Paris, Pagnerre [Imprimerie de Schneider et Langrand], 1840 in-18, 110 pp., broché sous couverture imprimée. Important manque de papier à la seconde couverture. Rousseurs.
Reference : 229622
Édition originale. Il s'agit d'un tour d'horizon de la politique tant extérieure (sujet peu abordé chez La Mennais) qu'intérieure, au moment de la crise de 1840, qui faillit opposer la France au reste de l'Europe.Duine, 48 (donne 128 pp., ce qui ne se comprend qu'en comptabilisant les pages d'annonce de Pagnerre, absentes de notre exemplaire). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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1 vol. in-18 reliure demi-percaline rose, Pagnerre, 1840, 110 pp. et 1. ; Bibliothèque Nationale, Bureaux de la Publication, 1868, 191 pp. ; 1869, 127 pp. ; 1870, 190 pp.
Bon état (rouss.). Ce recueil de 4 titres contient l'édition originale de la brochure "Le Pays et le Gouvernement" qui parut en 1840 et valut à Lamennais de très violentes attaques et un procès.
Paris, Pagnerre, Editeur, 1838-1847, 8 textes reliés en un volume in-8 de 215x135 mm environ, 112-135-96-123-112 (avec 5 planches hors-texte)-239-119-208 pages, demi-reliure cuir grenat, titres dorés sur dos lisse, gardes marbrées. quelques frottements d'usage, bon état.
Élias Regnault (1801-1868) Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
PARIS, Librairie d'Adrien Le Clere, 1860 - In-12 - Broché - 367 pages - couverture salie, Mais très frais intérieurement - Exemplaire non coupé - bon exemplaire
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Date d'édition : 1753 Sujet : Gouvernement de -- Sud Guyenne, Pays du Condomois, Pays du Chalosse, Pays de Soule, Pays du Labourd, Pays de Armagnac, Forêt des Landes, Pays de Comminges, Pays de Bigorre,Pays du Couserans,Pays de Navarre, Gouvernement du Béarn, 53x70 cm (20,8x27,5 in) Présente ici sous verre ancien décadre pour le transport si nécessaire Date of Edition: 1753 Subject: Government of -- South Guyenne, Country of Condomois, Country of Chalosse, Country of Soule, Country of Labourd, Country of Armagnac, Forest of the Landes, Country of Comminges, Country of Bigorre, Country of Couserans, Country of Navarre, Government of the Béarn, 53x70 cm (20,8x27,5 in) Present here under an ancient glass casing that can be taken off for transport if necessary. Fecha de edición: 1753 Sujeto: Gobierno de -- Sur guyenne, Países del Condomois, País del chalosse, País de soule, País del labourd, País de armagnac, Bosque de Landes, País de comminges, País de bigorre, País del couserans, País de Navarre, Gobierno del béarn, 53x70 cm (20,8x27,5 in) Enmarcado bajo vidrio antiguo. Este se puede quitar para el transporte si es necesario.
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".