Paris Mazarine 1981 Grand In 8 Au coeur de la jungle , une lutte sans merci dont l'enjeu est la suprématie technologique mondiale . - 348 p. , 750 gr.
Reference : 016916
ISBN : 2863740741
Couverture souple Très Bon État . 1ère Édition
Au vert paradis du livre
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Paris, Gallimard, 1927-1928. 2 volumes brochés in-12 de 249-[7] et 252-[4]pages.
Illustré de 3 et 4 cartes hors texte, imprimées sur papier couché. Éditions originales, les deux volumes sur vélin Lafuma.Navarre (795 et 276). Le "Voyage au Congo." est bien complet de son papillon d'errata de la justification. Naville, 194; 219.
Paris, Librairie Hachette et Cie, 1879. 2 volumes in-4 de [12]-496-[2] et [6]-544 pages, demi-chagrin brun, dos à nerfs.
Illustré de 150 gravures dont 80 en pleine page et 9 cartes en couleurs, dont 3 dépliantes et une volante, très grande (89 x 71 cm). "Carte de la moitié oriental de l'Afrique Équatoriale et des explorations par terre et par eau de Henry M. Stanley 1874-1877". Bon exemplaire de ce fameux voyage qui dura 999 jours et qui s'étendit sur 11'517 kilomètres: "explorations de l'Afrique équatoriale, qu'il traverse d'est en ouest en partant de Zanzibar en 1874. L’expédition, financée par le Daily Telegraph et le New York Herald, mobilise plus de 230 personnes, porteurs et soldats, et même un bateau de treize mètres en pièces détachées, le Lady Alice. Stanley part de Zanzibar le 17 novembre 1874. Il doit recruter d’autres compagnons en cours de route. Il gagne le lac Victoria par l'itinéraire de John Hanning Speke, et effectue la circumnavigation du lac. Il visite le Buganda, passe par le lac Albert découvert en 1864 par Samuel White Baker et Florence Baker, et explore la totalité des rives du lac Tanganyika du 11 juin au 31 juillet.Stanley rencontre Tippo Tip à Kasongo. Ensemble, ils montent une expédition forte de 400 hommes pour explorer l'Ouest. Ils quittent Nyangwe, le 5 novembre, et pénètrent dans la forêt équatoriale. Après cinquante jours, Tippo Tip renonce, mais Stanley continue vers l'ouest. Pour traverser ces régions, comme le bassin du Congo, où les échanges sont organisés selon les règles strictes du commerce par relais, Stanley doit forcer le passage à plusieurs reprises. Le 20 décembre, 150 personnes réparties sur 23 bateaux entament la descente du fleuve. Le 6 janvier 1877, ils sont bloqués par les chutes Boyoma, qu'ils mettent vingt jours à éviter. Le 1er février, au confluent avec l'Aruwimi, ils combattent contre les Basoko. Le 14 février, ils affrontent les Bangalas. Le 9 mars, ils atteignent le confluent avec le Kasaï, et Ntamo le 12 mars, future implantation de Léopoldville (Kinshasa).Les chutes Livingstone constituent le plus redoutable des obstacles : cinq mois sont nécessaires pour couvrir les quelques centaines de kilomètres qui les séparent de Boma, Alexandre Delcommune recueillant finalement une expédition décimée. Stanley est le dernier des quatre Européens encore vivants, et des 356 compagnons africains seulement 115 parviennent à la côte atlantique en août 1877.Malgré les difficultés, l'exploit est historique. Stanley décrit ce voyage extraordinaire dans un ouvrage publié en 1878, “À travers le continent mystérieux”. " (merci wiki). Dos légèrement passé, une coupe frottée; réparation ancienne à la grande carte sans manque.
Paris, Service Géographique de l'Armée, 1934. 638 x 994 mm.
Grande carte figurant la ligne du chemin de fer Congo-Océan, au sud du Congo, reliant Brazzaville à Pointe-Noire, sur l'océan Atlantique. Elle a été dessinée, héliogravée et imprimée par le Service Géographique de l'Armée à Paris en septembre 1934. La ligne de chemin de fer Congo-Océan, qui reliait Brazzaville à Pointe Noire, et par la même, les territoires situés à l'intérieur de l'A.E.F. avec l'Océan Atlantique, fut inaugurée le 10 juillet 1934, après 13 ans de travaux. La carte a été dressée pour cette occasion. La partie haute de la carte est occupée par un plan de la ville de Pointe-Noire, une carte du bassin fluvial du Congo, montrant également le Cameroun, la Guinée espagnole (devenue Guinée équatoriale en 1968), le Congo Belge, le Gabon et l'Oubangui-Chari (devenu République centrafricaine en 1960), et un plan de la ville de Brazzaville. La carte montre également les frontières, les marchés, les routes automobiles, les bacs, les chutes et rapides, les sites remarquables, les distances kilométriques, les hôtels et les stations essence. Le Congo français, ou Moyen-Congo, correspondant à l'actuelle République du Congo, était une colonie dépendant de l'Afrique-Équatoriale française, gouvernement général regroupant au sein d'une même fédération quatre colonies françaises d'Afrique centrale entre 1910 et 1958, et dont le chef-lieu était Brazzaville, où résidait le gouverneur général. En 1932, le gouverneur général de l'A.E.F. était Raphaël Antonetti. À cette même époque, l'actuelle République Démocratique du Congo (RDC), quant à elle, était la possession personnelle du roi des Belges Léopold II. La ville de Kinshasa, dans la région du même nom, est appelée Léopoldville. Bel exemplaire, replié. Deux petites déchirures à une pliure.
Courtrai, Ets Léon Beyaert-Sioen, [1951]. Lithographie en couleurs de 521 x 470 mm.
Belle carte du Congo Belge, nom porté par le territoire de l’actuelle République Démocratique du Congo (RDC) entre le 15 novembre 1908, fin de l’État indépendant du Congo, possession personnelle pendant 23 ans du roi des Belges Léopold II, et l’accession à l’indépendance congolaise, effective le 30 juin 1960. Elle a été dessinée par James Thiriar, et publiée en 1951. Cette carte était offerte par le chocolat Côte d'Or avec l'album Faunaflor-Congo, avec l'autorisation de l'Office de Renseignements et du Tourisme du Congo-Belge et du Ruanda-Urundi (Rwanda Burundi). Les éléments décoratifs sont de Pierre Margraf. Elle est ornée de vignettes montrant des personnages issus de différentes ethnies, avec leurs costumes et leurs parures caractéristiques, leurs instruments de musique, avec parfois quelques groupes comme celui du roi des Bakuba. Ces vignettes illustrent également la faune et la flore du Congo. Ainsi peut-on voir des girafes et un rhinocéros dans le Parc National de la Garamba, des éléphants cornaqués dans la station de domestication de Gangara (Gangala) Na Bodio, un okapi, des gorilles de montagne, les neiges de la chaîne du Ruwenzori, des volcans, un pélican, des hippopotames, des éléphants de savane ou de forêt, des lions, des léopards, des zèbres, ou encore des buffles. En bas à gauche figure une grande vignette montrant un guerrier tutsi, une femme Mangbetu, un Pygmée, mais aussi curieusement un personnage arabe. Les bordures sont décorées de 32 objets sculptés, comprenant des masques, des pendentifs et des statuettes. James Thiriar (1889-1965) fut un dessinateur, illustrateur, peintre et costumier belge, connu principalement pour ses dessins d'uniformes militaires. En 1932, il participa à la mission belge d'exploration du Ruwenzori, au cours de laquelle il peignit notamment des aquarelles et des gouaches illustrant la végétation du Congo et du Soudan, et rédigea un document sur la faune et la flore de cette région. En 1942, il dessina 232 illustrations incluses dans les trois volumes des Croquis Congolais du général Fernand Gendarme (Force publique du Congo Belge). Bon exemplaire, non entoilé. Petites déchirures dans les marges, pliures. Revue Belge de Géographie, Henri Nicolaï, Un guide colonial. Le Guide du Voyageur au Congo belge et au Ruanda-Urundi.
1885 Paris, Maurice Dreyfous, sans date (1885). Grand in4 (285 x 210 mm) percaline rouge ; dos lisse très orné avec auteur, grand titre sur fond bleu & éditeur dorés un peu passé ; 1er plat orné : encadrement de feuillages dorés,titre dorés usé. Tranches dorées. (Reliure d éditeur). Traduit de l anglais par Gérard Harry. Édition originale de la traduction. Ouvrage illustré de 120 gravures sur bois et de 4 cartes en couleur, dont une carte murale dressée par H. M. Stanley. 18-696p dont 97 d annexes. 1 portrait-frontispice de l auteur, sous serpente. 3 cartes hors texte sur beau papier dont 1 plusieurs fois repliée. Sans la carte murale in fine. Quelques rousseurs. cartonnage en état moyen,ors passés
Correspondant du New-York Herald qui le dépêcha d abord en Abyssinie, ce même journal enverra de nouveau Stanley en Afrique afin d y rechercher Livingstone, qu il rencontrera en 1871. De retour du Congo, Stanley fut approché par Léopold II, ci-devant Roi de Belgique. Celui-ci ayant pour ambition de doter la Belgique d un empire colonial. Introduction Historique (premières découvertes - la dernière expédition de Livingstone - l'expédition de 1876, etc) - les débuts de l'entreprise (retour du continent mystérieux en 1878 - formation du comité d'études du haut-Congo, etc .) - l'Association Internationale Africaine, en route pour le Congo (la station de Karema - la banqueroute des négociants hollandais au Congo - arrivée à l'embouchure du Congo, etc .) - la Pointe de Banana (le Congo - les factories - la vie aux tropiques - l'Ascencion du grand fleuve - sur le Congo, de Boma à Vivi - fondation de Vivi - de Vivi à Isangila - construction d'une route - la région des cataractes - manyanga - la fièvre à manyanga - une reconnaissance à Stanley-Pool - ...