[Paris, 1634]. 106 x 151 mm.
Reference : LBW-4616
Belle carte issue de Les Plans et profils de toutes les principales villes et lieux considérables de France. Ingénieur-géographe du roi, Christophe Tassin, connu fréquemment à tort sous le prénom de Nicolas, s'installa comme graveur à Paris où il produisit des collections variées de petites cartes et plans. Ses petits atlas oblongs sur la France, la Suisse, l'Espagne et l'Allemagne ont fait sa renommée. Mouillure claire dans la partie haute de la carte.
Librairie Le Bail
Didier Le Bail
13 rue Frédéric Sauton
75005 Paris
France
33 01 43 29 72 59
[1785]. 590 x 902 mm.
Feuille n°35 de la Carte de la Guyenne de Pierre de Belleyme, dite Carte de Belleyme, couvrant les départements de la Gironde et du Lot-et-Garonne. Elle s'étend au nord jusqu'à Mesterrieux (orthographiée Mesterrieu), au sud jusqu'à Monclaris et Samazan (Lot-et-Garonne), à l'ouest jusqu'à Savignac, et à l'est jusqu'à Saint-Barthélémy-d'Agenais et Miramont-de-Guyenne dans le Lot-et-Garonne. Le cours de la Garonne va de Casseuil à Caumont (Lot-et-Garonne). La carte de la Guyenne, ancienne province française, fut ordonnée, au XVIIIe siècle, par l'intendant de la généralité de Bordeaux Charles Boutin, qui désirait doter sa province d'une carte plus détaillée et précise que celle que réalisait Cassini pour l'ensemble de la France. En 1761, un arrêt du Conseil du Roi ordonne le levé de la carte, aux frais de la province. La responsabilité administrative de la Carte de la Guyenne est assumée par l’intendant, et l’entreprise cartographique est confiée à Pierre de Belleyme (1747-1819), ancien officier du Génie, qui laissera son nom à la carte. Sur les 54 planches qu’elle devait initialement compter, seules 48 furent achevées. Les levés, effectués de 1761 à 1774, à une échelle double de celle de la Carte de Cassini, permirent de soigner la partie topographique du travail, en différenciant les routes et les chemins, et en distinguant les forêts et les bois, les vignes, les châtaigniers, les « piñadas », les landes, les marais et les dunes de sable. Bon exemplaire à grandes marges. Déchirures marginales, déchirure en haut à droite de la carte, petites galeries de ver dans la marge inférieure.
[1785]. 590 x 895 mm.
Feuille n°40 de la Carte de la Guyenne de Pierre de Belleyme, dite Carte de Belleyme, couvrant les environs de Lacanau, Castelnau, Margaux et Saint-Médard dans le Médoc, département de la Gironde. Elle s'étend à l'ouest jusqu'à l'Étang de Lacanau et Le Porge, à l'est jusqu'à l'estuaire de la Gironde et Le Pian, au nord jusqu'à Brach et Moulis, et au sud jusqu'à Le Temple et Capeyron. La carte de la Guyenne, ancienne province française, fut ordonnée, au XVIIIe siècle, par l'intendant de la généralité de Bordeaux Charles Boutin, qui désirait doter sa province d'une carte plus détaillée et précise que celle que réalisait Cassini pour l'ensemble de la France. En 1761, un arrêt du Conseil du Roi ordonne le levé de la carte, aux frais de la province. La responsabilité administrative de la Carte de la Guyenne est assumée par l’intendant, et l’entreprise cartographique est confiée à Pierre de Belleyme (1747-1819), ancien officier du Génie, qui laissera son nom à la carte. Sur les 54 planches qu’elle devait initialement compter, seules 48 furent achevées. Les levés, effectués de 1761 à 1774, à une échelle double de celle de la Carte de Cassini, permirent de soigner la partie topographique du travail, en différenciant les routes et les chemins, et en distinguant les forêts et les bois, les vignes, les châtaigniers, les « piñadas », les landes, les marais et les dunes de sable. Bon exemplaire à grandes marges. Déchirures marginales, petites galeries de ver dans la marge inférieure, mouillure claire dans l'angle supérieur droit et dans la marge droite.
[1785]. 580 x 892 mm.
Feuille n°34 de la Carte de la Guyenne de Pierre de Belleyme, dite Carte de Belleyme, couvrant les environs de Sauternes en Gironde. Elle s'étend au nord jusqu'à Cadillac, au sud jusqu'à Saint-Symphorien et Bazas, à l'ouest jusqu'à Villagrains et Le Tuzan, et à l'est jusqu'à Mazerac. Le cours de la Garonne va de Cadillac à Caudrot. La carte de la Guyenne, ancienne province française, fut ordonnée, au XVIIIe siècle, par l'intendant de la généralité de Bordeaux Charles Boutin, qui désirait doter sa province d'une carte plus détaillée et précise que celle que réalisait Cassini pour l'ensemble de la France. En 1761, un arrêt du Conseil du Roi ordonne le levé de la carte, aux frais de la province. La responsabilité administrative de la Carte de la Guyenne est assumée par l’intendant, et l’entreprise cartographique est confiée à Pierre de Belleyme (1747-1819), ancien officier du Génie, qui laissera son nom à la carte. Sur les 54 planches qu’elle devait initialement compter, seules 48 furent achevées. Les levés, effectués de 1761 à 1774, à une échelle double de celle de la Carte de Cassini, permirent de soigner la partie topographique du travail, en différenciant les routes et les chemins, et en distinguant les forêts et les bois, les vignes, les châtaigniers, les « piñadas », les landes, les marais et les dunes de sable. Bon exemplaire à grandes marges. Petites déchirures marginales, petite galerie de ver dans la marge inférieure, mouillure claire dans l'angle supérieur droit.
[1785]. 585 x 898 mm.
Feuille n°40 de la Carte de la Guyenne de Pierre de Belleyme, dite Carte de Belleyme, couvrant les départements de la Gironde et des Landes (Bazadais). Elle s'étend au nord jusqu'à Marimbault (Gironde), au sud jusqu'à Cousson (Landes), à l'ouest jusqu'à Sore (Landes), et à l'est jusqu'à Lavazan (Gironde), Saint-Michel-de-Castelnau (Gironde) et Lubans (Lot-et-Garonne). La carte de la Guyenne, ancienne province française, fut ordonnée, au XVIIIe siècle, par l'intendant de la généralité de Bordeaux Charles Boutin, qui désirait doter sa province d'une carte plus détaillée et précise que celle que réalisait Cassini pour l'ensemble de la France. En 1761, un arrêt du Conseil du Roi ordonne le levé de la carte, aux frais de la province. La responsabilité administrative de la Carte de la Guyenne est assumée par l’intendant, et l’entreprise cartographique est confiée à Pierre de Belleyme (1747-1819), ancien officier du Génie, qui laissera son nom à la carte. Sur les 54 planches qu’elle devait initialement compter, seules 48 furent achevées. Les levés, effectués de 1761 à 1774, à une échelle double de celle de la Carte de Cassini, permirent de soigner la partie topographique du travail, en différenciant les routes et les chemins, et en distinguant les forêts et les bois, les vignes, les châtaigniers, les « piñadas », les landes, les marais et les dunes de sable. Bon exemplaire à grandes marges. Déchirures marginales.
[1785]. 585 x 895 mm.
Feuille n°12 de la Carte de la Guyenne de Pierre de Belleyme, dite Carte de Belleyme, couvrant la région du Médoc. Elle est délimitée à l'est par la Gironde, et à l'ouest par le Lac d'Hourtin, nommé Étang d'Hourtin, de S.te Hélène et de Carcans. Y figurent les villes de célèbres cépages telles que Saint-Estèphe, Pauillac, ou encore Saint-Julien, ainsi que la ville de Blaye et le Fort de Médoc. La carte s'étend jusqu'à Saint-Seurin au nord, Listrac et Arcins au sud, et Saint-Androny et Saint-Gènes à l'est (orthographiées Saint-Andronic et Saint-Genez). La carte de la Guyenne, ancienne province française, fut ordonnée, au XVIIIe siècle, par l'intendant de la généralité de Bordeaux Charles Boutin, qui désirait doter sa province d'une carte plus détaillée et précise que celle que réalisait Cassini pour l'ensemble de la France. En 1761, un arrêt du Conseil du Roi ordonne le levé de la carte, aux frais de la province. La responsabilité administrative de la Carte de la Guyenne est assumée par l’intendant, et l’entreprise cartographique est confiée à Pierre de Belleyme (1747-1819), ancien officier du Génie, qui laissera son nom à la carte. Sur les 54 planches qu’elle devait initialement compter, seules 48 furent achevées. Les levés, effectués de 1761 à 1774, à une échelle double de celle de la Carte de Cassini, permirent de soigner la partie topographique du travail, en différenciant les routes et les chemins, et en distinguant les forêts et les bois, les vignes, les châtaigniers, les « piñadas », les landes, les marais et les dunes de sable. Bon exemplaire à grandes marges. Déchirures marginales restaurées, petite galerie de ver dans la marge inférieure, mouillure claire dans l'angle supérieur droit.