Londres [Paris ?], Vaillant, 1764 ; in-12 de [1] f., lx pp., 286 pp. mal ch. 278, veau marbré de l'époque, dos à nerfs orné, pièce grenat, tranches rouges.
Reference : 319
Édition originale posthume de cet ouvrage de l'abbé Prévost (1697-1763), qui en est le véritable auteur et non le traducteur. Ces neuf lettres éducatives traitent de l'étude en général et de l'histoire en particulier, de l'influence de la liberté sur la formation du goût, de la poésie… Pour Henry Harrisse, l'ouvrage est « digne d'attention, tant pour le style que pour les idées, alors nouvelles et hardies qu'il renferme » (L'Abbé Prévost : Histoire de sa vie et de ses œuvres, 1896, p. 415). Une charnière partiellement fendue, sinon bon exemplaire. Tchémerzine, IX, 237. Quérard, VII, 342.
Anne Lamort Livres Anciens
Mme Anne Lamort
3, rue Benjamin Franklin
75116 Paris
France
33 0 1 42 24 11 41
Garanties et conditions de vente : Conditions de vente conformes aux usages su Syndicat de la librairie ancienne et moderne. Les prix sont nets, frais de port à la charge de l’acheteur. Les envois sont toujours effectués en recommandé. Les règlements peuvent être effectués par chèque (les chèques sur les banques étrangères doivent être majorés de 20 €), carte bancaire (vente à distance), virement bancaire, espèces dans la limite de 1 000 euros.
Amsterdam – Londres, Chez Arské & Merckus - chez Paul Vaillant, 1764 ; in-12 (99 x 174 mm), XLVIII-218-LX-278 pp., relié plein cuir (veau), coloris naturel moucheté, dos orné de caissons et de fleurons à 5 nerfs, pièce de titre ocre rouge, tranches marbrées (coiffes usées avec manques, traces de frottement, coins légèrement usés). Antoine-François Prévost est un historien, écrivain et homme d'église français de la première moitié du XVIIIème siècle. Il est également appelé Prévost d'Exil. Après un premier noviciat chez les jésuites, il s'engage dans l'armée. Il prononce ensuite ses voeux. Après la publication d'un premier ouvrage frappé d'une lettre de cachet, il s'enfuit à Londres, où il apprend l'anglais et l’histoire de l'Angleterre. Il voyage ensuite en Hollande, où il publie. Ensuite, il retourne en France, où il termine sa vie chez les bénédictins. Le titre 'Manon Lescaut' fut jugé scandaleux, saisi et condamné à être brulé. Bon état.