Hachette et Cie Paris 1856 1 vol. In-8 de 2 ff.n.ch. XLIX 432 pp., demi-chagrin de l'époque, dos à nerfs orné.
Reference : 10513
Seconde édition ornée d'un frontispice replié, d'une double page de musique "Noël des Grands Jours" et d'une planche hors-texte (médaillons). "Instituées sous l’impulsion de Colbert en 1665, les cours exceptionnelles ou “Grands Jours” visaient à reprendre en main la justice provinciale en mettant un terme aux abus de pouvoir des nobles et à l’impunité de nombreux crimes. La province d’Auvergne étant choisie pour inaugurer cette remise au pas, Fléchier fut envoyé à Clermont-Ferrand en compagnie du maître des requêtes Caumartin du 25 septembre 1665 au 4 février 1666".
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Hachette 1856 In-8 demi-chagrin, dos à nerfs, caissons ornés, XLIX 432 pp. Frontispice replié, une double page de musique "Noël des Grands Jours" et une planche hors-texte. Très bon exemplaire.
Seconde édition ornée d'un médaillon. Très bon état d’occasion
1856 PARIS, Hachette - 1856 - - Reliure 1/2 veau frottée- Dos lisse - Titre et mention d'auteur dorés - Deuxième édition en partie originale car annotée et augmentée d'un appendice par M. Chéruel. - Bien complet du Frontispice dépliant de la gravure & de la partition musicale des Grands-Jours - .XLIX - 452 pp. -
Présentation de la réédition de 2014, Mercure de France : A lhiver 1665, une commission juridique extraordinaire venue de Paris se transporte à Clermont. Il sagit aux lendemains de la Fronde de rétablir lordre dans une région écartée et dy affirmer lautorité du pouvoir central.Un jeune abbé, réputé parmi les beaux esprits de Paris, se trouve par hasard faire partie de lescorte des magistrats. Cest Esprit Fléchier (1632-1710), futur évêque de Nîmes. Le journal où il consigne les travaux de la cour des Grands-Jours dAuvergne aurait pu être un catalogue sinistre de crimes et de malheurs, mais la fantaisie de Fléchier la transformé en un recueil danecdotes malicieuses et pittoresques.Dans ce témoignage exceptionnel, le portrait dune province lointaine contraste avec la description dun tribunal souverain qui prétend purger le pays de ses criminels invétérés. Le ton badin et précieux que Fléchier emploie pour rendre compte des épisodes les plus sordides confère à ce journal une double résonnance: cest à la fois un document littéraire original et lillustration dun moment majeur de lhistoire des institutions et de la société française au XVIIe siècle. - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le - Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148
Hachette, 1856, in-8°, xlix-432 pp, un frontispice dépliant et une planche hors texte, 2 tableaux généalogiques, index, reliure demi-veau fauve, dos à 4 nerfs filetés et soulignés à froid, pièce de titre basane noire (rel. de l'époque), bon état
A l'hiver 1665, une commission juridique extraordinaire venue de Paris se transporte à Clermont. Il s'agit aux lendemains de la Fronde de rétablir l'ordre dans une région écartée et d'y affirmer l'autorité du pouvoir central. Un jeune abbé, réputé parmi les beaux esprits de Paris, se trouve par hasard faire partie de l'escorte des magistrats. C'est Esprit Fléchier (1632-1710), futur évêque de Nîmes. Le journal où il consigne les travaux de la cour des Grands-Jours d'Auvergne aurait pu être un catalogue sinistre de crimes et de malheurs, mais la fantaisie de Fléchier l'a transformé en un recueil d'anecdotes malicieuses et pittoresques. Dans ce témoignage exceptionnel, le portrait d'une province lointaine contraste avec la description d'un tribunal souverain qui prétend purger le pays de ses criminels invétérés. Le ton badin et précieux que Fléchier emploie pour rendre compte des épisodes les plus sordides confère à ce journal une double résonance : c'est à la fois un document littéraire original et l'illustration d'un moment majeur de l'histoire des institutions et de la société française au XVIIe siècle. — Ce récit "constitue un véritable réquisitoire contre la société de l'Ancien Régime" (Bourgeois & André 842).
Paris, Hachette, 1856, 2ème édition . In-8, XLIX et 432 pages. Reliure fin XIXème Siècle (signée SEMET et PLUMELLE), demi maroquin rouge à coins, dos à nerfs richement orné de fleurons dorés, titre et tête dorés, Couvertures conservées 3 planches hors-texte. Un des 100 ex. numérotés du tirage de tête.
La relation de Fléchier restée inédite jusqu'à son acquisition par la municipalité de Clermont*. Gonod fut chargé de sa publication, qui une fois achevée, fut l'objet d'une violente polémique menée par le Comte de Résie qui se fit le porte parole d'une aristocratie froissée par l'étalage des exactions de leurs ancêtres relatées sans complaisance dans un édifiant tableau des moeurs de l'époque. *Un éditeur de Fléchier, l'abbé Ducreux possédait "deux manuscrits, établis par des copistes au début du XVIIIe siècle. L’un arrive jusqu’à Clermont et demeure longtemps la propriété de Tiolier, ancien conseiller à la cour de justice de Riom. Après sa mort et lors de la vente de sa bibliothèque, en 1830, le manuscrit est acquis par l’avocat Hugues Michel. C’est à ce moment qu’intervient Benoît Gonod (1792-1849), bibliothécaire et archiviste de Clermont, qui réussit à convaincre ce dernier propriétaire de céder le livre à la bibliothèque de la ville." in Nathalie Da Silva et Viviane Niaux, « Le « Noël des grands jours » de Georges Onslow », Siècles [En ligne], 21 | 2005, mis en ligne le 22 septembre 2014, consulté le 27 février 2018. URL : http://journals.openedition.org/siecles/2208 Magnifique exemplaire.
Paris, Hachette, 1862, in-8°, 17,5 x 12 cm, 452 pp, index, rel. demi-toile moderne.