Paris, Henri Plon, 1867 2 volumes in-8, [4]-XXVIII-498 et [4]-599 pp., avec un tirage argentique d'un tableau contrecollé en guise de frontispice, manque la gravure, brochés.
Reference : 197206
Il s'agit de la seconde édition de cette correspondance qui avait connu une première publication partielle en 1841, chez Coquebert. Marie-Jeanne Phlipon fit en 1765, lors de son placement en institution, la connaissance des deux soeurs amiénoises Sophie et Henriette Cannet, avec lesquelles elle resta intimement liée après sa sortie, et entretint une correspondance suivie de 1772 à 1780. C'est par l'intermédiaire de Sophie, devenue Madame Dragon de Gomicourt, qu'elle rencontra un ami des deux soeurs, Jean-Marie Roland de La Platière (en 1776) ; comme l'on sait, il tomba sous le charme et l'épousa en 1780.Martin & Walter, 29790. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Plon, 1867; 2 vol. in-8, [5]-XXVIII-498 pp., portrait en frontispice, et 599 pp., 1 pl., demi-cartonnage papier vert, tranches marbrées (reliure amateur modeste). Charnières internes fendues.
Jeanne-Marie Roland de la Platière (1754-1793), dite "Madame Roland", tenait un salon rue Guenegaud à Paris qui attira de nombreux hommes politiques tels que Robespierre, Brissot, Buzot, Condorcet... Elle influenca le mouvement Girondin mais eut du mal, en tant que femme, à pénétrer le milieu politique. Cependant, elle exerça une veritable emprise morale sur son mari, ministre de l'intérieur de Louis XVI, qui suivait ses conseils. Elle fut guillotinée sous le chef d'accusation de sympathie royaliste et conspiration, en réalité elle fut executée comme membre du parti Brissotin. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Plon, 1867 2 vol. in-8, [5]-XXVIII-498 pp., portrait en frontispice, et 599 pp., 1 pl., broché.
Jeanne-Marie Roland de la Platière (1754-1793), dite "Madame Roland", tenait un salon rue Guenegaud à Paris qui attira de nombreux hommes politiques tels que Robespierre, Brissot, Buzot, Condorcet... Elle influença le mouvement Girondin mais eut du mal, en tant que femme, à pénétrer le milieu politique. Cependant, elle exerça une véritable emprise morale sur son mari, ministre de l'intérieur de Louis XVI, qui suivait ses conseils. Elle fut guillotinée sous le chef d'accusation de sympathie royaliste et conspiration, en réalité elle fut exécutée comme membre du parti Brissotin. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT