Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1861 ; in-12, broché, couverture jaune imprimée. 2ff, 334 p., 1f blanc avec au recto la marque au caducée.Il s'agit bien d'une composition nouvelle et non d'une remise en vente. Tirage à 1200 exemplaires (qq. grands papiers). Dans sa préface dialogue-prologue Weill a supprimé sa diatribe contre la presse qui feint d'ignorer ses livres que l’on trouve dans l’édition de 1859 (suppression qui entraîne un décalage de 2 pages dans la pagination). Il y a aussi des différences d'impression et de mise en pages: début du chap. XV pp. 150- 151 (pp. 152-153 de la l'" édition), l'" ligne de la p. 157 ... J.J. Launay fait état d'un différend entre l'irascible Weill et son éditeur au sujet de cette seconde édition. «Il paraît que vous jetez feu et flammes et étoupes contre moi » écrit Malassis “... Pincebourde me dit que vous voulez une eau-forte pour la 2' édition d' Emeraude. Je me charge de vous en faire faire une charmante pour 30 frs par M. Braquemond ?” Mais Weill a lui-même son projet, que Malassis ne semble guère apprécier: « Votre eau-forte? Jamais! Jamais! » C'est affreux, ignominieux, abject, stupide _ Votre Brunier (?) n'a pas pour 2 liards d'esprit ni dans la tête, ni dans la main ... Gardez ses prunes, pour vous» - Méchante allusion à l'accent alsacien, lorsque Malassis parle des prunes de M. Brunier ! Launay 130 - Très bel exemplaire très frais.
Reference : 46404277
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Paris, Poulet-Malassis et de Broise, Paris, Poulet-Malassis et de Broise1861 ; in-12, brad. demi-percal. bleue, pièce de titre noire, fleuron et fil dor., non rog. (Rel. de l'ép,). 2ff, 334 p., 1f blanc avec au recto la marque au caducée.Il s'agit bien d'une composition nouvelle et non d'une remise en vente. Tirage à 1200 exemplaires (qq. grands papiers). Dans sa préface dialogue-prologue Weill a supprimé sa diatribe contre la presse qui feint d'ignorer ses livres que l’on trouve dans l’édition de 1859 (suppression qui entraîne un décalage de 2 pages dans la pagination). Il y a aussi des différences d'impression et de mise en pages: début du chap. XV pp. 150- 151 (pp. 152-153 de la l'" édition), l'" ligne de la p. 157 ... J.J. Launay fait état d'un différend entre l'irascible Weill et son éditeur au sujet de cette seconde édition. «Il paraît que vous jetez feu et flammes et étoupes contre moi » écrit Malassis “... Pincebourde me dit que vous voulez une eau-forte pour la 2' édition d' Emeraude. Je me charge de vous en faire faire une charmante pour 30 frs par M. Braquemond ?” Mais Weill a lui-même son projet, que Malassis ne semble guère apprécier: « Votre eau-forte? Jamais! Jamais! » C'est affreux, ignominieux, abject, stupide _ Votre Brunier (?) n'a pas pour 2 liards d'esprit ni dans la tête, ni dans la main ... Gardez ses prunes, pour vous» - Méchante allusion à l'accent alsacien, lorsque Malassis parle des prunes de M. Brunier ! Launay 130 - Exemplaire provenant de la bibliothèque de Gustave RIVET, député du Dauphiné, avec son bel ex-libris montrant le château du Fayet et un ex-libris autographe daté de Paris 1371. Petit travail de ver sans gravité dans la marge extér. de qq. ff.