Paris, Ambroise Bray, 1854 in-8, [2] ff. n. ch., 394 pp., un f. n. ch. d'errata, demi-basane verte, dos lisse orné de pointillés et filets dorés, coins en vélin vert (reliure de l'époque). Léger accroc en coiffe supérieure, rousseurs.
Reference : 230245
Unique édition. Le magistrat qu'est Delahaye examine la question du point de vue de l'insertion de la liberté des cultes dans le droit public des différents États (mais en fait, surtout de la France). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Librairie Historique Fabrice Teissèdre
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Nouvelle librairie nationale. 1913. In-12. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos très frotté, Rousseurs. 256 pages.Note et tampon sur la page de garde. Couverture partiellement désolidarisée. Vendu en l'état. Rousseurs, tâches et micro déchirures sur les plats0.. . . . Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise
"Les droits de l'église dans la société - Les papes et la contre-révolution - L'encyclique ""Quanta Cura"" - Le syllabus - Le naturalisme contemporain - La réorganisation nationale - La liberté des cultes - La liberté d'enseignement - La liberté de la presse / 2e mille . Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise"
A Paris, Chez Henry Servier, Libraire, (de l’imprimerie de Crapelet), 1826, gr. in-8°, XIX (+ 1) + 340 p., reliure en d.-toile d’époque.
Première édition. Alexandre Rodolphe Vinet (17 juin 1797 à Lausanne - 4 mai 1847 à Clarens) est un théologien, philosophe, journaliste, critique littéraire et historien suisse.Comme théologien Vinet donne une impulsion nouvelle à la théologie protestante, particulièrement dans les pays francophones, mais aussi en Angleterre et ailleurs. Lord Acton le compare à Richard Rothe. Sa philosophie s’appuie d'abord sur la conscience, définie comme ce qui permet à l'homme de rester dans une relation personnelle directe avec Dieu ; c'est elle qui régit la morale et rien ni personne n'a le droit d'attenter à la conscience de l'individu. Il préconise une liberté complète en matière de croyance religieuse et donc la séparation officielle entre l'Église et l'État, idéologie qu'il défend dans Mémoire en faveur de la liberté des cultes (1826) (Wickipédia). Geschichte des Pietismus in den Schweiz. reformierten Kirchen S. 436 ff.
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Paris, Dupont de Nemours, Maret, an III (1795) in-8, [2]-35 pp., en feuilles.
Très important rapport sur la liberté des cultes, dont le décret annexé (3 ventôse an III - 21 févrer 1795) allait déboucher sur le premier régime de séparation des Eglises et de l'Etat de notre histoire. Ses trois premiers articles, repris finalement dans leur esprit par la loi de 1905, en définissent la philosophie, et leur portée dépasse largement les circonstances qui les firent promulguer (l'inextricable conflit entre réfractaires et constitutionnels pour le clergé catholique) : "I. L'exercice d'aucun culte ne peut être troublé. - II. La République n'en salarie aucun. - III. Elle ne fournit aucun local, ni pour l'exercice du culte, ni pour le logement des ministres."Dans le rapport préliminaire, Boissy d'Anglas s'était livré à une critique assez pertinente de la politique religieuse de la Constituante : "Au lieu de détruire, elle voulut créer ; organiser au lieu d'abolir. Elle ordonna pour la religion un établissement pompeux et dispendieux, presque aussi vaste que celui qu'elle avait détruit". - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
5 OPUSCULES DIVERS reunis en un volume IN8 demi chagrin,dos trés orné ,bel exemplaire,rare reunion :De la liberté des cultes en France- Paris : Michel Lévy frères, 1858.47 pages ; 23 cm suivi de Quelques réflexions sur notre situation intérieure ; Paris : Michel Lévy fréres, 1864.16p.suivi de -Les élections de 1863. Paris, M. Lévy, 1863.47p.suivi de Deux lettres sur la réforme du Code pénal, adressée au Journal des débats par M. Prévost-Paradol.Paris : Michel-Lévy frères, 1862.30 p.suivi de DU GOUVERNEMENT PARLEMENTAIRE : le decret du 24 novembre.-Paris : Michel-Lévy frères, 1860.47 p.
Prévost-Paradol s'était présenté aux élections à Périgueux ; il fut battu en raison de ses opinions libérales. Fils illégitime de Léon Halévy et d'une actrice, très tôt orphelin, Prévost-Paradol entre en 1849 à l'Ecole normale supérieure. Bien qu'il se soit imposé comme le meilleur élève de sa promotion, il quitte l'École, fait des travaux de librairie, rédige rapidement une thèse, puis est nommé à la faculté des lettres d'Aix-en-Provence, récemment créée. Mais, attiré par Paris et par le journalisme, il entre au Journal des débats en 1856. Son art de l'allusion, sa fausse candeur, sa perfidie maîtrisée en font ici encore «le premier de sa volée». Plus audacieux dans Le Courrier du dimanche, il est le porte-parole du libéralisme et l'un des plus dangereux ennemis de l'Empire: raison de plus pour que l'Académie française l'appelle à elle en 1865. En 1868, la parution de La France nouvelle, qui est la somme de sa pensée politique, est un événement. Il est deux fois candidat malheureux au Corps législatif en 1863 et en 1869. En 1870, Prévost-Paradol se rallie au régime qu'il avait combattu et il est nommé ministre plénipotentiaire à Washington. Il se suicide à peine arrivé à son poste, pour des raisons politiques (il redoute la guerre dont il juge le régime responsable) autant que personnelles (les attaques sans merci dont il a été l'objet lors de son ralliement ont achevé de miner sa confiance en lui-même). Prévost-Paradol a été plus qu'un journaliste de premier plan, plus que le «secrétaire des anciens partis» dont a parlé Sainte-Beuve.
L'EN DEHORS. 1934. In-Folio. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 65 à 80 + VIII pages / - Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux
BI-MENSUEL - PARIS-ORLEANS - L'EN DEHORS, ORGANE D'EDUCATION, DE REALISATION, DE CAMARADERIE INDIVIDUALISTE ANARCHISTE // NOTA : E. Armand (1922-1939) L'En-dehors, 1937.Le second journal L'En-dehors parait en 1922 sous la direction d'E. Armand (nom de plume d'Ernest Juin). La publication est bi-mensuelle. E. Armand y prône la liberté individuelle tant pour le règlement d'affaires entre individus que dans le domaine des libertés sexuelles. Collaborent à ce journal des personnalités variées comme Eugène Bizeau, Madeleine Pelletier, Han Ryner. La publication de l'En-Dehors cesse en octobre 1939. E. Armand publiera après la guerre un autre périodique : L'Unique. // NOTA : E. Armand (et non Émile) (né le 26 mars 1872 dans le 11e arrondissement de Paris - mort le 19 février 1962 à Rouen) est le pseudonyme de Lucien-Ernest Juin, un militant libertaire individualiste, antimilitariste et défenseur acharné de la liberté sexuelle.Animateur des revues L’En-dehors (1922-1939) et L'Unique (1945-1956), Armand est issu d’un milieu anticlérical, son père avait participé à la Commune de Paris (1871). Après avoir milité à l’Armée du salut, il entre en contact vers 1896 avec le milieu communiste libertaire. Il collabore alors avec divers journaux anarchistes, dont Le Libertaire de Sébastien Faure. Dès 1900, il s’oriente de plus en plus vers l’individualisme, il fréquente entre autres les « causeries libertaires » de Libertad et Paraf-Javal. Il lance de nombreux journaux individualistes et il publie également de nombreux ouvrages, tant littéraires que théoriques. Il est certainement l’un des principaux théoriciens de l’anarchisme individualiste. Classification Dewey : 70.1-Journaux