Au Palais-Royal, s.n. [puis :] Blanchon, 1791 50 livraisons en 2 vol. in-8, 128 pp., pp. 177-288, pp. 129-173, pp. 289-400 ; 400 pp., avec un frontispice gravé (Dernière séance du club des Cordeliers), demi-basane fauve, dos lisses cloisonnés et fleuronnés, pièces de titre et de tomaison cerise et bouteille, tranches rouges (reliure de l'époque). Cahier Y du premier volume se présentant en feuilles (pp. 337-348, sans les pp. 349-352), manifestement ajouté au volume qui ne le comprenait pas au départ.
Reference : 235651
Collection qui rassemble les 50 premiers numéros (sur 76 parus) de ce féroce périodique contre-révolutionnaire, qui paraissait deux fois par semaine et satirisait sans pitié le club des Jacobins et ses adhérents. Il est devenu des plus rares.En raison d'erreurs de composition, le premier volume se présente dans un ordre un peu chaotique : on a successivement les numéros I-VIII, puis XII-XVIII, puis IX-XI, et enfin XIX-XXV.Cette féroce satire des moeurs politiques des Jacobins n'a pas dû valoir que des amis au poète François Marchant (1761-1793) ; on ignore si sa mort prématurée en décembre 1793 dans sa ville natale de Cambrai fut la conséquence de ses imprudences littéraires, car peu de choses sont connues du personnage, en-dehors de ses textes qui n'en font pas un thuriféraire des idées nouvelles et de leurs sectateurs. Deschiens, p. 241. Hatin, p. 216. Tourneux, II, 11420. Martin et Walter, Journaux, 1306.Vignette ex-libris armoriée de la Bibliothèque du Palais, gravée par Agry. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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1792 Paris, Au Bureau des Sabats Jacobites, 1791-1792, iv-187-16 p., broché sous papier d'époque (en attente de reliure), environ 21x14cm, complet des 12 gravures, couverture en mauvais état, intérieur propre.
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Paris, Bureau des Sabats Jacobites, 1792. In 8°, IV dont le titre + 187 p., verso «Fautes à corriger» + 12 (curieuses) gravures sur cuivre, brochure d'attente muette, usée (mouillures pâles).
"Illustré de 12 figures, une pour chaque chant. ""L'auteur vécut dans la misère et mourut dans l'oubli, n'ayant pas même réussi, malgré le succès des ses satires, à acquérir assez d'importance pour être persécuté"" (Hoefer). [Barbier, II/975 ; Monglond II/492/493]. Relié avec : Discours de M. Pethion à la commune et réponse de la commune à M. Pethion. Paris, 1791, (In fine), De l'Imprimerie de Jacobe, Rue Saint-Jacpue (sic), 16 pp. ""Le 14 novembre 1791, Pethion fut élu maire de Paris, ... dans tout le cours de son administration, qui dura une année, Pethion exerça la plus désastreuse influence sur l'esprit public et sur les événements dont, en 1792, Paris fut le théâtre"" (Hoefer). Monglond."
Paris, Bureau des Sabats Jacobites, 1792, in-8°, IV dont le titre + 187 p., verso ‘Fautes a corriger’ + 12 (curieuses) gravures sur cuivre, coin déchiré sans perte de texte à la p. 87, non rogné, étiquette ‘Bibliothèque du Clergé’ (Séminaire de Fribourg), sur titre, brochure d'attente muette, usée.
Illustré de 12 figures, une pour chaque chant. “L'auteur vécut dans la misère et mourut dans l'oubli, n'ayant pas même reussi, malgré le succès des ses satires, à acquérir assez d'importance pour être persécuté” (Hoefer).Barbier II/975; Monglond II/492/493. Relié avec:Discours de M. Péthion a la commune et réponse de la commune a M. Péthion. Paris, 1791, (In fine:) De L'Imprimerie de jacobe Rue saint jacpue (sic), 16 p. “Le 14 novembre 1791 Pethion fut élu maire de Paris, ... dans tout le cours de son administration, qui dura une année, Petion exerça la plus désastreuse influence sur l'esprit public et sur les événements dont, en 1792, Paris fut le théâtre” (Hoefer). Monglond -.
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Paris, au bureau des Sabats jacobins, 1792 in-8, iv pp., 188 pp., avec 12 planches hors texte, basane fauve racinée, dos lisse orné d'ondulés, de guirlandes, pointillés, et fleurons dorés, pièce de titre briqu, encadrement de pointillé, simple filet et guirlande dorés sur les plats, simple filet doré sur les coupes, tranches jaunes (reliure de l'époque). Usures aux coiffes, un mors supérieur fendu, coins usés.
L'auteur avait déjà proposé une Jacobiniane, ou Le Délire et l'agonie des Jacobins, poëme héroïco-comique en quatre chants, dont notre texte semble le dévelopemment beaucoup plus large en 12 chants. Cette féroce satire des moeurs politiques des Jacobins n'a pas dû valoir que des amis au poète François Marchant (1761-1793) ; on ignore si sa mort prématurée en décembre 1793 dans sa ville natale de Cambrai fut la conséquence de ses imprudences littéraires, car peu de choses sont connues du personnage, en-dehors de ses textes qui n'en font pas un thuriféraire des idées nouvelles et de leurs sectateurs.Chaque chant est illustré d'une saisissante gravure à thème révolutionnaire non signée, le plus souvent caricatural.Cioranescu, XVIII, 42467. Martin & Walter, 22 980.Relié à la suite : [MARCHANT :] Discours de M. Péthion à la Commune, et réponse de la Commune à M. Péthion. Paris, 1791, 16 pp. Autre pièce satirique, mi en prose, mi en vers dirigée contre Pétion. Cioranescu, XVIII, 42457. Martin & Walter, 22 977.Vignette ex-libris d'un notaire de Saint-Quentin portant le chiffre JLD. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT