Paris, A. Maloine, 1923 in-8, XIII pp., avec 2 planches de fac-similés à double page, broché.
Reference : 208275
Jeune Créole à une époque où cette qualité suffisait à tourner les têtes masculines, Julie-Françoise Bouchaud des Hérettes (1782-1817) avait prosaïquement épousé le physicien Jacques Charles, de presque 40 ans son aîné, et ce mariage la fit petit à petit mourir de consomption, version tellement plus romantique de la phtisie galopante ; heureusement que Lamartine la choisit comme égérie, ce qui la sauva de l'oubli (le poème Le Lac lui est dédié). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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1 fasc. in-8 br., chez A.Maloine & fils, éditeurs, M.CM.XXIII ( 1923 ), XII pp. et fac-similé de manuscrits
Bon état pour cette petite analyse du séjour à Gand, avec la cour du Roi Louis XVIII, de Julie Françoise Charles, née Bouchaud des Hérettes (1784-1817). Celle-ci était la véritable Elvire évoquée par le poète Lamarine, c'est-à-dire le grand amour de sa vie (en 1816-1817), qui lui inspirera sa phrase célèbre : "On retrouve tout entière dans un homme la première femme qu'il a aimée" (in: Raphaël, pages de la vingtième année, chap. LIX)
A Paris, Chez A. Maloine et Fils, 1923, plaquette agrafée format 253x165mm, XIII pages + 2 fac-similé, envoi de l'auteur, exemplaire en bon état.