Write to the booksellers
DUNOYER (Alphonse)
Fouquier-Tinville
Paris, Perrin et Cie, Paris, Perrin et Cie1913 ; in-8° br. 464p. Ex.n.c.
Reference : 35500016
Bookseller's contact details
Librairie du Manoir de Pron
M. Gérard Oberlé
Manoir de Pron
58340 Montigny sur Canne
France
03 86 50 05 22
Payment mode
Sale conditions
Expédition à encaissement du règlement. Carte bancaire, chèque ou virement :<br />CIC, 33 rue Mogador 75009 Paris. 30066 10741 10741 00021907701 90<br />BIC : CMCIFRPP - IBAN : FR76 3006 6107 4100 0219 0770 190<br />
5 book(s) with the same title
Portrait (en pied) lithographié représentant Antoine Quentin FOUQUIER-TINVILLE - né à Hérouelles en 1747 et mort sur l'échafaud en 1795 -
1851 Lithographie en noir et bistre - Format 18,5 x 12 cm environ sur une feuille de papier fort de 25,5 x 16 cm - Paris vers 1850 -
D'après A. Lacauchie - Avec une notice biographique de quelques pages -
Portrait (en pied) gravé représentant FOUQUIER TINVILLE -
Gravure à l'eau-forte - Format 16 x 11 cm environ sur une feuille de papier fort de 26,5 x 16 cm - Paris vers 1840 -
bon état -
LES PERSONNAGES MAUDITS DE L'HISTOIRE - DOSSIER N°3 - Attila le fléau de Dieu / Cesar et le clan des Borgia / Fouquier-Tinville la justice de la guillotine
Crémille 1971 in12. 1971. Cartonné.
très bon état de conservation intérieur propre bonne tenue
Notes et documents sur FOUQUIER-TINVILLE.
Paris, Librairie des Bibliophiles, 1885 ; plaquette in-8, brochée - (3ff.)- 61pp.-(6ff.). 3 fac-similés hors-texte in fine.Petits manques de papier en tête et en queue ; couverture légèrement défraîchie. Intérieur très frais.
Rare ouvrage, tiré à 175 exemplaires, ici un des 25 premiers sur vergé de Hollande (Van Gelder).L'oeuvre noire de Fouquier-Tinville lors de la Révolution est assez connue : le 13 Mars 1793 il devient Accusateur du Tribunal criminel extraordinaire, et à ce titre il enverra plus de deux milles personnes à léchafaud dont Charlotte Corday, Marie-Antoinette, Philippe Égalité, Hébert, Danton, Camille Desmoulins, Robespierre... !Sans chercher à réhabiliter de personnage, cette petite étude met en évidence ce que pourraient être les circonstances atténuantes qui pourraient lui être accordées. L'auteur publie également un certains nombre de lettres écrites par Fouquier lors de sa détention.
ROUCHER (Jean-Antoine) poète français (né à Montpellier le 22 février 1745, guillotiné le 25 juillet 1794.)
Reference : 159C30
Lettre autographe à sa fille Eulalie. Paris, 30 avril 1788. 1 p.et demie in-4. Rare. Rare lettre du poète mort sur l’échafaud en compagnie d’André Chénier. Sur l’acte d’accusation, Fouquier-Tinville le désigna comme un « aristocrate puant, salarié de la liste civile, écrivain stipendié du tyran, mercenaire du parti autrichien, fondateur et Président du club de la Sainte-Chapelle, conspirateur à la maison d’arrêt de Saint-Lazare, pour Roucher, ennemi du Peuple : la mort ».
« …continuez à me donner la joie de vous lire » avoue-t-il à la jeune Eulalie, âgée de 14 ans. Il la félicite et l’encourage à continuer à lui écrire sans brouillon. « le style l’orthographe et l’écriture se sentent un peu de cette nouveauté, mais l’habitude vous rendra maitresse de votre pensée, de vos principes et de votre main. Je ne veux pas dire cependant que votre lettre soit mal, mais seulement que bientôt j’en recevrai qui seront mieux. Vous me faites, ma chère Minette des promesses bien douces, je les accepte de bien bon cœur…. ». Il lui recommande d’être attentive aux conseils donnés par sa mère, « elle veut comme moi s’il est possible, une fille parfaite…. ». Sa surcharge de travail et son éloignement de Paris pour plusieurs jours à Epinay, ne lui permettront pas d’être en famille, « comme je ne serai point ici samedi prochain, je prends mes avances afin que vous receviez dimanche prochain votre pain béni… ». On joint 2 lettres autographes signées de Marc François GUILLOIS (1774-1848) rédacteur au Moniteur Universel, qui épousa sa fille Eulalie Roucher pendant la terreur, en Août 1794. Ces deux lettres sont adressées au baron Le Prieur de Blanvilliers. La première lettre datée de septembre 1838, fait état du don de cette lettre au baron. Dans la seconde lettre datée de février 1839, il lui demande de lui transmettre une copie de cette fameuse lettre, « ma famille désire et je désire une copie de tous les autographes dont je dispose et même que j’en demande une à toutes les personnes à qui j’en ai déjà remis… ».
Bel ensemble
