Aix, Joseph David, 1783 in-4, 202-67 pp., demi-veau brun, dos à nerfs orné de filets, chaînettes et fleurons dorés, pièce de titre cerise (reliure moderne). Bon exemplaire.
Reference : 179461
Il s'agit de l'une des pièces du procès qui opposa Mirabeau à sa femme, née Emilie de Covet de Marignane (1752-1800), laquelle demandait depuis 1782 la séparation de corps, et fut défendue par Portalis Père. Malgré son talent, Mirabeau qui plaidait dans sa propre cause, perdit de façon assez spectaculaire, au grand bonheur des curieux de l'époque (ce fut le premier procès privé à défrayer la chronique extérieure). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Sur l'imprimé à Aix. A Avignon, de l'Imprimerie des libraires associés, 1783, 2 volumes, 10 X 16 cm., reliés, 205-34-65-122-84 ; 427 pages. Très rare contrefaçon avignonnaise, parue la même année que l'originale à Aix. Pleins veaux marbrés, dos lisse orné, décor sur les coupes et tranches teintées. Deux coiffes abîmées, coins émoussés et quelques épidermures. Teinte des feuillets inégale, peu de rousseurs.
Le premier volume contient "Mémoire à consulter et consultation pour madame la comtesse de Mirabeau" - "Requête de madame de Mirabeau à nosseigneurs du parlement" - "Requête du comte de Mirabeau à nosseigneurs du parlement" - "Observations pour le comte de Mirabeau" - "Plaidoyer par le comte de Mirabeau". Dans le deuxième volume, se trouvent "Observations du comte de Mirabeau", signé par Honoré-Gabriel de Riqueti, comte de Mirabeau, fils, et Jaubert, avocat, et "Consultation pour le comte de Mirabeau" signé : Jaubert. Ouvrages retraçant la demande en séparation de corps de la comtesse de Mirabeau lors d'un procès retentissant dans lequel son époux défend sa propre cause.
Aix, Joseph David, 1783 in-4, 202 pp., demi-basane brique à coins, dos à nerfs fleuronné, pièce de titre havane (reliure moderne).
Il s'agit de l'une des pièces du procès qui opposa Mirabeau à sa femme, née Emilie de Covet de Marignane (1752-1800), laquelle demandait depuis 1782 la séparation de corps, et fut défendue par Portalis Père. Malgré son talent, Mirabeau qui plaidait dans sa propre cause, perdit de façon assez spectaculaire, au grand bonheur des curieux de l'époque (ce fut le premier procès privé à défrayer la chronique extérieure).RELIÉ À LA SUITE : [JAUBERT :] Consultation. Aix, André Adibert, 1783, 67 pp. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Aix et Avignon, sans nom, 1783. In-4 de 202-66 pages, cartonnage d’attente, dos abîmé, non-rogné, 1 f. déboîté.
Suivi d’une consultation (incomplète). Edition originale.
A Avignon, De l'Imprimerie des Libraires Associés, 1783 in-12, 202-67 pp., basane fauve, dos à nerfs orné, tranches rouges (reliure de l'époque). Usures aux coiffes et aux coins.
Nouvelle édition in-12 publiée la même année que la première édition imprimée à Aix.Il s'agit de l'une des pièces du procès qui opposa Mirabeau à sa femme, née Emilie de Covet de Marignane (1752-1800), laquelle demandait depuis 1782 la séparation de corps, et fut défendue par Portalis Père. Malgré son talent, Mirabeau qui plaidait dans sa propre cause, perdit de façon assez spectaculaire, au grand bonheur des curieux de l'époque (ce fut le premier procès privé à défrayer la chronique extérieure). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT