1924 1924 Paris. les carnets de la Lucarne. 1924. 1 volume petit in-12, broché. 23 pp. ; [9] pp.
Reference : 10610
Carnet n°1, orné, composé et tiré par Jean-Paul Hippeau. 1 des 200 exemplaires numérotés sur Vélin du Marais. Illustré de 8 bois de Jean-Paul Hippeau, plein de charme et de naiveté. Discrètes rousseurs.
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Van Dieren, 2010, in-8 br., 410 p., préface de Raphaël Picon, envoi de l'auteur, bon état.
Sous la plume de Gagnebin, l’athéisme apparaît comme une réalité complexe et résolument plurielle : celui d’un André Gide, d’un Albert Camus, d’un Jean-Paul Sartre Sartre, ou d’une Simone de Beauvoir, différents à plus d’un titre, déterminés qu’ils sont notamment par les origines religieuses dont ils sont l’émancipation. Ce n’est ici pas d’abord le penseur chrétien qui, fort de ses convictions, interroge l’athéisme et le met en demeure de s’expliquer et de se justifier, mais le contraire. Inversion de taille qui signifie que la théologie se construit dans l’ouverture, par la confrontation et à travers le dialogue. Ce n’est pas une fois construite en système que la théologie s’expose à la critique, c’est en se confrontant à celle-ci qu’elle s’élabore, en demeurant ainsi en recherche, ouverte aux questions inédites et aux aspirations encore balbutiantes. L’athéisme n’est pas seulement chez Gagnebin ce qui donne du grain à moudre à des théologiens en manque de stimulation, il est ce qui purifie la foi chrétienne elle-même. Et la confrontant à autre chose, l’athéisme relativise la foi dans ses énoncés dogmatiques et ses pratiques ; il la libère ainsi de l’esprit d’orthodoxie qui trop souvent l’étrangle. En l’appelant à plus de justesse doctrinale, l’athéisme sauve aussi la foi de l’obscurantisme qui l’étouffe. En dénonçant ses chimères et ses faux dieux, il la renvoie à l’Evangile lui-même, par-delà les institutions chrétiennes et ecclésiales. Laurent Gagnebin nous offre dans ces ouvrages le récit d’une interrogation libre, sans faux-semblant, ni concession facile ; une mise en question radicale, stimulante et provocatrice, qui place chacun en demeure de s’expliquer sur ce qu’il pense, sur ce qu’il croit et ne croit pas. Non sans une juste fierté, Gagnebin rappelle que Simone de Beauvoir — après avoir rechigné à lire le manuscrit d’un jeune théologien analysant son œuvre— lui écrivit : "On me lira mieux vous ayant lu"; Voir le sommaire sur photos jointes.
CHEZ L'AUTEUR. JANVIER 1954. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 144 pages.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Sommaire : Comment discerner les causes de l'atheisme. Atheisme et sciences. Atheisme et techniques. Atheisme et psychanalyse. Atheisme et Marxisme. Classification Dewey : 200-RELIGION
Imprimerie Artistique P.Jacques. 1982. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 100 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Défis athées - une question indéclinable - renaissance des paganismes par André Dumas - les jeunes : athées de quel dieu ? par Jean Rouy - du sceptcisme par Joseph Beaude - un athéisme rationaliste par Jacqueline Marchand - la religion comme athéisme par Eric Blondel - un athéisme biblique par Christian Duquoc - entendre la question de l'athéisme par Yves le Gal - comptes rendus théologie, psychanalyse et foi, vie religieuse, spiritualité. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
In-8 (202 x 130 mm), cartonnage marbré à la Bradel, pièce de titre de veau en long (reliure moderne), 6 p., (1) f. blanc. Paris, Imprimerie Nationale, [juin 1794].
Edition originale de premier tirage. Dès le 1er frimaire Robespierre avait déclaré la guerre à l'athéisme, à Hébert et ses soutiens, et proposé l'établissement d'un culte national de l'Etre suprême. Cette fête eut lieu dans toute la France le 8 juin 1794. Elle fut ordonnancée par Jacques-Louis David et mise en musique par Gossec à Paris, aux Tuileries et au champ de Mars, au sein d'une foule immense. Porté à la tête de la convention, quelques jours auparavant, Robespierre y officia ceint d'un habit "bleu céleste" et d'une écharpe tricolore, un bouquet de fleurs et d'épis à la main. Il mit symboliquement le feu aux représentations de l'Athéisme et de lÉgoïsme, qui devait démasquer une statue de la Sagesse, mais celle-ci fut malencontreusement également brûlée.(Martin & Walter, 29526.40. Tourneux, 4261).Bon exemplaire, bien conservé.
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Paris, Ernest Flammarion, 1919 ; in-12, broché ; (4) pp. , III pp. , 310 pp. , (2) pp. ; couverture orange imprimée.
Exemplaire en bon état.
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