Paris, Delloye, 1840 gr. in-8, VII-524 pp., demi-chagrin rouge, dos à nerfs orné de fleurons dorés, filets d'encadrement à froid sur les plats (reliure de l'époque). Qqs rousseurs et mouillures.
Reference : 175447
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Exemplaire en maroquin rouge de l’époque. A Paris, chez Vente et Patas, 1775. In-4 de xii pp. y compris le titre gravé, pp. 1 à 92, (2) ff., pp. 95 à 147, (18) ff., 91 pp., (1) p., 9 tableaux sur double-page, 39 planches de costumes à pleine page, 1 grand plan dépliant, 1 planche d’armoiries dépliante, qq. discrètes brunissures sans gravité. Maroquin rouge, triple filet doré encadrant les plats, dos à nerfs orné de fleurons dorés, filets dorés sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure de l'époque. 251 x 183 mm.
Édition originale et premier tirage du Sacre de Louis XVI. Exemplaire du tirage de luxe, de format in-4, sur grand papier de Hollande. L’abondante illustration se compose d'un titre gravé, d'un frontispice, d'un grand plan de Reims (470x335mm) avec, en médaillon, les portraits de Clovis et Louis XVI, le baptême de Clovis et le Sacre du Roy Louis XVI, de 9 tableaux sur-double page dans des encadrements armoriés, 250 x193mm, représentant les différentes phases de la Cérémonie : - Levé du Roy. - Le Roy allant à l'Église. - L'arrivée de la Sainte Ampoule. - Le Roi prosterné devant l'Autel. - La Cérémonie des onctions. - Le Couronnement du Roy. - Le Roi mené au Throne. - La cérémonie des offrandes. - Le Festin Royal, d’une planche d'armoiries, de 39 très jolies gravures illustrant les « Différens Habillemens pour le sacre de Louis XVI », 195 x 120 mm, et de 14 vignettes en tête (122 x 85 mm). Le sacre de Louis XVI a été très souvent représenté, davantage que celui de Charles X, en particulier dans l’ouvrage, commandé pour l’occasion, Sacre et couronnement de Louis XVI, de Patas, et dans le livre de Nicolas Gobet, Sacre et couronnement de Louis XVI à Rheims. Ces deux livres sont accompagnés d’une étude historique sur les sacres des rois de France, dont la documentation avait été réunie par l’abbé Pichon, historiographe de Monsieur et chantre en dignité de la Sainte-Chapelle du Mans, auteur du Journal Historique, et d’une quinzaine d’illustrations par Desrais et Patas, qui ont été également produites à part, indice de leur succès public. La plus célèbre des gravures représentant le jeune couple royal au milieu de ses sujets. La première partie de l’ouvrage est consacrée à une présentation chronologique de l’avènement au trône des rois de France de Clovis à Louis XVI suivi de «Recherches sur quelques évènements de l’Histoire de France de 482 à 1774». Exemplaire en séduisant maroquin rouge du temps de l’un des principaux livres de fêtes du règne de Louis XVI.
Reference : LCS-16337
Précieux exemplaire imprimé sur satin par Didot l’aîné. Paris, de l’Imprimerie de Didot l’Ainé, 1789. Placard in-folio imprimé sur satin. Le discours est surmonté d’une frise composée d’un quadrillage orné de petites fleurs, avec en son centre un médaillon orné des armoiries royales. De chaque côté, le discours est encadré par une colonne de fleurs surmontée du portrait de Louis XVI à gauche et de Marie-Antoinette à droite. Deux petits accrocs. Conservé dans un cadre ancien doré. 525 x 385 mm.
Tirage non cité, imprimé sur satin par Didot l’aîné, alors que le tirage normal sur papier sortait des presses de l’Imprimerie royale. Face à une situation politique et financière catastrophique, Louis XVI se voit contraint de convoquer les Etats généraux, cette assemblée des trois ordres – noblesse, clergé et Tiers Etat –, qui seuls peuvent décider la levée de nouveaux impôts et engager la réforme du pays. Leur ouverture, le 5 mai 1789 à Versailles, marque celle de la Révolution Française. Le 4 mai 1789, a lieu à Versailles la dernière grande cérémonie d’Ancien Régime : la procession des Etats Généraux. Le 5 mai, commence la séance solennelle d’ouverture. Convoqués depuis le 5 juillet 1788, les Etats Généraux n’ont pas été réunis depuis 1614 ! Une salle provisoire à colonnes a été érigée derrière les Menus Plaisirs de l’avenue de Paris. Contrairement à la gravure célèbre, la salle est minuscule. Le roi, entouré de la reine et des princes du sang, trône au fond de la salle sous un dais majestueux. Les députés siègent autour sur plusieurs rangs. Ceux du Tiers Etat y donneront naissance en juin, avec quelques-uns du clergé, à la première Assemblée nationale. Louis XVI ouvre la séance par un discours dans lequel il rappelle les circonstances qui l’ont conduit à cette convocation et ce qu’il attend des Etats Généraux. En roi pacifique, il se déclare « le premier ami de ses peuples ». Certes, le Roi abordera dans son discours les problèmes économiques que le pays traverse, mais s’abstiendra d’évoquer les réformes politiques attendues sur le vote des députés. Mécontent de ce piètre discours sans ambition de réformes, et conscient des attentes du pays, le Tiers Etat prendra les choses en main. La Révolution est en marche… « Quand Louis XVI arriva au centre de l’estrade, dans la Salle des Menus-Plaisirs, des Acclamations le saluèrent, mais pas un cri ne fut poussé en l’honneur de la Reine qu’on crut voir pleurer. Debout et découvert, le Roi adressa aux députés ce bref discours […] qui témoigne des sentiments dont Louis XVI était animé. […] Ferme, prudent et généreux langage ! On en attendait un autre et ce fut une déception pour beaucoup ! Sagement, le roi avait mis les députés en garde contre les nouveautés. Il avait parlé de finances – c’était la préoccupation la plus actuelle – il avait parlé autorité – c’était, bien qu’ils s’en défendissent, le plus grand besoin des esprits.» (F. Patat, Le Calvaire de Louis XVI). « M. d’Estaing a fait présent à chacun des membres de l’assemblée générale de la commune de Paris, d’un exemplaire du discours prononcé par le roi à l’assemblée nationale le 5 Mai, imprimé superbement, sur du satin, et orné des portraits du roi et de la reine. On lit autour du premier, ce vers de M. de la Harpe : ‘Père de ses sujets, il en est le modèle.’ Autour de celui de la reine, cet autre vers : ‘Une sage au rang suprême a trouvé tout en elle. » (J.-P.-L.- de Luchet, Mémoires pour servir à l’histoire de l’année 1789, p. 283). Aristocrate et militaire français, le Comte d’Estaing (1729–1794) servira son pays pendant les guerres de Succession d’Autriche, la campagne dans l’Océan Indien et de l‘autre côté de l’Atlantique. Après une carrière sur le terrain aux résultats en demi-teinte, il est nommé en 1789 commandant de la garde nationale de Versailles où il jouera un rôle équivoque. Précieux exemplaire, imprimé sur satin, du discours historique prononce par le Roi à la veille de la Révolution Française.
Edition originale du livre le plus réputé du Docteur Pierre-Toussaint Navier (1712‑1779), médecin du roi Louis XVI. Paris, Veuve Méquignon et Didot le Jeune, 1777.2 tomes en 2 volumes in-12 de : I/ xxv pp., (1) p. d’errata, 30 pp., 360 pp.; II/ xxi pp., (1) p. d’errata, 389 pp. Plein maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, grandes armoiries dorées au centre, dos lisses ornés, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées sur marbrures. Infime accroc à une coiffe. Reliure de l’époque.168 x 96 mm.
Edition originale du livre le plus réputé du Docteur Pierre-Toussaint Navier (1712‑1779), médecin du roi Louis XVI. « Cet ouvrage, puisé dans la chimie la plus profonde, et le fruit de plus de trente années d’étude, jouit encore d’une estime méritée ; il a été traduit en allemand par C.-E. Weigel, Greifswald ». (C. T-Y).Pierre-Toussaint Navier, né à St-Dizier le 1er novembre 1712, fut reçu docteur en médecine à Reims en 1741. Il choisit Châlons-sur-Marne pour le lieu de sa résidence, et mérita bientôt le titre de correspondant de l’Académie royale des sciences, par un Mémoire contenant la découverte de l’éther nitreux. Depuis ce temps chaque année de sa vie fut marquée par de nouveaux mémoires ou dissertations, que l’on trouve insérés dans les Recueils de l’Académie des sciences, de l’académie de Châlons, et dans la Gazette de médecine. Toujours animé de l’amour du bien public et du désir de contribuer au progrès des sciences et des arts, il entreprit de les fixer parmi ses nouveaux concitoyens, en formant, avec Dupré d’Ornay et d’autres, le projet d’une société littéraire qui commença ses séances en 1753, et qui fut érigée, au mois d’août 1775, en académie des sciences, arts et belles-lettres. Louis xvi lui donna en 1779 une pension. « Lorsque M. Navier fit paroître son ‘Traité des contre-poisons’, il était déjà connu comme chimiste et l'Académie royale des sciences l’avoit inscrit an nombre de ses correspondans. Il avait présenté à cette Compagnie, en 1741 un procédé pour la préparation d’une espèce d’éther jusqu’alors inconnue, qu'il obtint en mêlant et en agitant de l'esprit de vin avec de l'acide nitreux. Cette découverte, qui est consignée dans tous les livres de chimie aurait seule transmis son nom à la postérité, quand même cette science ne lui aurait pas eu d’autres obligations. Un fait nouveau est un pas de plus vers la vérité et cette route, qui conduit à une célébrité durable, étoit la seule qui fût digne des vœux du savant que nous avons perdu. Jamais il n’a fatigué la voix de la renommée, qui fait quelquefois succéder un silence éternel à des faveurs d'un moment. Ce médecin a plutôt éprouvé un sort contraire. Longtemps ignoré, il n'avoit ni rivaux, ni admirateurs. Ses recherches ayant enfin fixé l'attention du public, on accorda, sans prévention comme sans enthousiasme, des applaudissemens à ses travaux ; mais sa réputation ne fut jamais égale à ses talens, parce qu'il s'étoit reposé sur les autres du soin de les faire connoître, et qu'il ne savoit peut‑être pas lui-même ce qu'ils valoient.M. Navier ne s'est pas contenté d'avoir obtenu une nouvelle espèce d'éther. Ayant employé dans cette préparation différentes solutions métalliques nitreuses, il a observé que plusieurs de ces substances lui restoient unies, et il a indiqué celles qui se sont refusées à cette combinaison. Ces expériences ont été jugées très favorablement par l’Académie royale des sciences.Elle a rendu la même justice à deux mémoires du même auteur sur différens moyens de dissoudre le mercure par l’acide végétal et par quelques sels neutres, et sur une nouvelle méthode de le rendre soluble dans l'eau sans le secours d'aucune espèce d'acide, avec des réflexions sur les avantages que la médecine peut retirer de ces préparations.Ayant mis en usage la méthode indiquée par Homberg, et pratiquée par Boërrhaave, pour réduire le mercure en une poudre fine par le seul secours du mouvement longtemps continué ; M. Navier est parvenu à le rendre soluble dans l’acide végétal. Le sel ammoniac et le sel acéteux mercuriel, dont il a publié les procédés, sont surtout très utiles dans la pratique de la médecine. L’un est plus doux que la panacée ; l'autre à moins d’activité que les sels de la même nature préparés avec les acides minéraux. Lorsque M. Navier commença ses belles expériences, leur composition était tenue secrète par les sieurs Keyser et Mollée, qui les vendoient à leur profit. M. Navier en les faisant connoître, rendit un double service ; il dévoila, par la même opération, deux des plus importans mystères de l'empirisme, et il offrit à la médecine deux moyens de guérison qui lui manquoient.La réunion du fer et du mercure a été longtemps l'objet des vœux de plusieurs chimistes. M. Navier l’a obtenue par dix procédés différens, qui se réduisent à mêler ensemble une dissolution de fer et une dissolution de mercure, faites l'une et l'autre par le vinaigre on par l'acide vitriolique. Le précipité salin, composé de ces deux substances métalliques, parait sous la forme d’une neige cristalline brillante, et semblable, quant à l'extérieur, au sel sédatif.Une autre découverte de cet académicien est la dissolution du mercure dans le foie de soufre, que personne n’avoit tentée avant lui, et qui lui a fourni un remède fondant très utile dans le traitement des maladies scrophuleuses et de plusieurs maladies cutanées.Ces expériences, exposées dans l'ouvrage présenté ici même, sont accompagnées d'un grand nombre, de circonstances nouvelles d'observations fines, de détails intéressans, qui annoncent dans leur auteur ce tact et ce coup d'œil que la nature semble ne donner qu'à ceux auxquels elle veut bien révéler quelques-uns de ses secrets. »L’Abbé Rozier, Observations sur la physique sur l’histoire naturelle et sur les arts, 1783, p.15.Précieux exemplaire de l’auteur portant sur chacun des volumes la signature autographe du docteur Navier, offert à la reine Marie-Antoinette et revêtu d’une reliure de luxe en maroquin rouge de l’époque orné de ses grandes armoiries. Ernest Quentin Bauchart nous confirme que la reine Marie-Antoinette possédait, à côté des livres du Petit Trianon, une bibliothèque importante qu’elle avait fait installer au château des Tuilerie.Les livres de la reine, en grande partie reliés par Blaizot sont, pour la plupart, uniformément revêtus de maroquin rouge, aux armes de France et d’Autriche accolées, avec de simples filets sur les plats.Les ouvrages de moindre importance qui garnissaient les armoires du petit Trianon sont restés, en grande partie, à Versailles. Ils sont modestement reliés en veau porphyre, granité de points noirs sur un fond rouge sombre.
Paris, s.n.l., Imprimerie de Froullé, se trouve cher. les Libraires du ci- devant Palais- 1793 In-8 20 x 12 cm. Reliure de l’époque veau havane, dos lisse oenés de fers dorés, pièce de titre maroquin fauve, 51-14-70-45-71-8-7-45 pp. Accrocs en tête et en pied de dos.
Cazalès, Jacques-Antoine-Marie de. Défense de Louis XVI, discussion de toutes les charges connues à l'époque du 14 juillet. [S. l., 1792 ou 1793] - Mazon, Louis. Aux juges de Louis XVI, un véritable ami du peuple et de l'humanité. (Paris,) : impr. de Froullé, (s. d.) - Guillaume, Louis-Marie. Projet de défense pour Louis XVI. Par M. Guillaume, ex-Constituant et avoué près le tribunal de cassation.[Paris.] Se trouve chez les Libraires du ci-devant Palais-Royal [1792] - Seze, Raymond de. Convention nationale. Défense de Louis, prononcée à la barre de la Convention nationale, le mercredi 26 décembre 1792, l'an premier de la République, par le citoyen Deseze, l'un de ses défenseurs officieux ; imprimée par ordre de la Convention nationale. A Paris, de l'Imprimerie nationale. 1792 - Convention nationale. Appels nominaux faits dans les séances des 15 & 19 janvier 1793, l'an 2e de la République, sur ces trois questions : 1°. Louis Capet est-il coupable de conspiration contre la liberté publique, & d'attentats contre la sûreté générale de l'État ? 2°. Le jugement de la Convention nationale contre Louis Capet sera-t-il soumis à la ratification du peuple ? 3°. Y aura-t-il un sursis, oui ou non, à l'exécution du décret qui condamne Louis Capet ? Imprimés par ordre de la Convention nationale. À Paris, de l’Imprimerie nationale, 1793 - Convention nationale. Malesherbes (Christien-Guillaume de Lamoignon de), François Denis Tronchet et Raymond de Sèze. Observations des défenseurs de Louis sur une imputation particulière qui lui a été faite dans la Convention. [Paris], de l’Imprimerie nationale, [1792] - Marignié, Pétition de grâce et de clémence pour Louis XVI, dont la lecture m'a été refusée à la séance du dimanche 20 du présent mois de janvier 1793, malgré tous les efforts que j'ai faits pour l'obtenir, et dont je rends un compte exact dans l'avertissement qui suit...à Paris, chez tous les marchands de nouveautés, 1793 - Louis XVI. Testament de Louis XVI, écrit par lui-même, lu dans la séance de la Commune le 21 janvier 1793. Paris : Imprimerie de la République, (s. d.) - Marignié, Jean-étienne-François. Pétition de grâce et de clémence pour Louis XVI, dont la lecture m'a été refusée à la séance du dimanche 20 du présent mois de janvier 1793, malgré tous les efforts que j'ai faits pour l'obtenir, et dont je rends un compte exact dans l'avertissement qui suit. Marigné ["sic"]. à Paris : chez tous les marchands de nouveautés, 1793. Bon état d’occasion
Paris, Imprimerie nationale, 1792 - 1793 304 pièces en 5 forts vol. in-8, demi-toile gaufrée noire, dos lisses ornés de filets à froid (reliure du XIXe siècle). Des mouillures claires sur quelques pièces.
Très important recueil d'amateur réunissant essentiellement les opinions émises par les conventionnels sur le procès de Louis XVI, selon un genre qui a été très utilisé au XIXe siècle, malgré le caractère répétitif des textes. Seul le dernier volume regroupe les pièces officielles du procès.Chaque volume est précédé d'une table manuscrite des pièces qu'il renferme. La partie la plus importante regroupe évidemment les opinions des députés sur la mise en jugement, la culpabilité du Roi et sur la peine à infliger ; elles ont été heureusement disposées dans l'ordre alphabétique (plus ou moins strict), et dotées d'un numéro d'ordre (qui correspond à la personne et ne tient pas compte du nombre de ses avis). Dans la liste suivante, nous plaçons entre crochets le département du conventionnel, et la collation de son avis.I. Opinions des conventionnels sur le jugement de Louis XVI. Réunit les opinions de Barthélémy Albouys [Lot, 7 pp. et 13 pp.], François-Paul-Nicolas Anthoine [Moselle, 12 pp.], Eustache Asselin [Somme, 3 pp., 3 pp.], P.-J. Audouin [Seine-et-Oise, 15 pp.], Michel Azema [Aude, 30 pp.], Pierre Baille [Bouches-du-Rhône, 3 pp.], L. Bailly [Seine-et-Oise, 13 pp.], Charles-André Balland [Vosges, 4 pp., 7 pp.], Henry Bancal [Puy-de-Dôme, 32 pp.], Jean-François Barailon [Creuse, 16 pp.], Charles Barbaroux [Bouches-du-Rhône, 8 pp.], Bertrand Barère de Vieuzac [Hautes-Pyrénées, 46 pp.], P.-C.-L. Baudin [Ardennes, 7 pp. et 15 pp.], Marc-Antoine Baudot [Saône-et-Loire, 18 pp.], Moïse Bayle [Bouches-du-Rhône, 8 pp.], C.-N. Beauvais [Paris, 8 pp. et 4 pp.], Louis-Étienne Beffroy [Aisne, 7 pp.], Joseph Becker [Moselle, 8 pp.], Bellegarde [Charente, 7 pp.], Bergoeing [Gironde, 8 pp.], Théophile Berlier [Côte-d'Or, 15 pp.], L. Bernard [Aveyron, 8 pp.], Charles-Ambroise Bertrand [Orne, 7 pp.], Bertucat [Saône-et-Loire, 7 pp.], Alexandre Besson [Doubs, 2 pp.], François-Simon Bezard [Oise, 11 pp. et 2 pp.], Jean-Baptiste Biroteau [Pyrénées-Orientales, 15 pp. et 4 pp.], Blutel [Seine-Inférieure, 4 pp.), Jean-Baptiste Bo [Aveyron, 4 pp.], Bodin [Indre & Loire, 7 pp.], Jacques Boilleau [Yonne, 27 pp., et 4 pp.], Boisset [Drôme, 3 pp.], Bordas [Haute-Vienne, 7 pp.], Gabriel Bouquier [Dordogne, 3 pp.], Pierre Bourbotte [Yonne, 10 pp.], Léonard Bourdon [Loiret, 19 pp. et 10 pp.], Siméon-Jacques-Henri Bonnesoeur-Bourginière [Manche, 14 pp.], Bousquet [Gers, 3 pp.], Boussion [Lot-et-Garonne, 8 pp.], Jacques-Pierre Brissot [Eure-et-Loir, 19 pp.], Brival [Corrèze, 7 pp.], Brunel [Hérault, 7 pp.], François Buzot [Eure, 12 pp.], Cadroy [Landes, 7 pp.], Jean-Marie Calès [Haute-Garonne, 6 pp.], Jean-Jacques-Régis Cambacérès [Hérault, 8 pp.], Armand-Gaston Camus [Haute-Loire, 15 pp.], Cappin [Gers, 8 pp.], Carra [Saône-et-Loire, 12 pp. et 4 pp.), Casenave [Basses-Pyrénées, 3 pp.], J. Cassanyes [Pyrénées-Orientales, 4 pp.], Charles-Antoine Chasset [Rhône-et-Loire, 2 pp.], Jean-Baptiste Cavaignac [Lot, 4 pp. et 14 pp.], Étienne Chaillon [Loire-Inférieure, 3 pp.], Marie-Joseph Chénier [Seine-et-Oise, 4 pp.], Étienne Cledel [Lot, 10 pp.], Anacharsis Cloots [Oise, 10 pp.], Nicolas de Condorcet [Aisne, 30 pp. et 4 pp.], Antoine Conte [Basses-Pyrénées, 8 pp. et 8 pp.], Vincent-Claude Corbel [Morbihan, 2 pp.], François Couhey [Vosges, 4 pp.], Georges Couthon [Puy-de-Dôme, 14 pp.], J.-A. Creuzé-Latouche [Vienne, 2 pp.), Jacques Dandenac [Mayenne & Loire = Maine-et-Loire, 4 pp.].II. Opinions des conventionnels sur le jugement de Louis XVI. Réunit les opinions de Boissy d'Anglas [Ardèche, 3 pp.], Pierre-Arnaud Dartigoyte [Landes, 4 pp. et 10 pp.], P.-C.-F. Daunou [Pas-de-Calais, 10 pp. et 16 pp.], Jean Debourges [Creuse, 2 pp.], Jean Debry [Aisne, 8 pp. et 8 pp.], Delamarre [Oise, 2 pp.], Charles Lambert [Côte-d'Or, 7 pp.], Joseph-Étienne Delcher [Haute-Loire, 10 pp.], Alexandre Deleyre [Gironde, 12 pp. et 14 pp.], Desacy [Haute-Garonne, 11 pp.], Bernard Descamps [Gers, 39 pp.], Camille Desmoulins [Paris, 9 pp.], L.-A. Devérité [Somme, 16 pp.], Drouet [Marne, 6 pp.], Duboë [Orne, 8 pp.], Dubignon [Ille-et-Vilaine, 6 pp.], Dubois-Crancé [Ardennes, 8 pp.], G.-S. Duchastel [Deux-Sèvres, 12 pp.], Roger Ducos [Landes, 8 pp.], Jean-François Ducos [Gironde, 3 pp.], Dugué-d'Assé [Orne, 3 pp.], J.-A. Dulaure [Puy-de-Dôme, 8 pp.], Dufriche-Valazé [Orne, 10 pp.], André Dumont [Somme, 6 pp.], L.-Ph. Dumont [Calvados, 4 pp.], Pierre-Charles-François Dupont [Hautes-Pyrénées, 6 pp.], Durand-Maillane [Bouches-du-Rhône, 3 pp. et 8 pp.], J. Dusaulx [Paris, 2 pp.], Engerrand [Manche, 6 pp.], Enlart [Pas-de-Calais, 7 pp.], Fabre de l'Hérault [8 pp.], Balthazard Fabre [Haute-Loire, 3 pp.], J.-P.-M. Fayau [Vendée, 11 pp.], P.-J.-D.-G. Faure [Seine-Inférieure, 7 pp. et 8 pp.], Jean Féraud [Hautes-Pyrénées, 18 pp.), Ferroux [Jura, 11 pp.], Joseph Fouché [Loire-Inférieure, 8 pp.], Fourmy [Orne, 7 pp.], François Gamon [Ardèche, 2 pp.], F.-C.-P. Garilhe [Ardèche, 3 pp.], Garnier [Charente-Inférieure, 12 pp.], Gaston [Ariège, 2 pp.], Gaudin [Vendée, 6 pp.], Armand Gensonné [Gironde, 19 pp.], Antoine Girard [Aude, 7 pp. et 3 pp.], Girault [Côtes-du-Nord, 6 pp.], Claude Glaizal [Ardèche, 8 pp.], M.-E. Guadet [Gironde, 48 pp.], Amand-Benoît-Joseph Guffroy [Pas-de-Calais, 11 pp.], Claude-Nicolas Guillermin [Saône-et-Loire, 26 pp.], Florent Guiot [Côte-d'Or, 7 pp.], Joseph Guiter [Pyrénées-Orientales, 6 pp. et 7 pp.], Pierre Guyomar [Côtes-du-Nord, 12 pp.], L.-B. Guyton [Côte-d'Or, 27 pp.], Jean-Baptiste Harmand [Meuse, 11 pp. et 2 pp.], Nicolas Hentz [Moselle, 8 pp. et 12 pp.].III. Opinions des conventionnels sur le jugement de Louis XVI. Réunit les opinions de Pierre-Louis Ichon [Gers, 6 pp. et 8 pp.), Jary [Loire-Inférieure], Jean Julien [Haute-Garonne, 11 pp.], Jouenne-Longchamp [Calvados, 3 pp.), Jean-Baptiste Jourdan [Nièvre, 8 pp.], Marc-Antoine Jullien [Drôme, 4 pp.], J.-F.-Auguste Izoard [Hautes-Alpes, 7 pp.], A.-Guy Kersaint [Seine-et-Oise, 10 pp. et 20 pp.], Jean-Baptiste Laboissière [Lot, 2 pp. et 7 pp.], J.-P. Lacombe-Saint-Michel [Tarn, 4 pp.], Jean-Baptiste Lacoste [Cantal, 10 pp.], Lakanal [Ariège, 6 pp.], Charles Lambert [Côte-d'Or, 4 pp. et 3 pp.], Lanjuinais [Ille-et-Vilaine, 14 pp.], Jacques-Léonard de La Planche [Nièvre, 4 p.], Herbès Latour [Basses-Alpes, 2 pp.], Lavicomterie [Paris, 4 pp. et 6 pp.], Lebreton [Ille-et-Vilaine, 3 pp.], Jean-Baptiste Le Carpentier [Manche, 3 pp. et 11 pp.], Jean-Baptiste Leclerc [Maine & Loire, 15 pp.], Cl.-N. Leclerc [Loir-et-Cher, 3 pp.], Lecointe-Puyraveau [Deux-Sèvres, 7 pp. et 22 pp.], Denis Lemaréchal [Eure, 4 pp.], L-M. Lepeletier [Yonne, 23 pp., manquent les pp. 13-16], Laurent Lecointre [Seine & Oise, 4 pp.], S.-P. Lejeune [Indre, 16 pp.], Lequinio [Morbihan, 11 pp. et 6 pp.], B. Lesterpt-Beauvais [Haute-Vienne, 2 pp.], Louis Louchet [Aveyron, 12 pp., et 12 pp.], de Jean-Baptiste Louvet [Loiret, 18 pp.], Pierre-Florent Louvet [Somme, 8 pp., et 4 pp.), P.-A. Lozeau [Charente-Inférieure, 44 pp.], Pierre Manuel [Paris, 7 pp.], Marat [Paris, 22 pp.], Pierre Marec [Finistère, 16 pp.], Nicolas-Joseph Marey [Côte-d'Or, 8 pp.], Jean-Baptiste Massieu [Oise, 3 pp.], CL-L. Masuyer [Saône-et-Loire, 6 pp.], Maure [Yonne, 3 pp.], Julien-Bernard-Dorothée Mazade [Haute-Garonne, 4 pp. et 3 pp.], Jean-Nicolas Méaulle [Loire-Inférieure, 11 pp. et 16 pp.], F. Mellinet [Loire-Inférieure, 10 pp.], Mennesson [Ardennes, 8 pp. et 6 pp.], Philippe-Antoine Merlin de Douai [Nord, 4 pp.], Merlin de Thionville [Moselle, 3 pp.], F. Meynard [Dordogne, 20 pp. et 27 pp.], Michet [Rhône-et-Loire, 7 pp.], Jean-Baptiste Milhaud [Cantal, 4 pp.], Mollevaut [Meurthe, 7 pp.], Joseph Monmayou [Lot, 4 pp.], François-Agnès Montgilbert [Saône & Loire, 24 pp.], Marie-François Moreau [Saône & Loire, 6 pp.], Morisson [Vendée, 10 pp. et 8 pp.], Étienne Neveu [Basses-Pyrénées, 6 pp.], Pierre-Claude Nioche [Indre & Loire, 10 pp., 2 pp. et 14 pp.).IV. Opinions des conventionnels sur le jugement de Louis XVI. Réunit les opinions de Charles-François Oudot [Côte-d'Or, 3 pp.], Paganel [Lot & Garonne, 12 pp.], N.-M. Quinette [Aisne, 8 pp.], Thomas Paine [Pas-de-Calais, 10 pp.], Silvain Ppéin [Indre, 6 pp.], Jean-Baptiste Personne [Pas-de-Calais, 3 pp.], Joseph Pemartin [Basses-Pyrénées, 6 pp. et 2 pp.], Jean-Augustin Pénières [Corrèze, 3 pp.], Pétion [Eure-et-Loir, 19 pp.], Mihcel-Edme Petit [Aisne, 10 pp. et 14 pp.], Claude-Lazare Petit-Jean [Allier, 7 pp.], J. Pinet [Dordogne12 pp.], Noël Pointe [Rhône et Loire, 6 pp. et 4 pp.], Philippe-Laurent Pons [Meuse, 2 pp.], Porcher-Lissaunay [Indre, 3 pp.], Louis Portiez [Oise, 6 pp.], Joseph-Clément Poullain-Grandprey [Vosges, 4 pp. et 6 pp.], François Poultier [Nord, 4 pp. et 10 pp.], Pressavin [Rhône-et-Loire, 10 pp.], P.-L. Prieur [Marne, 15 pp.], Claude-Charles Prost [Jura, 4 pp. et 8 pp.], Léonard-Joseph Prunelle [Isère, 15 pp. et 8 pp.], N.-M. Quinette [Aisne, 4 pp.], Jean-Paul Rabaut [Aube, 11 pp.], Just Rameau [Côte-d'Or, 10 pp.], Ramel [Aude, 7 pp.], Louis-Marie Réveillère-Lepaux [Mayenne & Loire, 10 pp. et 15 pp.], C.-A.-B. Reynaud [Haute-Loire, 4 pp.], Ribet [Manche, 4 pp.], Ricord [Var, 8 pp. et 8 pp.], F.-J. Riffard-Saint-Martin [Ardèche, 16 pp.], Augustin Robespierre [Paris, 6 pp.], Maximilien Robespierre [Paris, 12 pp. et 20 pp.], Roussel [Meuse, 14 pp], Rouzet [Haute-Garonne, 11 pp. et 7 pp.], D. Roy [Seine & Oise, 6 pp.], Claude-Antoine Rudel [Puy-de-Dôme, 6 pp.], Salle [Meurthe, 16 pp. et 6 pp.], Gabriel-René-Louis Salmon [Sarthe, 3 pp.], Jean-Bon Saint-André [Lot, 15 pp. et 16 pp.], Saint-Martin [Ardèche, 3 pp.], Saint-Just [Aisne, 14 pp.], Second [Aveyron, 32 pp.], P.-C.-F. Seguin [Doubs, 3 pp.], Joseph Serre [Hautes-Alpes, 10 pp. et 12 pp.], Sergent [Paris, 20 pp. et 3 pp.], Joseph Sevestre [Ille-et-Vilaine, 4 pp.], Jean-Baptiste Soulignac [Haute-Vienne, 3 pp.], J.-L. Tallien [Seine & Oise, 2 pp.], A.-C. Thibaudeau [Vienne, 6 pp. et 15 pp.], Didier Thirion [Moselle, 4 pp.], J.-J. Thomas [Paris, 11 pp. et 4 pp.], Thibault [Cantal, 6 pp.], Thuriot [Marne], 7 pp;), Ch.-N. Tocquot [Meuse, 4 pp.], Louis Turreau [Yonne, 6 pp.], Vadier [Ariège, 10 pp.], Antoine-Hubert Wandelaincourt [Haute-Marne, 2 pp.], Louis-Alexandre-Jacques Vardon [Calvados, 3 pp.], Vergniaud [Gironde, 16 pp.], Théodore Vernier [Jura, 6 pp.], Jacques-Joseph Viennet [Hérault, 6 pp], Viquy [Seine & Marne, 2 pp.].V. 1. DUFRICHE-VALAZÉ (Charles-Élisabeth) : Rapport fait à la Convention nationale, au nom de la commission extraordinaire des vingt-quatre, le 6 novembre 1792, sur les crimes du ci-devant Roi, dont les preuves ont été trouvées dans les papiers recueillis par le comité de surveillance de la Commune de Paris. Premier rapport sur les crimes de Louis Capet. Le Mans, Imprimerie de Monnoyer, 1792, 28 pp. Martin et Walter, 33079. - 2. MAILHE (Jean) : Rapport et projet de décret, présentés à la Convention nationale, au nom du Comité de législation, le 7 novembre 1792 [sur la capacité du Roi à être jugé]. Le Mans, Imprimerie de Monnoyer, 1792, 27 pp. Selon le projet de décret, le roi peut être jugé par la Convention.Trois commissaires pris dans l'Assemblée seront chargés de recueillir toutes les pièces et preuves relatives aux délits imputés à Louis XVI. Les pièces collationnées seront remises au roi et à ses avocats. Martin & Walter, 22416. - 3. LINDET (Robert) : Rapport qui a précédé l'acte énonciatif des crimes de Louis Capet ; lu à la Convention nationale, au nom de la commission des vingt-un, le 10 décembre 1792. Paris, Imprimerie nationale, 1793, 22 pp. La brochure comprend la liste des vingt-et-un conventionnels chargés de rédiger l'acte énonciatif des crimes imputés à Louis XVI. Avocat, député de l'Eure à la Convention, Lindet vota la mort du roi sans appel, contrairement à la position des Girondins. Dans cette brochure, et avant la lecture de l'acte d'accusation, Robert Lindet fait un rapide exposé de la conduite de Louis XVI depuis le début de la Révolution. Martin & Walter, 21574. - 4. Procès-verbal de la Convention nationale. Séance du mardi 11 décembre 1792. [Paris], Imprimerie nationale, s.d. [1792], 27 pp. - 5. Inventaire des pièces recueillies par la commission des vingt-un, concernant les crimes de Louis Capet ; & procès-verbaux de la remise qui lui a été faite au Temple des copies des mêmes pièces, & de la communication qui lui a été donnée des originaux de celles insérées au deuxième et troisième inventaires. [Paris], Imprimerie nationale, s.d. [1792], 26 pp., 210 pp. (mal chiffrées 110), 2 pp. - 6. Troisième recueil. Pièces imprimées d'après le décret de la Convention nationale, du 5 décembre 1792 ; déposées à la Commission extraordinaire des douze, établie pour le dépouillement des papiers trouvés dans l'armoire de fer au Château des Tuileries, & cotés par le ministre de l'intérieur, & les secrétaires, lors de la remise qu'il en fit sur le bureau de la Convention. Tome second. Paris, Imprimerie nationale, 1793, [2] ff. n. ch., 292 pp., avec un tableau dépliant hors texte. - 7. SÉZE (Raymond de) : Défense de Louis, prononcée à la barre de la Convention nationale, le mercredi 26 décembre 1792. Paris, Imprimerie nationale, 1792, titre, 49 pp. MW 31 535. - 8. Observations des défenseurs de Louis sur une imputation particulière qui lui a été faite dans la Convention ; précédées de leur lettre d'envoi au citoyen-président. [Paris], Imprimerie nationale, s.d. [1792], 8 pp. - 9. Appel nominal, extrait du procès-verbal de la séance permanente de la Convention nationale, des 16 et 17 janvier 1793, sur cette question : Quelle peine sera infligée à Louis ? Paris, Imprimerie nationale, s.d. [1793], 43 pp. Résultats nominatifs des votes, classés par département (de la Haute-Garonne à l'Yonne, puis de l'Ain au Gard). - 10. Appels nominaux faits dans les séances des 15 & 19 janvier 1793, sur ces trois questions : 1° Louis Capet est-il coupable de conspiration contre la liberté publique, & d'attentats contre la sûreté générale de l'États ? - 2° Le jugement de la Convention nationale contre Louis Capet sera t-il soumis à la ratification du peuple ? - 3° Y aura t-il un sursis, ou non, à l'exécution du décret qui condamne Louis Capet ? Paris, Imprimerie nationale, 1793, titre, 71 pp. - 11. La Convention nationale au Français. [Paris], Imprimerie nationale, s.d. [1793], 6 pp. Annonce de l'exécution du Roi ("Le tyran n'est plus"). - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Phone number : 06 46 54 64 48