'énergie sauvage. C'était dans sa pensée, une espèce d'antidote au fameux ouvrage de La Vicomterie sur les crimes des rois. il s'y élève aussi contre les persécutions dont le clergé dissident était l'objet, et contre les moteurs des troubles révolutionnaires de Lyon, et notamment Chalier » (Hoefer). Il défendait le curé de Mornand en dénonçant l'hypocrisie des vicaires épiscopaux. Il accusait nommément les vicaires Jolyclerc et Renaud d'être des clercs concubinaires. Blavier, p. 55 ; Gonon, Bibliographie historique de Lyon pendant la Révolution française, 1065.
Jérôme Millon, 1995, in-12, 127 pp, texte présenté par Claude-Louis Combet, broché, bon état (Coll. Atopia)
« Il y a toujours du péril à considérer attentivement une gorge nue ; et il y a non seulement un grand danger, mais une espèce de crime de la regarder avec attention dans l'église en même temps que l'on offre le saint Sacrifice de nos autels. Car Jésus-Christ étant alors réellement et véritablement présent, il me semble qu'on lui fait injure de lui préférer une femme, ou du moins de partager notre attention et peut-être nos voeux entre lui et elle, et de demeurer comme en suspens à qui nous donnerons nos désirs et nos pensées... La vue d'un beau sein n'est pas moins dangereuse pour nous que celle d'un basilic...» L'abbé Jacques Boileau, frère du poète Boileau-Despreaux, à qui l'on attribue l'opuscule “De l'abus des nudités de gorge” (1677) motive sa réprobation de la tenue indécente des femmes dans les lieux saints à partir d'un ensemble de considérations spirituelles dans la droite ligne d'une tradition de théologie morale qui tient la femme en suspect et la charge du rôle de tentatrice majeure. Il condamne l'usage mondain des églises devenues lieux de rendez-vous galants et espaces d'exhibition de luxe et d'impudeur. Dans cette profanation généralisée des sanctuaires que dénonce l'abbé Boileau, la femme apparaît comme l'artisan diabolique de la perdition des hommes, fidèle en cela à sa vocation originelle de mère du péché.
Editions du Rouergue. 2008. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 141 pages, exemplaire de bibliothèque, couverture plastifiée, tampons et étiquettes.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Collection La Brune. Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Paris, Fragmentaires, 1984, 18 x 24, 39 pages agrafées sous couverture souple imprimée. Illustrations noir & blanc. Au sommaire : Leonor Fini, Florence Dupont, Martine Franck, Ruth Henry, Unica Zürn, etc.
couverture tavelée.