Paris, Lemerre, Paris, Lemerre1883 ; in-12, cartonnage bradel percaline crème. 2 ff., 141 pp., 1 f.ÉDITION ORIGINALE. C’est le premier recueil de vers de Victor d’Auriac, né à Neuilly-sur-Seine en 1858, mort en 1925. “Poète à la fois mièvre et précis, il aime à remplir du subtil parfum de l’idée l’impeccable forme d’un sonnet, ainsi qu’on verse en une buire vénitienne de clair cristal multicolore l’essence pénétrante des roses d’Orient. C’est aussi un parfait diseur des choses de l’amour, qui fixe merveilleusement en de courts poèmes le charme indécis des aveux.” C’est ainsi que Rodolphe Darzens célèbre le poète dans Anthologie des poètes contemporains de G. Walch tome II, p. 194.Le recueil s’ouvre avec une Profession de foi dans laquelle le jeune poète fait la liste de ceux pour lesquels il n’écrit pas : les parieurs de courses de chevaux, les boursicoteurs, ceux qui s’endorment à l’Opéra, les politiciens, les jeunes beaux, les vieux blasés... J’écris pour moi d’abord, parce que j’ai vingt ans / Parce que la Muse a des sourires tentants. Il dédie ses poèmes à Catulle-Mendès, Émile Goudeau, Edmond Haraucourt, Jacques Madeleine, Maurice Rollinat, François Coppée...ENVOI AUTOGRAPHE au poète Jacques Madeleine (alias Jacques Normand) né à Paris en 1859, jeune poète auquel il dédie Automne dans ce recueil. Joint, le faire-part du décès de Victor d’Auriac, le 29 janv. 1925.
Reference : 35504646
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