Mame et fils Tours 1882 1 vol. In-4 de 397 pp., pleine percaline éditeur de l'époque, dos lisse orné, premier plat à décor doré, tranches dorées.
Reference : 12731
Nombreuses gravures de V. Foulquier in et hors-texte. Bon exemplaire.
DKB Livres anciens
M. Dimitri Kronis
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France
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illustré par V.Foulquier fort volume in-8, 255x210, relié demi cuir à coins, 483 pages, couvertures d'origines conservées, très bel état intérieur, bien frais. Bel exemplaire. Tours Mame & Fils 1869 "Voyage en Espagne" est un ouvrage écrit par Eugène Poitou, un voyageur et écrivain français du XIXe siècle. Publié en 1844, ce livre relate les expériences et les observations de l'auteur lors de son voyage à travers l'Espagne. Dans "Voyage en Espagne", Eugène Poitou décrit les paysages, les villes, les monuments et les coutumes qu'il a rencontrés lors de son périple à travers le pays. Il offre également des réflexions sur l'histoire, la culture et la société espagnoles de l'époque. L'ouvrage de Poitou donne un aperçu de la diversité géographique de l'Espagne, des grandes villes comme Madrid, Barcelone et Séville, ainsi que des régions rurales et des zones côtières. Il aborde également des aspects de l'art, de l'architecture et de la cuisine espagnols, ainsi que des coutumes locales et des traditions. "Voyage en Espagne" est un témoignage intéressant sur l'Espagne du XIXe siècle, et il peut également être apprécié pour son style littéraire et son sens de l'observation. L'ouvrage de Poitou peut être une ressource précieuse pour ceux qui s'intéressent à l'histoire et à la culture espagnoles de cette époque.
illustré par V. Foulquier fort volume in-8, 255x210, relié demi cuir, dos à nerfs, plats frottés, 483 pages, toutes tranches dorée, bien frais. Paris Mame 1869 "Voyage en Espagne" est un ouvrage écrit par Eugène Poitou, un voyageur et écrivain français du XIXe siècle. Publié en 1844, ce livre relate les expériences et les observations de l'auteur lors de son voyage à travers l'Espagne. Dans "Voyage en Espagne", Eugène Poitou décrit les paysages, les villes, les monuments et les coutumes qu'il a rencontrés lors de son périple à travers le pays. Il offre également des réflexions sur l'histoire, la culture et la société espagnoles de l'époque. L'ouvrage de Poitou donne un aperçu de la diversité géographique de l'Espagne, des grandes villes comme Madrid, Barcelone et Séville, ainsi que des régions rurales et des zones côtières. Il aborde également des aspects de l'art, de l'architecture et de la cuisine espagnols, ainsi que des coutumes locales et des traditions. "Voyage en Espagne" est un témoignage intéressant sur l'Espagne du XIXe siècle, et il peut également être apprécié pour son style littéraire et son sens de l'observation. L'ouvrage de Poitou peut être une ressource précieuse pour ceux qui s'intéressent à l'histoire et à la culture espagnoles de cette époque. ref/163
s.d. [circa 1843], 13,2x21,9cm ; 12,4x15,8cm ; 13,2x9,1cm ; 17,2x5,9cm, 4 feuillets.
Manuscrit autographe de Théophile Gautier, 4 feuillets numérotés 2, 2bis, 9 et 11, 83 lignes à l'encre bleu turquoise, rose et rouge, corrections de la main de l'auteur, quelques pliures, infimes déchirures marginales sans manque de texte, quelques bavures et traces d'encre sans manque de texte. Admirable ensemble de quatre fragments manuscrits du chapitre XI du Voyage d'Espagne dévoilant les coulisses de l'écriture de Gautier qui, guidé par le goût romantique pour le pittoresque, relate ses séjours à Madrid et Ocaña et ses passages par La Guardia et Tembleque. Gautier adopte ici un étonnant format de travail sur feuilles volantes où, menée par une écriture serrée et bigarrée, se distingue la fabrique du récit à travers les corrections que l'auteur impose à son texte. Originellement destiné à une publication dans la presse, l'article de Gautier, lui-même séduit par l'exotisme espagnol, satisfait le penchant pour le pittoresque alors à son apogée en France: «[...] les mouvements de coude des femmes se groupant dans leur mantille et corrigeant l'inflexion d'un pli disgracieux; les illades lancées d'une croisée à l'autre aux gens de connaissance; le joli signe de tête et le geste gracieuxqui accompagne l'agurpar lequel lessenhorasrépondent aux cavaliers qui les saluent; la foule pittoresque entremêlée deGallegos, dePasiegas, de Valenciens, deManolaset de vendeurs d'eau» Les extraits présentés se placent en relation directe avec un imaginaire commun de l'Espagne, introduit par Don Quichotte et ses célèbres moulins: «[...] nous aperçûmes sur la droite deux ou trois moulins à vent qui ont la prétention d'avoir soutenu victorieusement le choc de la lance de don Quichotte [...] La venta où nous nous arrêtâmes pour vider deux ou trois jarres d'eau fraîche, se glorifie aussi d'avoir hébergé l'immortel héros de Cervantès». Placé en résonance avec une telle référence romanesque, le récit de Gautier se teinte de couleur picaresque: «Nous avions en outre une escorte spéciale de quatre cavaliers armés d'espingoles, de pistolets et de grands sabres. C'étaient des hommes de haute taille, à figures caractéristiques, encadrées d'énormes favoris noirs, avec des chapeaux pointus, de larges ceintures rouges, des culottes de velours et des guêtres de cuir, ayant bien plus l'air de voleurs que de gendarmes, et qu'il était fort ingénieux d'emmener avec soi, de peur de les rencontrer». Sans se départir de sa plume pleine d'humour («Boire de l'eau est une volupté que je n'ai connue qu'en Espagne»), Gautier se montre sensible à la gaieté et au bon vivant espagnols : «la sobriété et la patience des Espagnols à supporter la fatigue est quelque chose qui tient du prodige. Ils sont restés Arabes sur ce point. L'on ne saurait pousser plus loin l'oubli de la vie matérielle. Mais ces soldats, qui manquaient de pain et de souliers, avaient une guitare». Si l'écrivain est conscient de l'influence que la parution des articles dans la presse a sur son écriture, «je ne te fais pas de détails pittoresques. Tu verras cela dans les papiers publics» (Lettre de Théophile Gautier à sa mère, Burgos, 16 mai 1840), le Voyage en Espagne demeure une expérience jalon dans le développement esthétique de Gautier. Plus qu'un simple récit de voyage, l'ouvrage révèle «son rapport poétique avec le monde visible» (François Brunet) dont certains accents se distingue ici: «Le passage de la procession est poudré de sable fin, et destendidosde toile à voile, allant d'une maison à l'autre, entretiennent l'ombre et la fraîcheur dans les rues [...] Le manège perpétuel des éventails qui s'ouvrent, se ferment, palpitent et battent de l'aile comme des papillons qui cherchent à se poser ». - Photos sur www.Edition-originale.com -
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P., E. Plon, 1874, gr. in-8, demi-chagrin violet, dos à nerfs orné de filets, pointillés dorés, filets à froid formant caissons (A. Girard, relieur), IV-568 pp., portrait-frontispice, bibliographie. (Z.29)
Édition nouvelle revue et annotée par Mme B. Carey. Petites épidermures.
P., Plon et Cie, 1874-1876, 2 vol. in-8, demi-chagrin vert, tr. jaspées (rel. de l'ép.), IV-568 et VIII-456 pp. (L.76)
Édition nouvelle, revue et annotée par Mme B. Carey. La première édition est de 1691. Ce récit pittoresque et animé, est écrit avec une verve picaresque qui annonce déjà les chefs-d'oeuvre de Lesage et Beaumarchais. "C'est l'édition à privilégier de cette relation de la Cour de Charles II" (SHF, Bourgeois et André, 842). Sainte-Beuve fut le premier à souligner l'intérêt de ces souvenirs de la Cour de Madrid de 1675 et 1681. Dos uniformément passés. Infime manque à une coiff sup.