Paris, à l'établissement lithographique du comte de Lasteyrie, 1820 - 1821 19 livraisons en 2 vol. in-4, [3] ff. n. ch. (titre avec vignette lithographiée, table des planches, légende des planches I & II), puis pagination multiple, avec 80 planches lithographiées ; [2] ff. n. ch. (titre avec vignette lithographiée, table des planches), puis pagination multiple, avec 83 planches lithographiées, soit un total de 163 planches (sur 200), en feuilles, sous 19 chemises de livraison de papier bleu imprimé, dans portefeuille cartonné avec traces de lacets.
Reference : 234182
Édition originale (une seconde parut en 1823-1824). Les deux éditions étaient parues sous forme de livraisons.L'ouvrage réunit les deux domaines où s'illustra particulièrement le comte Charles-Philibert de Lasteyrie du Saillant (1759-1849) : l'agronomie et la lithographie (il fut l'un de ses premiers introducteurs en France).Quérard IV, 596. Brunet III, 868 (ne cite que la seconde édition de 200 planches).ON JOINT : le prospectus du second volume (un feuillet in-4 volant). Celui du premier volume se trouve imprimé sur la dernière couverture de la première livraison. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Arthus-Bertrand, 1823 - 1824 2 vol. in-4, titre avec vignette lithographiée, 92 pp. de texte sur deux colonnes, avec 113 planches lithographiées ; titre, 105 pp. de texte sur deux colonnes, un f. n. ch. de placement des gravures, avec 97 planches lithographiées, cartonnage Bradel d'attente de papier marbré, dos ornés de filets dorés, pièces de titre et de tomaison fauve. Coiffes frottées, coins abîmés, volume I déboîté, manque en tête du dos du second volume, rousseurs.
Seconde édition (la première est de 1820-21), complète de ses 210 planches lithographiées. Les deux éditions étaient parues sous forme de livraisons.Les divisions sont les suivantes : constructions rurales (20 planches) ; haies et clôtures (20 planches) ; machines de transport (22 planches) ; bêches, houes et pics (10 planches) ; charrues (10 planches) ; herses et plateaux (6 planches) ; faux et fourches (3 planches) ; machines (14 planches) ; irrigations (16 planches réparties 8 et 8 sur les deux volumes) ; cultures diverses (9 planches) ; récoltes (8 planches) ; fabrication du vin (11 planches) ; animaux (9 planches, avec mauvais placement des planches 3 et 7) ; laitage (9 planches) ; volaille (2 planches) ; abeilles (2 planches) ; poissons, insectes (une planche) ; jardinage (14 planches) ; économie domestique (11 planches) ; fourneau de cuisine (3 planches) ; origine des instrumens d'agriculture (10 planches).L'ouvrage réunit les deux domaines où s'illustra particulièrement le comte Charles-Philibert de Lasteyrie du Saillant (1759-1849) : l'agronomie et la lithographie (il fut l'un de ses premiers introducteurs en France).Quérard IV, 596. Brunet III, 868 (ces deux bibliographies indiquent 200 planches, parce qu'ils ne comptent pas celles de la dernière section).Exemplaire de la bibliothèque de Laussat, avec vignette ex-libris héraldique gravée par Ollivault, contrecollée sur les premières gardes. Il s'agit du baron Pierre-Lysis de Laussat (1795-1884), ancien député des basses-Pyrénées (en 1848 et 1849), et membre de la Société des Bibliophiles du Béarn. À noter la devise en langue régionale "he plaa, diout'ayud". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, à l'établissement lithographique du comte de Lasteyrie, 1820-1821 ; 2 vol. in-4, reliure postérieure demi-basane fauve, dos à nerfs, pièces rouges
Rare premier tirage des 201 belles planches lithographiques du comte de Lasteyrie, offrant une mine de renseignements sur les machines agricoles, les outils de culture, de récolte et d'élevage, l'irrigation, la fabrication du vin, etc. C'est la première publication ayant recours à la lithographie pour diffuser des modèles d'instruments et de constructions agricoles. Chaque planche est accompagnée de feuillets d'explications. Le comte de Lasteyrie (1759-1849) avait fait plusieurs séjours en Bavière afin d'étudier le nouveau procédé de reproduction d'Aloys Senefelder. À son retour en 1816, il ouvrit la première imprimerie lithographique française. Bel exemplaire.- Le papier, à l'exception de quelques rares piqûres et décharges, est resté très frais. Épidermures au dos de la reliure. Brunet, III, 868 ne cite que la seconde édition.