S.l., 1783 in-12, 94 pp., demi-veau tabac, dos à nerfs orné, tranches marbrées (reliure à l'imitation).
Reference : 237580
Édition originale peu commune.L'ouvrage passe en revue les différents lieux de la capitale en y associant des anecdotes.Très curieux bois gravé sur la page de titre montrant un faune et un bouc s'affrontant.Mention manuscrite Bibliothèque de M. Victor Touché, vente du lundi 4 juin 1866. Ex-libris Pierre Kohl (cachet) et ex-libris à l'encre rouge sur la page de titre (cachet). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Librairie Historique Fabrice Teissèdre
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Paris, Le Normant [puis : ] Anthelme Boucher, avril 1818 - février 1822 3 vol. in-12, [2] ff. n. ch., 250 pp. ; [2] ff. n. ch., 244 pp. ; 227 pp., avec trois frontispices gravés (non signés), cartonnage d'attente de papier beige granité, étiquettes de titre aux dos (reliure de l'époque). Mouillures claires au début du vol. I., rousseurs.
Unique édition de ce charmant récit intermédiaire entre l'observation des moeurs et le roman de bonne société (les mésaventures d'une Madame de Flamigny). Joséphine de Wimpffen (1770-1823), nièce du général Georges-Louis-Félix de Wimpffen (1744-1814), fut une traductrice et femme de lettres un peu oubliée, mais qui mériterait une redécouverte."Pour bien connoître l'esprit et le génie français, il faut avoir vécu long-temps à Paris. On y est, sans contredit, plus Français qu'en province : les qualités et les défauts de la nation s'y montrent dans tout leur jour". Il semble que, dès le départ, tout soit dit ...Entre autres fortes paroles : "On pardonne à une femme d'être médiocre, même ennuyeuse ; mais on ne lui fait point grâce quand elle a l'audace de se montrer supérieure".Quérard VII, 461.Exemplaire du cabinet de lecture de G. Dufour (à Amsterdam), avec étiquettes contrecollées sur les contreplats.Ex-libris Yves-Louis Mongrolle. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
DENTU J.G.. 1818. In-12. Broché. Etat passable, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Intérieur frais. 244 pages augmentées d'un frontipsice (trace de mouillure au dos) - Pilures en coins - Mord fendus - Coiffe en pied abimées.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Couverture souple. 8 pages. 31 x 45 cm. Gravures en couleurs. Défraîchi. Réparé.
Périodique. Le Petit Journal Illustré, 3 mars 1907.
A Paris, Chez Desenne, 1792. Ten works bound in one volume. (2), 16 pp.; 30, 121, (1) pp.; 31, (1) pp.; 64 pp.; 16 pp.; 70 pp.; 240 pp.; 8 pp.; 7, (1) pp.; 61, (1) pp. 8vo. Contemporary half calf, corners, spine with raised bands, red label with gilt lettering reading 'Mémoire pour Louis XVI', corners somewhat bumped. First work: Not in Tourneux; not in Martin & Walter. Second work: Martin and Walter 29637.Original edition.The work by Roederer contains 'un important dossier de 38 pièces justificatives' (Martin & Walter) covering the last 121 pages. Third work: Martin & Walter 26720.Fourth work: Cf.: Martin & Walter 25706 (other issue).One of two issues from the year of original publication.Fifth work: Martin & Walter, Anonymes, 17358.Sixth work: Martin & Walter 16038.Original edition.Seventh work: Martin & Walter 11671.Original edition.Eighth work: Martin & Walter 22494 & Anonymes, 10990.Original edition.Also signed by Tronchet and De Sèze.Ninth work: Not in Martin & Walter.Tenth work: Martin & Walter 17543.Original issue, including a warning against counterfeit editions.- Interesting collection from the library of M.J.E. Faivre du Bouvot, with his bookplate.
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9 lettres autographes signées rédigées de 1883 à 1888, adressées à son ami Gustave Lévy. Les lettres avaient été montées sur onglet, et deux lettres sont restées contrecollées, sans respect de l'ordre chronologique : [ Lot de 9 lettres autographes signée ] 1 LAS datée de Cannes le 31 Janvier 1883 : "Tu serais bien gentil de demander pour moi, au fils de l'Amiral Garnand, l'autorisation qu'il m'a si gracieusement offerte, alors qu'il est venu me voir : la permission de visiter 'escadre du Golfe Juan, pour moi et quelques membres de ma famille. Si cela offrait quelques difficultés, dis-le moi franchement, ceci entre nous - et je m'adresserais à mon ami Miot [ ... ] ; 1 LAS datée de Cannes le 21 avril 1883 : [ ... ] "Je t'adresse un mot pour Garnand en te priant de le lui faire parvenir. Je voudrais aussi envoyer ma carte à la personne qui m'a présenté au Capitaine Michel [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris le 25 Février 1885 : [ ... ] Il y a environ dix-huit mois que je suis allé, avec mon ami Miot, à ton ministère où je t'ai vu pour savoir s'il y avait des petits canons de marine. Tu dois te souvenir de cela ? Il n'y en avait point. Aujourd'hui on m'affirme qu'il y en a. Je viens te demander le service de vérifier le fait et de m'en écrire un mot le plus tôt possible, car je suis bien pressé par mon tableau du salon prochain, qui tu le sais représente un débarquement. [... ] J'irai dîner demain au Cercle de la Presse. Tâche d'y venir tu verras Arban, Lami et d'autres ex-copains des malheureux anti-libéraux !!..." ; 1 LAS datée de Paris le 4 mars 1885 [ Il invite son correspondant à Sevran pour venir voir son tableau ] ; 1 LAS datée de Paris le 29 mars 1888 [ Il expose une sollicitation pour un jeune homme dont les parents sont d'Egreville en Seine-et-Marne ] "Nous travaillons ferme à une entreprise qui, si elle réussit, réunira à nouveau tous mes anciens camarades..." [... ] ; 1 LAS datée d'Egreville (Seine-et-Marne) le 27 juin 1888 : [ Il demande pour une famille d'un marin décédé sa montre, et sollicite pour un autre moisson un congé d'un mois "au moment des moissons, c'est-à-dire vers la fin de Juillet. Je sais que cela s'accorde car je viens de l'obtenir pour un soldat du 76e de ligne". Il invite son correspondant Gustave Lévy à Egreville où il pourra dormir "dans la chambre du Commandeur (Nicham !) qu'on te réservera" ] ; 1 LAS datée du Château d'Egreville le 16 septembre 1888 : [ Il le sollicite encore pour son soldat et continue : ] "Quand donc t'aboucheras-tu avec Edouard Philippe - dont j'ai à faire un petit portrait - pour venir me voir à Egreville" [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris, le 4 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, Comment je ne t'aurai pas répondu pour te remercier du dernier service, que je t'avais demandé et que tu m'avais fait obtenir ? Comment ? Eh ! bien je t'avoue franchement que je suis un cochon. Toutefois, il faut avoir un peu d'indulgence, et me pardonner : je t'ai tellement écrit pour te réclamer quelque chose que, ma foi, j'ai cru sincèrement t'avoir écrit pour te remercier. Puis mon intention très-ferme était d'aller te serrer la main aussitôt mon retour à Paris, mais Patatra ! Voilà environ trois semaines que je suis arrivé et je n'ai pas eu une heure à moi. Je suis rentré dans la fournaise, et j'ai repris ma sale existence vertigineuse de la Capitale. [ Il l'invite à dîner au Cercle de la Presse pour rencontrer ses vieux copains Philippe, Lami, Arban, etc... ] ; 1 LAS du 13 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, c'est encore moi. Tu sais mon protégé le soldat-marsouin Chevrillon, celui pour lequel je t'ai si bien remercié... Eh bien ce pauvre diable qui vient d'avoir la fièvre typhoïde ainsi qu'on t'en avait informé n'est pas encore bien chic [ Il sollicite pour un lui un renouvellement de congé. Il a regretté de ne pas le voir au Cercle de la Presse avec Arban, Lami et Crémieux. ] "Nous avons énormement causé de toi avec de Marçai, chez Bloch" [ il évoque l'Amiral Besnard "lequele entre parenthèses ne m'a pas l'air d'être fort commode" qu'il a également sollicité indirectement en vain... ]
Photographe, peintre, graveur et illustrateur, Etienne Berne-Bellecour (1838-1910) se spécialisa dans la peinture militaire et notamment de marine. Il évoque dans cette correspondance un tableau de débarquement de marine, probablement le sujet vendu en 2011 chez Artcurial : "Débarquement de troupes de Marine Française dans des chaloupes" daté de 1885 (à moins qu'il ne s'agisse là que d'un travail préparatoire). Prix du lot, non séparable