EMILE-PAUL FRERES 1931 1 Tragédie en trois actes illustrée par LABOUREUR. Paris, Emile-Paul Frères, 1931, in-8, broché, couverture rempliée illustrée d'un burin nature morte cubiste, 176 pages.
Reference : 21344
Cette tragédie en trois actes a été présentée pour la première fois le 4 novembre 1931 au Théâtre Pigalle, sous la direction de Louis Jouvet, et est illustrée par LABOUREUR. Jean-Emile LABOUREUR (Nantes1877-Penestin 1943) est un peintre, graveur influencé par Gauguin, puis par le cubisme. Il tient une place prépondérante dans le grand mouvement de l'art moderne. Artiste talentueux et précoce, il apprend la gravure avec Auguste LEPERE et la lithographie avec TOULOUSE-LAUTREC. Son vif intérêt pour le cubisme lui permet d'adapter la simplification des formes tout en restant dans le figuratif. Il fréquente Guillaume APOLLINAIRE et Marie LAURENCIN. En 1923, il fonde l'Association des peintres et graveurs. Edition originale et premier tirage recherché en grand papier (Carteret IV, 185 Monod I, 5453). Tirage limité à 250 exemplaires numérotés. Un des 200 exemplaires sur vélin d'Arches (N°79). Légères salissures, usures et petites piqures.
Librairie Chrétien
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Judith GAUTIER, fille aînée de Théophile Gautier, Madame Catulle MENDÈS par son mariage, fut une des femmes les plus fascinantes de son époque. Elle entre en littérature par la publication dun article concernant la traduction dEuréka dEdgar Alan Poe par Baudelaire, ce qui lui vaudra lenthousiasme du poète. Elle parle en outre le chinois grâce aux leçons de Tin-Tun-Ling, réfugié politique chinois accueilli par Théophile Gautier, et publie un recueil de poésies, Le Livre de Jade, une traduction danciens poèmes chinois, à vingt-deux ans. Grande admiratrice de Richard Wagner, elle est aussi lamie intime de Victor Hugo auquel elle a inspiré plusieurs poèmes. Ses souvenirs paraissent dans La Revue de Paris sous le titre Le Collier des jours, entre 1904 et 1909. Lettres relatives (pour la plupart) à la parution dans la Revue de Paris des souvenirs de Judith Gautier sous le titre : « Le Collier des jours ».HÉBERT. 1817-1908. Peintre. 3 L.A.S. et 1 C.A.S. « Hebert » à « Chère Judith ». Paris, 1904. 4 pp. in-8 et 7 pp. in-12. sans date : ...Jai lu hier soir votre sixième article sur le second rang du Collier et je ne veux pas attendre ce soir pour vous dire tout le plaisir quil ma fait. Il est impossible de mieux raconter, et de raconter des choses plus intéressantes, surtout pour ceux qui comme moi, ont conservé un culte pour la mémoire du grand Théo. Si vous saviez combien nous vous remercions de nous faire revivre dans ce milieu sans pareil et a jamais disparu sans espoir de revoir jamais rien qui lui ressemble ! Tâchez, chère Judith, de faire durer longtemps cette évocation des jours lointains... - 29 novembre [1903] - Le peintre témoigne de la bonne réception de : …lensemble des chapitres que javais lus avec tant dintérêt dans la Revue de Paris, pour vous dire tout le plaisir que je dois à ces souvenirs, si bien racontés par vous, il faudrait la plume éloquente de votre père, elle seule pourrait exprimer les frissons de joies et des regrets que jai éprouvés en vous lisant ! (...) je vais vous envoyer une belle photographie du Banc de pierre faite autrefois par Bingham qui vous rappellera le tableau si admirablement poëtisé par le grand poëte dans des vers immortels...- 1er janvier [1904] - Le peintre envoie tardivement à sa correspondante : …la photographie du Banc de pierre, que je vous avais promise (...). Jose espérer, chère Judith, que vous aurez eu un peu de joie à la vue de ce tableau que vous aviez très bien décrit et qui vous rappellera des jours heureux et lointains…- 3 janvier [1904] - Hébert linvite à venir ...vers la tombée de la nuit (...) prendre une tasse de thé amicale avec nous. Je serai très heureux de vous revoir et de vous faire encore mes compliments pour le 2° rang du Collier…BENJAMIN-CONSTANT. 1845-1902. Peintre. 2 L.A.S. « Benjamin-Constant » et « Benj-Constant ». S.l.n.d. et Neuilly, s.d. Au total 7 p. in-12. Papier de deuil : Le peintre travaille en ce moment dans son atelier à Neuilly où, ...très bientôt, je vous demanderai de poser pour votre portrait (...). Je suis resté un fanatique du dieu Théo... de ce brave et grand artiste qui sonna si haut, et si généreusement la fanfare de 1830 ! Et après avoir admiré le père il ma été facile dadmirer la fille, la digne fille du père...PAILLERON. 1834-1899. Dramaturge. L.A.S. « Edouard Pailleron ». S.l.n.d. [jeudi 28 avril]. 1 p. in-12 : ...Merci Madame, de lhonneur que vous mavez fait en menvoyant cette ?uvre étrange et charmante, merci du plaisir que jai eu en la lisant...PRÉVOST-PARADOL Lucien-Anatole. 1829-1870. Journaliste. L.A.S. « P. Paradol ». S.l.n.d. 1 p. in-8 : ...Vous nêtes nullement oubliée mais la difficulté de trouver un moment ma jusquici privé vous [sic pour du] plaisir daller vous voir...POPELIN. 1825-1892. Peintre et poète. L.A.S. « Claudius Popelin ». S.l., 22 mai 1869. 1 p. in-8 sur papier de deuil : …Jai reçu, ma Chère Judith, votre Dragon-Impérial (...). Jirai, avant peu, vous porter une petite Yo-Men-Li de ma façon qui ne vaudra pas la vôtre à beaucoup près, sans cela, aurais-je le droit de me dire votre admirateur… Il conclut …Je baise vos belles mains et je voudrais vivre à vos pieds… Judith Gautier publie son roman Le Dragon Impérial en 1869, sous le nom de Judith Mendès. Yo-Men-Li, personnage féminin de ce roman, accompagne le héros Ta-Kiang.
, Brepols, 2024 Hardback, 254 pages, Size:178 x 254 mm, Illustrations:22 col., 5 tables b/w., Language: English. ISBN 9782503604619.
Summary Judith of West Francia is one of the most enigmatic of Charlemagne's early descendants. The daughter of the king of West Francia and future emperor Charles the Bald and his wife Ermentrude, she was one of only a handful of Carolingian princesses who were destined for marriage. Over the course of her teenage years she married two successive kings of Wessex, became the first consecrated queen of England, was widowed twice, returned to Francia with an immense dowry, and sparked a major diplomatic incident when she eloped with a nobleman from Flanders called Baldwin. Eventually she married Baldwin in early 864, and together they established the dynasty of the counts of Flanders. In doing so the couple laid the groundwork for what would become one of the mightiest and most prestigious territorial principalities in north-western Europe in the tenth and eleventh centuries. But even in the tenth century, exceedingly few written memories of Judith's life survived. This explains why she was never the subject of a biography in the medieval or early modern eras, and why scholarship's understanding of her life and legacy remains highly fragmented. This volume sets the record straight, offering an accessible and interdisciplinary discussion of all relevant and documented aspects of Judith's life and legacy. TABLE OF CONTENTS Steven Vanderputten, Introduction: Judith of Flanders as a Historical Figure, Figurehead of Dynastic Legitimation, and Source of Literary Imagination Charles West, Judith's Elopement, set in the Context of Ninth-Century Politics and Ideology Brigitte Meijns, The Question of The Emergence and Early Development of the County of Flanders Els De Paermentier, The Early Countesses of Flanders: Profile and Power Lisa Demets, Judith in the Literary Imagination of the Late Medieval and Early Modern Eras Georges Declercq, Looking for Judith's Burial Site Geert Vermeiren and Marie-Anne Bru, The Discovery of Seven Elite Graves in the Narthex of Saint-Peter's abbey in Ghent Jessica Palmer, Isabelle De Groote, et al., Anthropological Analysis of 'Judith' and the Six Other Remains. Annex
Paris, Editions Emile-Paul Frères, 1932 190mm x 122mm 282 pp Un des 25 exemplaires numérotés sur papier de Hollande Exemplaire en très bel état de conservation, conservé broché et entièrement non coupé. Judith est une pièce de théâtre en trois actes de Jean Giraudoux, écrite en 1931 et créée le 4 novembre 1931 au Théâtre Pigalle dans une mise en scène de Louis Jouvet. La pièce est une adaptation libre de l'histoire de Judith de la Bible. Alors que les armées du général Holopherne assiègent la ville, les habitants par la voix des prophètes demandent à Judith de tuer le général. Judith se rend dans sa tente, le séduit et le tue en le décapitant. Dans la version de Jean Giraudoux, Judith accomplit sa mission mais tombe aussi amoureuse d'Holopherne.
Reference : CZC-11901
LA SAINTE BIBLE TRADUITE EN FRANÇAIS, sous la direction de l’école Biblique de Jérusalem Judith - Esther, traduit par P. Barucq Le livre de Judith raconte l'histoire d'une veuve juive qui, face à la menace des Assyriens, prend les choses en main. Après avoir séduit le général ennemi Holopherne, Judith parvient à le décapiter, provoquant la déroute de l'armée assyrienne. Son courage et sa foi en Dieu sont au cœur du récit, illustrant comment une femme peut jouer un rôle décisif dans la défense de son peuple. Judith est célébrée comme une héroïne, et le livre met en avant la providence divine à travers des actions humaines audacieuses. Le livre d'Esther narre l'histoire d'une jeune femme juive qui devient reine de Perse. Lorsque le méchant Haman complote pour exterminer les Juifs, Esther, avec l'aide de son cousin Mardochée, risque sa vie pour plaider auprès du roi. Grâce à son courage et à sa sagesse, elle réussit à déjouer le plan d'Haman, sauvant ainsi son peuple. Le livre souligne des thèmes de providence, de bravoure et de l'importance de se lever pour défendre les opprimés, tout en établissant la fête de Pourim pour commémorer cette délivrance. vol relié demi cuir, 190x150, couvertures conservées, état intérieur neuf, 128pp. Les éditions du Cerf 1952 d'autres volumes de cette édition en vente, groupez les achats ! ref/69
Paris 29 Octobre 1910, 11x15cm, deux pages sur un double feuillet.
Lettre autographe datée et signée adressée à Judith Gautier, 21 lignes à l'encre noire sur un double feuillet, lui rendant hommage pour son éléction à l'Académie Goncourt ; Judith Gautier étant ainsi la première femme écrivain à intégrer le prestigieux jury Goncourt en 1910. Léon Dierx estime que ce n'est qu'une juste et lucide reconnaissance des talents littéraires de son amie : "En choisissant Judith Gautier, le si naturellement digne et admirable écrivain, elle sest grandement honorée et je vous prie de lui transmettre les chaleureuses félicitations de l'un de vos plus vieux amis et admirateurs." - Photos sur www.Edition-originale.com -