Maison Violet frères. Paris, Ateliers ABC, s.d. ( 1938) ; in-8 carré, couv. ill. en couleurs.- 24 pp.. Compositions en couleurs de Raoul Auger. Histoire, fabrication, grande planches dépliante montrant la vue générale des chais de Thuir, Byrrh et le sport, etc.Belle brochure publicitaire très bien illustrée.
Reference : 35600159
Librairie du Manoir de Pron
M. Gérard Oberlé
Manoir de Pron
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France
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DONNADIEU Général Gabriel, CLAUSEL DE COUSSERGUES Jean-Claude, O'MAHONY Comte Arsène, REGNAULT-WARIN Jean-Joseph
Reference : 2658
(1821)
BAYARD PRESSE. 1974. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. 96 pages augmentées de nombreuses illustrations et photos en noir et blanc dans et hors texte - texte sur 2 colonnes - quelques mouillures essentiellement en fin d'ouvrage sans conséquence réelle pour la lecture. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
La croissance en accusation / quelques vérités sur la publicité / la croissance sur le dos des autres / voyage à travers la publicité / comment mesure-t-on la croissance?... Classification Dewey : 320-Science politique
Hermann-Lachapelle. 8 ème édition. 1879. Guide pour les machines à vapeur verticales (à chaudières non tubulaires avec bouilleurs et à foyer intérieur) 104 pages - Quelques vérités sur la classe ouvrière 1878, 72 pages- Cylindrage des routes à la vapeur, 74 pages - L'électricité et ses applications 174 p Bel exemplaire, bon état (quelques frottements le long des bordures) complet et frais.
s.l. (Paris) Mars 1898, 13x20cm, 4 pages sur un doiuble feuillet.
Lettre autographe datée du peintre, graveur et illustrateur Charles Huard accompagnée de deux dessins originaux représentant des gens du peuple dans leur quotidien. Pliure inhérente à la mise sous pli de la missive. Charles Huard est très pris par ses nombreuses activités : "Je me surmène un brin pour pouvoir filer après Pâques. Quoiqu'à tout prendre j'aie passé un hiver délicieux entre mon travail mes bouquins les musées et les conversations d'art, Paris commence à me peser..." et aspire à un peu plus de quiétude : "...je vois le moment de flier à Grandville. Justement pour vivre plus seul et travailler tranquillement avec le petit effort de tous les jours, tout à fait impossible à Paris." En toute franche et rude amitié, il se permet de critiquer les dernières productions de son correspondant : "Je crois entre nous que tu t'intéresses trop à la recherche des mots à la recherche systématique qui te conduira certainement à un procédé détestable à une vilaine mode d'art qui nsera bientôt vieille... Ce que je te reproche c'est t'être servi du même procédé - de la même formule dans ta nouvelle... - là où les caractères étaient bien affirmés tu t'es offensé à assembler des mots qui sonnent sonnent sonnent - et pas une ironie pas un détail de moeurs particulier quand-là je crois le souci d'art était de se préoccuper plus de la couleur des chaussettes du bonhomme que de son état d'âme..." Mais Charles Huard, afin de ménager la susceptibilité et l'affection de son ami, tempère son terrible jugement, ne se positionnant qu'à l'aune de ses connaissances picturales : "Prends de tout cela ce que tu voudras et remarque surtout que seul le côté art m'intéresse. Il te sera aisé de trouver des gens connaissant à fond la technique littéraire mais que l'oeuvre d'art préoccupent fort peu, ils sont quelquefois malfaisants." En tant qu'ainé, il tente de rasseréner son ami en relativisant les critiques nécessaires et inhérentes à toute forme d'expression artistique : "J'ai passé par des états d'âme très souvent semblables aux tiens : ça m'a mené à la névrose et à la découverte de quelques vérités vieilles comme le monde entre autre à savoir que seule la chose simple est belle et que tout ce qui est procédé est méprisable. Je suis tranquille ça te viendra aussi." Charles Huard se montre aussi chaleureux et fraternel : "J'aurais bien bien des choses à te dire encore. Je saurais bien te les dire mais quand il faut les écrire va te faire fiche. Ah si tu pouvais finir l'année à Grandville., maintenant que nous nous connaissons bien comme nous aurions ds conversations amusantes." Belle lettre autographe enrichie de deux dessins originaux de Charles Huard et disant les sentiments de l'artiste exposé aux jugements de ses contemporains. - Photos sur www.Edition-originale.com -
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S.P.E.P.. AVRIL 1996. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
sommaire : Gaston DUVERNEUIL•Pourquoi une autre politique ?.Lucien FÉRIEL•Mais si, tout va très bien .Jean DENIPIERRE•Quelques vérités sur la SNCF ..Christophe DOLBEAU•A propos de la guerre d’Espagne (II) .Carrefour des lecteurs ..Georges BIDEAU•Humeurs et rumeurs ..Jacques DUPUY le DOUBLET•De Clovis à Chirac,d’une décadence l’autre Victorin BAJOLLE•Un magistrat de transition .Bruno FAVRIT•Du val des nymphes au géant de ProvenceXavier CHENESEAU•La notion de Roi dans l’œuvre deGabriele d’Annunzio ..Dominique NIDAS•Aspects de la vie culturelle à Paris ..Patrick LAURENT•Farces, fables et romanesque ..Notes de lecture Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues