Paris. Chez l’auteur (1896). 1 volume in-8 carré, plein maroquin bleu nuit, double encadrement d’1 filet doré sur les plats, dos à nerfs, dentelle intérieure dorée, tête dorée, couvertures conservées, étui.Reliure signée A. Austraet. 13 pp. ; (3). p. bl.
Reference : 10229
Premier soliloque L’Hiver, l’année de l’originale, comportant la mention 2ème édition. Les exemplaires sont en vente au Cabaret Quat’-z’arts.Cette brochure fait office de plaquette d’annonce du recueil complet des Soliloques qui ne paraîtra que l’année suivante. Une illustration de Steinlen figure au premier plat de couverture. Ce sont les premiers pas de l’auteur dans la publication.Briant, Jehan-Rictus, p. 213.Très bel exemplaire relié en plein maroquin.
Librairie Pierre Prévost
M. Pierre Prévost
75, rue Michel-Ange
75016 Paris
France
01 40 56 97 98
Conditions de vente conformes aux usages de la profession. Les prix sont nets, en Euros, port en sus. Emballage gratuit.
Paris, Eugène Rey, 1913. 605 g In-8, demi basane, 256 pp., [1] ffb., [1] ff. publicitaire, et 8 pp. sur papier rose intitulé ""La presse et Jehan Rictus"".. Illustrations dans le texte par Steinlen. Edition revue, corrigée et augmentée de poèmes inédits. Première édition illustrée avec mention de 5e mille. Dos passé. . (Catégories : Poésie, )
Les soliloques du pauvre. Edition revue, corrigée et augmentée de poèmes inédits. In 12 broché, 140x190mm. Couverture illustrée en couleurs, faux-titre, frontispice ajouté (un portrait de l’auteur) titre, 236 pages, nombreux dessins de STEINLEN dans le texte, hors texte, en tête, culs de lampe. Documents ajoutés : les soliloques du pauvre par Jeanne LEANDRE, un portait en pied par LEANDRE, Un texte de Léon BLOY (mercure de France 1903) En dernière page : coupures de journaux « un poète est mort » personne, pas un parent, pas un ami pour veiller le pauvre Jehan RICTUS journal le Jour 9 novembre 1933. Eugène REY éditeur 1919. Couverture modeste, bon état intérieur
Illustrations par A. Steinlen. Edition revue, corrigée et augmentée de poèmes inédits. Les Soliloques du Pauvre est un recueil de poèmes de Jehan Rictus. Publié en 1897, il a été considérablement revu en 1903. Ce recueil présente plusieurs originalités dans la poésie française, dont cette déformation de la langue poétique: la retranscription du langage du peuple du Paris de son époque. Dans un mot que Stéphane Mallarmé adresse à Jehan Rictus, publié dans Les Cahiers, il déclare : « Merci, mon cher Poète, du beau livre : oh! Quel étrange, poignant et sourd instrument vous vous êtes fait, je trouve génial votre déformation de la langue. Tout ce que je ne connaissais pas du Soliloques du Pauvre m’émeut d’art, autant que j’en admire la source humaine; cela part d’une telle profondeur pour jaillir si haut. Je vous exprime affectueusement ma gratitude, cher Jehan Rictus, d’avoir pensé que je saurais vous lire et regrette mon départ de Paris quand vous avez bien voulu me visiter. Votre, très pris - S.M. » Fascination ou alors acte de politesse de la part d’un Mallarmé adepte de la pratique sociale des billets; ce dernier reconnaît tout de même la spécificité de ce contemporain qui comme lui fait jaillir, mais d'une toute autre manière, quelque chose de neuf dans la poésie française. Couverture illustrée par Steinlen, conservée, portrait de l'auteur par Antoine-Pierre GALLIEN en frontispice, nombreuses illustrations dans et hors texte.. Complet, volume relié, demi cuir bandes, 20x15, bel état intérieur, tache marron sur la tranche atteignant les bordures de pages sans gravité, 256pp. Paris, Eugène Rey, Libraire, 1921 ref/237
1897 RICTUS Jehan : Les soliloques du pauvre. Chez l’auteur Paris 1897. E.O. L’un des ex. sur Vélin, 2ème papier. Couverture illustrée par STEINLEN. Reliure in-8 plein chagrin marron foncé, dos à 10 nerfs centraux éclairci, titre en long sur le premier plat, doublé plein chagrin havane, couvertures conservées, étu