A Aurillac, De l'Imprimerie de Viallanes, s.d. (1792) in-8, 12 pp.
Reference : 184470
Martin et Walter, 29487. Discours de la séance du 13 novembre 1792, par Robert, fondateur du Mercure national en 1789. "Assez et trop longtemps, les rois ont jugé les nations ; le jour est venu, où les nations jugeront les rois (...)." - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Imprimerie nationale, s.d. in-8, 15 pp., dérelié.
Maire de Grenoble en 1791 et député de l'Isère à la Convention, Prunelle rédige ici un projet de décret visant à réunir 83 membres de la Convention pour remplir les fonctions d'accusateur national. Ceux-ci seront nommés par chaque département à la majorité absolue. Ils choisiront ensuite parmi eux "un juré de jugement" dont l'avis sera transmis à la Convention, au nom du peuple.Martin & Walter, IV, 28331. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Douai, Imprimerie de Marlier, s.d. (1792) placard grand in-folio de 96 x 40 cm, texte sur quatre colonnes.
Les diverses opinions des conventionnels sur le procès du Roi n'ont pas seulement fait l'objet de publications sous forme de fascicules in-8, comme on les rencontre généralement, mais aussi de grands placards in-folio.Maire de Grenoble en 1791 et député de l'Isère à la Convention, Léonard-Joseph Prunelle de Lière (1748-1828) rédige ici un projet de décret visant à réunir 83 membres de la Convention pour remplir les fonctions d'accusateur national. Ceux-ci seront nommés par chaque département à la majorité absolue. Ils choisiront ensuite parmi eux "un juré de jugement" dont l'avis sera transmis à la Convention, au nom du peuple.Martin & Walter, 28 331. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Douai, Imprimerie de Marlier, s.d. (1792) placard grand in-folio de 90 x 39 cm, texte sur trois colonnes.
Les diverses opinions des conventionnels sur le procès du Roi n'ont pas seulement fait l'objet de publications sous forme de fascicules in-8, comme on les rencontre généralement, mais aussi de grands placards in-folio.Jacques-Marie Rouzet (1743-1820), député de la Haute-Garonne à la Convention, vota en faveur de l'appel au peuple et de la réclusion. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
[De l'Imprimerie Nationale] - PAYNE, Thomas ; [ PAINE, Thomas ]
Reference : 27257
(1792)
Opinion de Thomas Payne, Député du Département de la Somme, concernant le Jugement de Louis XVI, Précédée de sa lettre d'envoi au Président de la Convention [ Suivi de : ] Convention Nationale, Opinion de Thomas Payne, sur l'Affaire de Louis Capet, adressée au Président de la Convention Nationale, Imprimée par ordre de la Convention Nationale, 2 brochures in-8, sans couv., De l'Imprimerie Nationale, Paris, 1792 et s.d., 8 et 10 pp.
Bon état. Très rare réunion de ces deux plaquettes rédigée par Thomas Paine, dans lesquelles il expose son opinion. "Je pense qu'il faut faire le procès à Louis XVI, non que cet avis me soit suggéré par un esprit de vengeance, car rien n'est plus éloigné de mon caractère ; mais parce que cette mesure me semble juste, légitime & conforme à la saine politique". ... "Dans la cause particulière, soumise en ce moment à notre délibération, je fais à la Conventiuon nationale les propositions suivantes : premièrement, que la Convention nationale prononce le bannissement de Louis Capet & de sa famille ; secondement, que Louis Capet soit tenu en prison jusqu'à la la fin de la guerre, & qu'à cette époque la sentence du bannissement soit soumise à exécution". Martin & Walter, 26330 et 26331
Douai, Imprimerie de Mablier, s.d. (1792) placard grand in-folio de 94 x 44 cm, texte sur trois colonnes, en feuilles, avec raccords.
Publication sous forme d'affiche de la première opinion de Grégoire dans la question du procès de Louis XVI. Rappelons deux faits importants : 1. Il s'agissait dans ce premier vote de déterminer si le Roi pouvait être jugé par la Convention Nationale (Grégoire répond affirmativement, en continuité avec sa doctrine précédente), et pas de la question de la peine à appliquer après le procès (ce sera l'objet du vote du 13 janvier 1793), même si le député fait un développement relativement ambigu sur la question à la fin de son intervention ("Et moi aussi, je réprouve la peine de mort ; &, je l'espère, ce reste de barbarie, disparoîtra de nos lois. Il suffit à la société que le coupable ne puisse plus nuire : assimilé en tout aux autres criminels, Louis Capet partagera le bienfait de la loi, si vous abrogez la peine de mort ; vous le condamnerez alors à l'existence, afin que l'horreur de ses forfaits l'assiège sans cesse, & le poursuive dans le silence de sa solitude ... Mais le repentir est-il fait pour des rois ?").2. Grégoire était encore présent à la Convention lorsqu'il prononça cet avis, ce qui ne sera pas le cas lors du second vote : il se trouvera alors en mission en Savoie pour organiser le rattachement de la province à la France, et communiquera son opinion par écrit depuis Chambéry dans des termes effectivement très ambigus, qui peuvent être interprétés soit comme un reste de clémence, soit comme une approbation du régicide. Bien évidemment, il sera obligé de réécrire cette histoire pendant la période post-révolutionnaire, notamment dans la rédaction de ses Mémoires en 1808.Martin & Walter, 15 568 (pour l'opuscule in-8). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT