Paris, Ed. Colbert, Paris, Ed. Colbert1946 ; in-4° br. 315p. Non coupées six photos dont un frontispice. Exemplaire numéroté sur Vélin
Reference : 35501086
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Editions Colbert, 1944, gr. in-8°, 320 pp, marbre de Canova représentant Pauline Bonaparte en frontispice, 2 pl. hors texte, broché, bon état (Coll. Au temps jadis)
Pauline, la préférée, la plus fidèle des soeurs de Napoléon. À Sainte-Hélène encore, Napoléon affirmait qu’elle avait été « sans contredit la plus jolie femme de Paris ». Sa liberté de moeurs était grande. On sait comment, fière de ses charmes, elle se fit sculpter par Canova en Vénus victorieuse. Relayés par les mémoires attribués à Fouché qui prétendent que Napoléon, « au sortir de ses ravissements », proclamait sa soeur « la belle des belles », les pamphlets de la Restauration ont affirmé que l’Empereur aurait entretenu des relations incestueuses avec sa soeur. Pure calomnie. Mais il semble d’après certains billets publiés dans la “Revue des Deux Mondes” par Fleuriot de Langle en juin 1939, que la Paolina ait servi parfois d’entremetteuse à la cour, en glissant dans les bras du maître quelques jeunes beautés...