‎JULLIEN (Marc-Antoine).‎
‎Convention nationale. Adresse lue au nom des Jacobins de Paris,. à la barre de la Convention nationale, dans la séance du 27 Floréal ; réponse du président de la Convention [Carnot] ; discours prononcé par le citoyen Couthon, représentant du peuple ; imprimés, envoyés aux communes, sociétés populaires & armées de la République, par ordre de la Convention nationale. ‎

‎Paris, Imprimerie nationale du Louvre, an II, in-8, 8 pp., broché sous couverture moderne de papier bleu imprimé. ‎

Reference : 236824

‎Discussions autour de l'Ètre Suprême amenant les trois intervenants à sanctionner avec force l'athéisme : l'Être Suprême, les moeurs et la vertus y sont exaltés avec la même force que dans une réunion de pieuses bigotes. Mais il faut bien dire que "l'immoralité profonde d'un grand nombre des hommes qui avoient paru sur la scène politique, a fixé vos regards, & la morale publique a été vengée par vous. Les ambitieux, les intrigans, les êtres fangeux, que nourrissoit le crime, ont disparu : la probité, la justice & toutes les vertus ont été mises à l'ordre du jour". On respire.Martin et Walter, 17 636. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎