Paris, Giguet et Michaud, 1805-An XIII; in-16, demi-bas. fauve marbr., tr. jasp., dos avec décor, pièce de mar. vert. (Rel. de l’ép.). 266 pp.- Frontispice et 3 gravures hors-texte de Myris et Monsiau, gravés par Bovinet, Delvaux et Baquoy. Un classique de la table. Il existe deux tirages de cette 4 ème édition, l’un sur papier vergé assez fort contenant les 4 gravures , et un autre sur papier plus ordinaire et plus fin avec seulement une des gravures placée en frontispice. Voir à ce sujet: Oberlé. Fastes 386. A la suite de cette quatrième édition, on trouve divers poèmes parmi lesquels des stances de Chateaubriand. Vicaire 84.- Cohen 131. Exemplaire sur beau papier avec les 4 gravures, finement relié à l’époque. Fente sans manque au papier du f. de titre.
Reference : 35601216
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M. Gérard Oberlé
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Paris, Guiguet et Michaud, Paris, Guiguet et Michaud 1805 an XIII ; in-16, demi-basane brune, dos lisse orné, tranches jaspées. (Reliure de l'époque.) "266 pp. ; frontispice et 3 gravures hors-texte de Myris et Monsiau, gravés par Bovinet, Delvaux et Baquoy.""ÉDITION EN PARTIE ORIGINALE. Oberlé signale dans Les Fastes de Bacchus et de Comus « deux tirages de cette quatrième édition, l'un sur papier fort contenant les 4 gravures [notre exemplaire] et un autre sur papier ordinaire, plus fin avec seulement une gravure en frontispice... À la suite de cette quatrième édition, on trouve divers poèmes parmi lesquels des stances à Chateaubriand. » « Ce spirituel badinage publié pour la première fois en 1800 assura à l'auteur une gloire durable. Réimprimé sans cesse, il deviendra un des « classiques de la table ». La Gastronomie fut traduite en plusieurs langues ; certains vers devinrent des proverbes « Un poème jamais ne valut un dîner » ou encore « Rien ne doit déranger l'honnête homme qui dîne ». Ce livre est une excellente illustration de la joie de vivre remise à l'honneur par le Directoire. » Oberlé Fastes 386. - Vicaire 84 - Cohen 131 - Cagle 73 - Crahan 479 - Simon 196. Plaisant exemplaire bien relié à l'époque, qq. rousseurs."
1 volume in-12° relié demi-parchemin blanc, dos lisse, titre en noir, tête rouge, couverture d'attente conservée, 266 p. + 4 gravures dont frontispice. Sur papier vélin. Très bon état.
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_1 volume in-12° relié demi-veau noisette, dos lisse, titre doré, filets dorés, 266 p. + 4 gravures dont frontispice. Sur papier vélin. Rares rousseurs.
Phone number : 06.31.29.75.65
1805 Paris, Giguet et Michaud, 1805. Petit in-12, 266 pages. Reliure époque demi-maroquin rouge, dos lisse faux nerfs et caissons dorés, titre or. Frontispice gravé par Bovinet d'après Monsiau.
Reliure élégante. Des rousseurs .
A Paris, chez Giguet et Michaud, 1805 - An XIII. In-12 de 266 pages, demi-veau moucheté à coins (joliment arrondis), dos lisse orné de filets, roulettes, fleurons et titre dorés, pièce de titre bordeaux.
Orné d'un frontispice de Myris gravé par Delignon, et de 3 figures hors-texte en noir dessinées par Myris et Monsiau. Bel exemplaire de cette quatrième édition, la première ou le nom de l'auteur est mentionné. Joseph Berchoux, en écrivant ce poème, inventa le mot "Gastronomie" (il semblerait qu'il hésita un moment entre Gastronome, Gastrophage et Gastrolâtre). «Berchoux a donné en 1801 un poème de la Gastronomie, qui lui a fait une réputation méritée.» (Littré). Vicaire, Bibl. gastronomique, 84.