Librairie Hachette Paris 1929 "collection "" l' histoire de France racontée à tous "" - 426 pages en format 14 - 20 cm - reliure rigide en percaline avec titre en dorure"
Reference : 056158
Bon État
Librairie Internet Antoine
Henry Charlier
0032476413494
accepte paiement par : PAYPAL Virements Européens !!!Nous n'acceptons pas les chèques bancaires!!! Envois : Poste et MONDIAL RELAY
, Faton , 2011 Relie pleine toile sous jaquette illustree, 400 pages, Format : 23 x 30 cm, Plus de 300 illustrations,*NEUF . ISBN 9782878441512.
Frans Pourbus le Jeune, Flamand naturalise Francais a la fin de sa vie et dernier d'une dynastie de peintres, fut le plus repute des portraitistes des princes au debut du XVIIe siecle. En France, c'est surtout a travers ses tableaux que l'on connait Henri IV, Marie de Medicis, mais aussi le jeune Louis XIII. La carriere de l'artiste, actif en Flandres, en Italie, dans le Saint Empire, puis a la cour de France, donne un apercu saisissant de l'Europe princiere de son epoque. Ce n'est pas le moindre des paradoxes du parcours de ce Flamand, typique produit du monde espagnol et autrichien, que d'etre devenu le serviteur des rois de France. C'est Marie de Medicis, regente du royaume apres la mort d'Henri IV (1610), qui fit venir Pourbus a Paris, depuis l'une des villes les plus raffinees de la peninsule italienne : Mantoue. Pourbus se place ainsi a la jonction des reseaux habsbourgeois, mediceen et bourbon. Cet ouvrage, le premier jamais consacre au peintre, presente l'ensemble de ses ?uvres aujourd'hui identifiees comme telles, dont plusieurs inedites : les tres nombreuses illustrations mettent en regard les portraits peints par Pourbus et des ?uvres de ses contemporains (Rubens, Tintoret fils, Caravage?) comme des maitres de la Renaissance. Le livre se veut, autant qu'une somme sur le peintre, une introduction au portrait princier du premier XVIIe siecle. L'auteur nous livre ici une synthese sur un peintre dont l'art est traditionnellement considere comme l'une des sources du classicisme francais et de Nicolas Poussin, mais dont la carriere fut d'abord europeenne.
, Koln, Bachem, 1963., Gebunden, Originalleinen, Ruckentitelvergoldung, Original-Schutzumschlag illustriert s/w, 12x20cm, 307pp.
Im Spiegek seiner Briefe, Vortrage und Gesprache; ubertragen und mit einer historischen Einfuhrung.Schutsumschlag von elna marianne reiff
Ouvrage de Daniel Rops faisant partie de sa série "L'Église des Origines à nos jours." Ce livre se concentre sur la période historique correspondant aux temps classiques, notamment le XVIIe siècle, qui est souvent considéré comme le "Grand Siècle" en France. Dans ce livre, Daniel Rops explore comment l'Église catholique a évolué et a influencé la société pendant le Grand Siècle. Il examine les développements religieux, les mouvements de réforme, les figures religieuses marquantes, et les événements majeurs de l'époque. Le titre "Le Grand Siècle des Âmes" suggère peut-être l'importance de la spiritualité et de la vie religieuse pendant cette période. Daniel Rops est connu pour sa capacité à combiner la recherche historique approfondie avec une narration vivante, ce qui rend ses ouvrages accessibles aux lecteurs intéressés par l'histoire religieuse. "L'Église des Temps Classiques : Le Grand Siècle des Âmes" offre une perspective sur l'histoire de l'Église catholique à une époque où la religion jouait un rôle central dans la vie et la culture en Europe. vol in-8, 185x130, broché, 495pages non coupées, très bon exemplaire. Arthème Fayard, 1958 d'autres livres de Daniel Rops en vente, groupez les achats ! ref/162
Fayard, 1972, in-8°, 290 pp, traduit de l'anglais, 64 pl. de gravures hors texte, 6 cartes, biblio, index, cart. éditeur, jaquette, bon état (Coll. L'Aventure des civilisations)
"Il est bien connu que les historiens français, même universitaires, ne lisent pas beaucoup les historiens étrangers, surtout quand ces derniers ont le front de s'occuper de la France. Les historiens étrangers adoptent habituellement l'attitude inverse, qui les honore. Est-ce pour rapprocher les premiers des seconds que la vénérable collection jaune de chez Fayard présente tant d'œuvres traduites dans sa série "l'Aventure des civilisations" ? Traduites surtout de l'anglais, choix heureux, puisque l'école, ou plutôt les écoles historiques anglaises persistent à rester, quoi qu'on prétende, les meilleures. Après l'éclatante et presque insolente " Ère des révolutions " d'Éric Hobsbawn, typique d'une certaine "gauche" britannique, voici "le Grand Siècle" de Maurice Ashley, le livre de la sérénité et de l'indépendance. Un ouvrage bref, sobre, qui ne tonne, ni ne claironne, ni ne prêche ; le reflet d'une lecture et d'une culture d'une vaste et noble discrétion, naturellement internationales l'une et l'autre ; pourtant, une vision personnelle, plus suggérée que proclamée ; des vérités avancées plus qu'assenées ; des sourires toujours de bonne compagnie ; un souci constant et une honnêteté rare pour rétablir les perspectives les plus justes, les plus européennes, et explorer tous les domaines, la philosophie comme la si matérielle démographie populaire ; presque aucun de ces tics habituels aux Anglais (qui connaissent bien les nôtres), même pas cette manie de vouloir à tout prix soutenir une "thèse", habituellement retentissante autant qu'absurde ; rien qu'un léger antipapisme, en fin de compte salutaire..." (Pierre Goubert, Le Monde, 15 mars 1973) — "La traduction élégante du « Grand Siècle » de Maurice Ashley permettra au lecteur français de se familiariser avec une œuvre d'un charme un peu désuet en dépit de la vigueur d'une synthèse difficile et intelligemment surmontée. Le Grand Siècle, pour Ashley, est littéralement le siècle de la grandeur, symbolisée par Versailles et la gloire du Roi-Soleil. (...) Ce que l'auteur admire le plus, c'est ce que cette civilisation condamne : la liberté d'esprit, mais les auteurs ne s'expriment qu'avec réticence, la tolérance religieuse, mais celle-ci ne triomphe qu'exceptionnellement. Et pourtant à ne regarder que la floraison de savants, de poètes, d'artistes, qui ne consentirait à voir dans ce siècle de guerres et de révolutions un nouvel Age d'Or ? C'est que l'histoire ici se situe sur les sommets, ne concerne guère que les élites, tandis que les peuples « accaparés par l'interminable lutte pour la vie » ne représentent que chair à canon indispensable au prince et producteurs économiques, étrangers aux progrès de la civilisation. Et tant pis si pour eux le siècle est un âge de fer. On ne s'étonnera donc pas que la guerre et les relations diplomatiques occupent une place primordiale dans un livre consacré aux États et au « concept historique » d'Europe beaucoup plus qu'aux sociétés." (Guy Chaussinand-Nogaret, Annales ESC, 1974)
, FREDERIC BIRR, 1985, 1985 Paperback, 81 pages, Texte en Francais, 295 x 220 mm, une bon exemplaire, Illustrations,. ISBN 9782857540267.