Time Life reliure Rigide Décorative Amsterdam 1990 144 pages en format 23.5 - 28.5 cm - photographies en couleurs et en noir - reliure rigide en simili cuir illustrée
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Bel et précieux exemplaire provenant de la bibliothèque du comte Frédéric de Pourtales, avec ex-libris armorié. Paris, Barrois l’ainé, 1789. Avec approbation de la Société Royale d’Agriculture. In-8 de viii ff. prél., 389 pp., (2) ff. pour l’extrait des registres et l’errata insérés entre les pp. 386 et 388. Extrait du Journal de Paris du 7 janvier 1789 relatifs à Parmentier inséré entre les pp. 204 et 205, pte. déchirure sans atteinte au texte p. 273. Demi-veau brun, ornementation rocaille dorée sur le dos lisse, tranches jaspées vertes. Reliure vers 1830. 195 x 125 mm.
Édition originale recherchée du célèbre ouvrage de Parmentier consacré à la culture et à la consommation de la pomme de terre, jusque là abandonnée aux animaux. Vicaire, Bibliographie gastronomique, 657 ; Manquait à Oberlé, Les Fastes de Bacchus et Comus. Élevé pauvrement ainsi que ses deux frères par une mère veuve de bonne heure, Parmentier dut interrompre ses études à dix-huit ans pour entrer en apprentissage chez un apothicaire de Mont Didier puis en 1756 chez un apothicaire de Paris. Il obtint à 20 ans une place d’aide-pharmacien à l’armée de Hanovre en opération dans la guerre de Sept Ans. Fait prisonnier par les troupes de Frédéric ii, c’est en captivité qu’il mangea pour la première fois des pommes de terre, nourriture de base des Prussiens, comme d’ailleurs de la moitié des peuples de l’Europe. Par expérience personnelle donc, il s’assura que cet aliment était bon et sain, qu’il n’était ni fade ni insipide, qu’il ne donnait ni la lèpre ni les fièvres, préjugés que partageait la majorité des Français, à l’exception des paysans des provinces voisines de la Suisse, de l’Allemagne ou des Flandres qui en usaient depuis le xviiè siècle. Mais dans les autres provinces et à Paris, le peuple n’en voulait pas, les estimant tout juste bonnes à en tirer de la poudre à poudrer les perruques. Rentré en France à la signature de la paix en 1763, Parmentier obtint en 1766 le poste d’apothicaire-adjoint aux Invalides ; six ans après, il était nommé pharmacien en chef de cet établissement. La disette et sa suivante la famine frappèrent une fois encore la France en 1770. Ces fléaux incitèrent l’Académie de Besançon l’année suivante à mettre au concours la question : « Indiquer les végétaux qui pourraient suppléer en temps de disette à ceux que l’on emploie communément à la nourriture des hommes et quelle en devrait être la préparation ? ». Des sept mémoires reçus par l’Académie, ce fut celui de Parmentier qui remporta les suffrages. Désormais, le « pharmacien humanitaire », comme on l’a surnommé, sera au premier rang des avocats de la pomme de terre. Celle-ci a certes de nombreux défenseurs, mais il est le mieux placé auprès des conseillers du roi et de Louis XVI lui-même pour faire progresser sa culture et sa consommation. Parmentier est avant tout un homme de terrain. C’est un pragmatique qui, avant que Claude Bernard ne les définisse, applique les principes de la recherche scientifique, ne basant ses opinions que sur l’expérience. C’est aussi un précurseur de la publicité. Ainsi engage-t-il le roi et la reine à mettre à leur boutonnière des fleurs de pommes de terre pour prouver l’intérêt que Leurs Majestés portent à cet aliment. Il obtient du souverain un terrain stérile, la plaine de Grenelle dite des Sablons, pour faire la démonstration des facilités qu’offre sa culture. Mieux même, il laisse volontairement voler par le peuple les fruits de la récolte. Il organise autour de Franklin, de Lavoisier et d’autres savants un repas tout en pommes de terre. Tous les apprêts, jusqu’aux liqueurs, consistaient dans la pomme de terre déguisée sous vingt formes différentes, et où il avait réuni de nombreux convives : leur appétit ne fut point en défaut, et les louanges qu’ils donnèrent à l’amphitryon tournèrent à l’avantage de la merveilleuse racine. Grâce aux efforts et à la persévérance de Parmentier, la pomme de terre prit enfin le rang qui lui appartenait parmi nos richesses agricoles. En français dans le texte. Dix siècles de lumières par le livre, pp. 182-183. « Parmentier's earliest investigation, dating from about 1771 [Examen chimique des pommes de terre, 1773], concerned the chemical and nutritive constituents of the potato. This research was soon broadened to include a large number of indigenous plants which he recommended as food in times of scarcity and famine, ascribing their nutritive value to their starch contents. Of all these plants it was the potato that most interested Parmentier, and it is unfortunate that his long and successful campaign to popularize the cultivation and use of the potato in France as a cheap and abundant source of food has tended to obscure his other accomplishments in food chemistry and nutrition” (DSB). “In 1789 the Bastille fell. At the same time, people became aware of the usefulness of the potato. Parmentier's treatise on growing and cooking potatoes was in all good Republican bookshops. It is likely that those providential tubers might have had to wait even longer to get into the recipe books but for war and famine, themselves a recipe for disaster. Parmentier, an army pharmacist, had long been doing his best to explain to the nation that there was nothing like the potato for lining the stomach. Since returning from captivity in 1763, after the Seven Year's War, he had devoted his energies to promoting it. Antoine-Auguste had eaten the strange tuber in his Westphalian prisoner-of war-camp. The Germans of Westphalia called it Kartoffel, and regarded it as good only for pigs and therefore, a fortiori, for French prisoners” (Toussaint-Samat, A History of Food, p. 717). Bel et précieux exemplaire provenant de la bibliothèque du comte Frédéric de Pourtales, avec ex-libris armorié. A été relié dans l’exemplaire un extrait du Journal de Paris du 7 janvier 1789 publiant une lettre de Parmentier s’inquiétant du froid de l’hiver qui aurait nui aux récoltes de pommes de terre et donnant une recette de pain à base de farine et de pomme de terre.
S.l., s.d. in-4, [6] ff. n. ch., dont le titre, couverts d'une écriture très fine et lisible (environ 55 lignes par page), un f. vierge, en feuilles, cousu. Feuillet de titre sali.
Très intéressante relation inédite d'un épisode maritime de la Guerre de Sept ans. "Monsieur de Lisle" est un pseudépigraphe sous lequel se cache l'enseigne de vaisseau Commandaire de Taradeau, comme d'ailleurs on peut s'en assurer par la mention portée sur le premier feuillet : "Expédition de Terre-Neuve en 1762. Rédigée par Tarado [sic]".Il importe de citer intégralement l'introduction placée au début du document, car elle indique de façon particulièrement claire le propos de l'auteur : "Je ne m'attendois pas, quand je partis de Versailles pour aller prendre possession d'une compagnie dans le Régiment de Foix, pour lors à Saint-Domingue, que je servois de masque à une opération qu'il étoit nécessaire de veiller [voiler], pour en assurer la réussite, et en m'embarquant sur La Licorne, je ne supposai à cette frégatte et à la division dont elle faisoit partie d'autre destination que celle que j'avois moi-même. Ainsi je ne fus pas médiocrement surpris lorsque je me trouvai entraîné vers le nord. Quoique cet événement contrariât absolument toutes mes vues, je ne puis être fâché d'avoir fait une campagne si intéressante et si variée, et où les succès, et les revers se sont si rapidement succédé, les uns dus aux circonstances, les autres amenés par des fautes : je vais en faire l'histoire avec impartialité, et c'est peut-être de moi seul qu'on doit l'attendre, placé entre deux corps qui se sont mutuellement accablés de reproches ; je tiens assez à l'un et à l'autre pour juger de leurs manoeuvres, et ne suis assez attaché à aucun pour épouser sa querelle, ce n'est même que plusieurs années après que j'écris tous ces détails, présents encore à ma mémoire dans les principaux événements ; qu'on ne s'étonne donc point si la pluspart des dates sont omises, il est assez indifférent de savoir quel jour un fait s'est passé pourvu qu'il soit fidellement raconté".Lancée en 1756, La Licorne, frégate de 32 canons, participa à plusieurs combats dans l’Atlantique durant la Guerre de sept ans et la Guerre d’indépendance américaine. Elle fut finalement capturée par les britanniques en 1778 ; mais, en cette année 1762, elle faisait partie d'une escadre comprenant, en sus, Le Robuste, L'Éveillé, et La Garonne, avec quelques troupes de débarquement (750 hommes, dont 161 Irlandais recrutés à Terre-Neuve), le tout sous le commandement général du chevalier Charles-Henri-Louis d'Arsac de Ternay (1723-1780) pour la marine, et sous celui de Joseph-Louis de Cléron d'Haussonville (1737-1806), pour l'infanterie. Ternay avait reçu de Choiseul l'ordre d'attaquer les forces anglaises stationnées à Terre-Neuve, dans le secteur de Saint-John, le tout dans le but de réaffirmer la présence française en Amérique du Nord et à terme d'attaquer le Canada un an après, en 1763. Ayant quitté Brest le 6 mai 1762, l’escadre arriva aux abords de l'île le 22 juin. Les troupes françaises s'emparèrent assez facilement du fort Saint-Jean (27 juin), puis de la plupart des batteries et des places anglaises, l'ennemi ayant consacré ses forces à la prise de La Havane. C'est alors qu'il détruisit systématiquement tous les établissements de pêche ennemis tout en capturant ou coulant 460 bateaux de toutes tailles. Mais en septembre de la même année, les Anglais reprirent l'avantage (Bataille de Signal Hill, le 15 septembre) et forcèrent les Français à battre en retraite. L’escadre fit alors route vers la Bretagne, poursuivie par deux navires anglais, mais, fuyant la flotte britannique, relâcha à La Corogne et c’est là que lui fut annoncée la cessation des hostilités le 3 janvier 1763. Ternay avait abandonné sur place Haussonville, qui dut capituler face aux Britanniques, mais ayant sauvé sa flotte, il ne sera pas sanctionné. Il existe d'ailleurs de cette bataille une gravure intitulée Vue perspective de la descente des Francois à l'Isle de Terre Neuve du côté de Saint Jean à l'Occident : aux ordres du Chevalier de Ternay, Capitaine de vaissaeux de sa Majesté Très Chrétienne.Mais ce qui constitue surtout l'originalité de cette relation, c'est le ton très libre et très critique avec lequel Taradeau juge les deux belligérants. Son appréciation finale est en effet fort sévère pour son camp, critiquant les troupes françaises et spécialement leurs chefs, se montrant beaucoup plus indulgent en revanche envers l’ennemi : "Nous ne fûmes que des déprédateurs et des incendiaires ; ils furent des hommes intrépides, soit par leur constance sur mer, soit par leurs actions sur terre. Leurs chefs sur l'un et l'autre élément ont mérité les plus grands éloges, tandis que les nôtres ont mis tout leur art à rejetter le blâme l’un sur l’autre. Si l'on demande lequel des deux a le plus contribué au mauvais succès, je dirai que les fautes de Mr. Desfonville sont plus graves, et plus flétrissantes et que celles de Mr. de Ternay sont aussi réelles et d'une plus grande importance ". Aucun exemplaire de ce manuscrit n'est signalé au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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La France attache son nom à l’exploration des Mers Australes et publie la première carte de la Nouvelle-Zélande. Paris, Barrois l’aîné, 1783. In-8 deviii pp., 290 pp., 5 planches et 2 cartes hors-texte dont 1 dépliante, (1) f. Plein-veau marbré, filet à froid encadrant les plats, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre de maroquin rouge, filet or sur les coupes, tranches rouges. Reliure de l’époque. 189 x 120 mm.
Édition originale de la plus grande rareté de cet ouvrage capital pour l’histoire de la Nouvelle-Zélande et de la Tasmanie. Il s’agit du récit de l’une des toutes premières expéditions françaises en Australie et en Nouvelle-Zélande. Sabin, XVII, 439; Davidson, A Book Collector's Notes, pp. 98-99 ; Dunmore, t. I, p. 182 ; Du Rietz, Bibliotheca Polynesiana by Kroepelien, 1104 ; Hill, 401; Hocken, pp. 21-22; Howgego, I, C222, p. 285; Le Nail, Explorateurs et Grands Voyageurs Bretons, p. 32; New Zealand National Bibliography, t. I, 1502. “The first printed French maps of New Zealand were Marion Dufresne’s maps of 1772 in this account of Crozet’s voyage.” (Tooley, The Mapping of Australia, p. XII et p. 308, 158). “Crozet’s narrative, apart from the drama of its story, has much careful observation on Maori life and custom and, with the reports of Cook and his officers, was virtually the only source material available for 40 years… ” (New Zealand National Bibliography). “It is an exceedingly rare item and is seldom available.” (Davidson, A Book Collector’s Notes, pp. 98-99). Excellent marin, bien en cour, féru des nouveautés scientifiques, mais aussi commerçant très actif, sa curiosité est éveillée par l’accostage à Port-Louis du « Brisson », lequel ramène en Polynésie le Tahitien Ahu-Toru qui avait accompagné Bougainville en France et auquel le célèbre circumnavigateur avait promis le retour au pays. L’intendant Pierre Poivre a des instructions très précises et le devoir d’organiser la suite du voyage. Marion-Dufresne propose de l’organiser - en grande partie à ses frais - en combinant le retour de Ahu-Toru, l’exploration du sud des Océans Indien et Pacifique au-delà des 45° de latitude sud afin de repérer un éventuel continent inconnu, la reconnaissance du littoral de la Nouvelle-Zélande aux fins «de profits de pêche», et, enfin, la poursuite de la recherche vers le détroit de Torrès et Timor d’un endroit «propice à l’établissement d’un comptoir commercial». Poivre est d’accord, informe le ministre et met à la disposition de l’entrepreneur-marin une flûte de 450 tonneaux le « Mascarin » ; Marion-Dufresne affrête de son côté la frégate « Marquis de Castries » qu’il confie à Julien Crozet avec lequel il a déjà navigué. Les deux navires appareillent de Port-Louis le 18 octobre 1771, trois mois avant l’expédition commandée à Kerguelen dans le but de trouver un éventuel «continent austral». Ahu-Toru décède de la variole (sans doute contractée à Port-Louis) le 6 novembre au large de Madagascar; il n’est plus nécessaire de remonter jusqu’à Tahiti, aussi Marion-Dufresne informe le ministre qu’il fait route au Sud-Est, sous les 40°: il découvre des îles: Crozet, celle qui - maintenant sud-africaine - s’appelle «prince Édouard» après qu’il l’eut baptisée Terre de la Caverne. Une avarie assez sérieuse oblige, en janvier 1772, à trouver un abri, puis un épais brouillard gène la lente reconnaissance de poussières d’îles, sans que l’on parvienne à détecter un véritable archipel. Fin janvier, l’expédition est géographiquement assez proche de celle de Kerguelen: peut-être Marion-Dufresne a-t-il découvert les Kerguelen avant Kerguelen ? En février, à l’initiative de Crozet, on oblique à l’Est et le 3 mars on est en vue de la terre de van Diemen (Tasmanie), 130 ans après ce dernier. L’escale est pittoresque, amicale avec les insulaires; on fait de l’eau et des fruits frais. Plus loin, les autochtones accueillent avec des lances et des sagaies, ce qui amène à en tuer quelques-uns. Marion-Dufresne traverse la mer de Tasmanie et longe les côtes de l’Ile nord de Nouvelle-Zélande, leur donne des noms français sans savoir que Cook a déjà procédé à cet inventaire et ces baptêmes en 1769. Il aborde la Baie des Îles, noue des relations amicales avec les Maoris locaux, remarque leur parenté linguistique avec les Tahitiens, fait beaucoup d’observations, établit trois camps, préludes dans son esprit à un « comptoir » plus sérieux. Mais les choses se gâtent ; on fait la fête le 8 juin, mais un petit groupe de matelots en reconnaissance ne rentre pas. Marion-Dufrene descend à terre avec un groupe d’hommes et ne revient pas. Le 12 juin, il est certain que l’intrépide commandant a été massacré ; la troupe est envoyée à terre, punit, exécute quelques Maoris, incendie un village après avoir trouvé les restes d’un repas cannibale. Il est impossible de rester dans ces conditions, décrites avec précision dans le journal de bord, et l’expédition appareille le 12 juillet, sous le commandement de Crozet et de son second Ambroise Le Jar de Clesmeur. Tous deux ignorent quels étaient les réelles intentions du disparu ; les officiers réunis en conseil décident de continuer à remonter la côte et de rejoindre la route du nord « sans chercher des terres éloignées », ils doublent ainsi l’Île Rotterdam des Tonga, relâchent aux Mariannes. La navigation est lente, difficile, les cas de scorbut se multiplient. Le 23 août, les deux unités franchissent l’équateur, obliquent vers l’ouest, relâchent à Guam ou le gouverneur espagnol fournit eau fraîche, vivres et soins ; il donne aussi un pilote pour conduire les deux navires jusqu’à Manille « où on tire quelques profits des cargaisons embarquées », les deux navires et les hommes remis en état appareillent à la fin de l’année et rejoignent Port-Louis sans encombre en avril 1773. Le ministre, et les autorités trouvent les résultats de l’expédition bien décevants: pas de continent austral, seulement d’arides poussières d’îles, au climat peu attrayant et à la végétation sans intérêt. Sur le plan commercial c’est un coûteux échec : la cargaison s’est mal vendue, il reste 400 000 livres de dettes, notamment les salaires des membres des équipages et les frais de réparations. L’affaire traînera jusqu’en 1788. La mort tragique de Marion-Dufresne, qui voulut faire cohabiter exploration et spéculation commerciale, ajoute à la désillusion et montre l’impossibilité d’une installation durable dans des terres aussi hostiles et éloignées. Sans doute cette aventure est-elle la dernière des «expéditions de découverte» telles qu’elles furent menées par la plupart des Marines occidentales des XVIIe et XVIIIe siècles. (Canal Académie, «Des marins et des navigateurs», Françoise Thibault, janvier 2013). «This was the only form in which the voyage was published; it did not appear in English until H. Ling Roth's translation of 1891». «Crozet’s narrative, apart from the drama of its story, has much careful observation on Maori life and custom and, with the reports of Cook and his officers, was virtually the only source material available for 40 years» (New Zealand National Bibliography). L’illustration se compose de 4 beaux portraits de Maoris, d’une représentation d’un cèdre, d’une carte dépliante révélant les découvertes de Surville et de plus petites cartes montrant les découvertes de Marion-Dufresne en Nouvelle-Zélande et en Tasmanie. Superbe exemplaire d’une grande fraicheur, conservé dans sa reliure de l’époque, de cette édition originale de la plus grande rareté.
Du Chêne 2003 In-8 29,4 x 19,6 x 2,4 cm broché. 188 p. Très bon état d'occasion
Simple à cultiver, simple à cuisiner, la pomme de terre cache derrière son apparente rusticité une histoire riche et une diversité inattendue. Après avoir servi de base alimentaire à la civilisation des Incas, elle a sauvé de la famine de nombreux peuples européens. Premier légume consommé dans le monde, présente sur les tables de la terre entière, elle a donné naissance à de multiples recettes gourmandes qui font la joie des petits et des grands. Dans cet ouvrage, la pomme de terre se dévoile dans tous ses états : elle nous raconte son histoire, décline son identité botanique, se cultive pas à pas, fait preuve de sa diversité à travers 170 variétés présentées, et se prête à toutes les inventions culinaires, des plus simples aux plus sophistiquées, en entrée, en plat, et même en dessert... Tout, tout, tout vous saurez tout sur la pomme de terre ! Très bon état d’occasion
Paris, Editions du Panache (Cart), s.d. (1946) in-4, pagination multiple, 11 planches hors-texte, en feuilles, sous chemise amateur de carton souple.
Regroupe plusieurs petites monographies indépendantes sur les différents insignes des formations françaises après la Seconde Guerre mondiale :1. Armée de terre. 2me division blindée ([4] ff. n. ch. et une planche en couleurs). - 2. Historique et avant-propos ([2] ff. n. ch. et une planche en noir). - 3. Armée de terre. Infanterie et chars (un feuillet non chiffré, 4-3 pp., et deux planches en noir). - 4. Armée de terre. Cavalerie (un feuillet non chiffré, 4 pp., et une planche en noir). - 5. Marine (un feuillet non chiffré, 3-4-4-4-4-3 pp., avec 6 planches en noir).Le CCF ne signale aucun exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT